Matthieu25 41 Ensuite il dira Ă ceux qui seront Ă sa gauche: Retirez-vous de moi, maudits; allez dans le feu Ă©ternel qui a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© pour le diable et pour ses anges. 42 Car j'ai eu faim, et vous ne m'avez pas donnĂ© Ă manger; j'ai eu soif, et vous ne m'avez pas donnĂ© Ă boire; 43 j'Ă©tais Ă©tranger, et vous ne m'avez pas recueilli; j'Ă©tais nu, et vous ne m'avez pas vĂȘtu; j
Si nous sommes vraiment repartis de la contemplation du Christ, nous devrons savoir le dĂ©couvrir surtout dans le visage de ceux [...] auxquels il a voulu [...] lui-mĂȘme s'identifier J'avais faim, et vous m'avez donnĂ© Ă manger; j'avais soif, et vous m'avez donnĂ© [...]Ă boire; j'Ă©tais un [...]Ă©tranger, et vous m'avez accueilli; j'Ă©tais nu, et vous m'avez habillĂ©; j'Ă©tais malade et vous m'avez visitĂ©; j'Ă©tais en prison, et vous ĂȘtes venus jusqu'Ă moi » Mt 25,35-36. Si verdaderamente hemos partido de la contemplaciĂłn de Cristo, tenemos que saberlo descubrir sobre todo en el rostro de aquellos con los que Ă©l [...] mismo ha querido [...] identificarse He tenido hambre y me habĂ©is dado de comer, he tenido sed y me habĂ©is dado que beber; [...]fui forastero y me habĂ©is [...]hospedado; desnudo y me habĂ©is vestido, enfermo y me habĂ©is visitado, encarcelado y habĂ©is venido a verme » Mt 25,35-36. Le pain compris Ă©galement comme le pain de l'Esprit, le pain de l'Eucharistie cela ne nous Ă©loigne pas de nos rĂ©flexions, car nous ne pouvons demander le pain spirituel, et encore moins nous en nourrir, si nous n'avons pas pris conscience de la nĂ©cessitĂ© [...] fondamentale d'un engagement pour procurer le pain [...] auquel tout homme a droit J'avais faim et vous m'avez donnĂ© Ă Este pan representa el pan del EspĂritu, el pan de la EucaristĂa este pan no nos aleja de nuestras reflexiones, pues no podemos pedir y menos aĂșn alimentarnos con el pan del EspĂritu si no hemos tomado conciencia de la [...] necesidad fundamental de un compromiso para tener el pan [...] al que todo hombre tiene derecho "Tuve hambre y me distĂ©is de comer". Car j'ai eu faim et vous m'avez donnĂ© Ă manger, j'ai eu soif et vous [...]m'avez donnĂ© Ă boire, j'Ă©tais un Ă©tranger et vous m'avez [...]accueilli, nu et vous m'avez vĂȘtu, malade et vous m'avez visitĂ©, prisonnier et vous ĂȘtes venus me voir. Porque tuve hambre, y me disteis de comer; tuve sed, y me disteis [...] de beber; fui huĂ©sped, y me recogisteis; desnudo, y me [...]cubristeis; enfermo, y me visitasteis; estuve en la cĂĄrcel, y vinisteis ĂĄ mĂ. Ce ne sont pas ceux qui disent "Seigneur, Seigneur" qui entreront dans le royaume des [...] Cieux, mais ceux qui [...] accomplissent ma parole "J'ai eu faim et vous m'avez donnĂ© Ă manger; soif et vous m'avez donnĂ© Ă boire; [...]j'Ă©tais nu et vous [...]m'avez vĂȘtu; en prison et vous m'avez visitĂ©; malade et vous ĂȘtes venu me voir". No son los que dicen"Señor, Señor" que entrarĂĄn en el reino de los Cielos, sino [...] aquellos que cumplen mi [...] palabra "Yo tenĂa hambre y ustedes me dieron que comer; Yo tenĂa sed y me dieron que beber; Yo [...]estaba desnudo y me [...]vistieron; en la cĂĄrcel y me visitaron; enfermo y vinieron a verme". Venez, vous les bĂ©nis de mon PĂšre, recevez le Royaume prĂ©parĂ© pour vous [...] depuis la fondation du [...] monde; car j'ai eu faim et vous m'avez donnĂ© Ă manger, j'ai eu soif [...]et vous m'avez donnĂ© Ă boire, [...]j'Ă©tais un Ă©tranger et vous m'avez accueilli, j'Ă©tait nu et vous m'avez vĂȘtu, j'Ă©tais malade et vous avez pris soin de moi, j'Ă©tais en prison et vous m'avez visitĂ© Matthieu 25,34-35. Porque tuve hambre y me dieron comer, estuve sediento y me dieron [...]de beber, fui forastero y me recibieron en su casa, anduve [...]sin ropas y me vistieron, estuve enfermo y me cuidaron, estuve en prisiĂłn y me visitaron Mt 2534-35. La grĂące fait que le Fils devient ton dĂ©biteur, lui qui [...] a dit "J'ai eu faim et vous m'avez donnĂ© Ă manger, j'ai eu soif et [...]vous m'avez donnĂ© Ă boire, [...]j'Ă©tais hĂŽte et vous m'avez accueilli, nu et vous m'avez habillĂ©". La gracia hace que sea tu deudor el Hijo, [...] que ha dicho "Tuve hambre y me disteis de comer, tuve sed y me disteis [...] de beber, fui extranjero y me recogisteis, [...]estuve desnudo y me vestisteis". J'ai eu faim et vous m'avez donnĂ© Ă manger, j'ai eu soif [...]et vous m'avez donnĂ© Ă boire, j'Ă©tais un Ă©tranger et vous m'avez [...]accueilli, prisonnier et vous ĂȘtes venu me voir. Tuve hambre y me disteis de comer, tuve sed y me disteis [...] de beber, fui extranjero y me acogisteis, pero y me visitasteis. De cette maniĂšre, le foyer est devenu un lieu oĂč, grĂące au service gĂ©nĂ©reux de nombreux [...] professionnels et volontaires, [...] se rĂ©alisent aujourd'hui les paroles de JĂ©sus J'ai eu faim et vous m'avez donnĂ© Ă manger, j'ai eu soif et vous m'avez donnĂ© Ă boire, j'Ă©tais un [...]Ă©tranger et vous m'avez [...]accueilli, nu et vous m'avez vĂȘtu, malade et vous m'avez visitĂ© » Mt 25, 35-36. De esta forma el albergue se ha convertido en un lugar donde, gracias al [...] generoso servicio de [...] numerosos agentes y voluntarios, se hacen realidad cada dĂa las palabras de JesĂșs "Tuve hambre, y me disteis de comer; tuve sed, y me disteis de beber; [...]era forastero, y me acogisteis; [...]estaba desnudo, y me vestisteis; enfermo, y me visitasteis" Mt 25, 35-36. Venez, vous les bĂ©nis de mon PĂšre, [...] recevez le Royaume [...] prĂ©parĂ© pour vous depuis la fondation du monde; car j'ai eu faim et vous m'avez donnĂ© Ă manger, j'ai eu soif et vous m'avez donnĂ© Ă boire, j'Ă©tais un Ă©tranger [...]et vous m'avez [...]accueilli, j'Ă©tait nu et vous m'avez vĂȘtu, j'Ă©tais malade et vous avez pris soin de moi, j'Ă©tais en prison et vous m'avez visitĂ© Matthieu 25,34-35. Vengan, benditos de mi Padre, y tomen posesiĂłn del [...] reino que ha sido preparado para ustedes desde el principio del mundo. Porque tuve hambre y me dieron comer, estuve sediento y me dieron de beber, fui [...]forastero y me recibieron [...]en su casa, anduve sin ropas y me vistieron, estuve enfermo y me cuidaron, estuve en prisiĂłn y me visitaron Mt 2534-35. 42Car j'ai eu faim, et vous ne m'avez pas donnĂ© Ă manger; j'ai eu soif, et vous ne [...]m'avez pas donnĂ© Ă boire 42Porque tuve hambre, y no me disteis de comer; tuve sed, y no me disteis de beber Nous savons pourtant que, dans la sentence finale rapportĂ©e par l'Ă©vangĂ©liste Matthieu, il y a une autre [...] liste, grave et [...] terrifiante Loin de moi..., car j'ai eu faim et vous ne m'avez pas donnĂ© Ă manger, j'ai eu soif et vous ne m'avez pas donnĂ© Ă boire, [...]j'Ă©tais un Ă©tranger [...]et vous ne m'avez pas accueilli, nu et vous ne m'avez pas vĂȘtu » Mt 25, 41-43. Sabemos, sin embargo, que en la sentencia final, referida por el [...] evangelista Mateo, hay otra [...] relaciĂłn, grave y aterradora Apartaos de mĂ... Porque tuve hambre, y no me disteis de comer; tuve sed, y no me disteis de beber; [...]era forastero, y no me [...]acogisteis; estaba desnudo, y no me vestisteis» Mt 25, 41-43. Car celui qui a dit Ceci est mon corps, et qui [...] l'a rĂ©alisĂ© en le disant, c'est lui qui a dit Vous [...] m'avez vu avoir faim, et vous ne m'avez pas donnĂ© Ă manger, et aussi Chaque [...]fois que vous ne l'avez pas fait Ă l'un de ces [...]petits, c'est Ă moi que vous ne l'avez pas fait [...]. Porque el mismo que dijo "esto es mi cuerpo", y con su palabra llevĂł a realidad lo que decĂa, [...] afirmĂł tambiĂ©n "Tuve hambre y no me disteis de comer", y mĂĄs adelante [...]"Siempre que dejasteis [...]de hacerlo a uno de estos pequeñuelos, a mĂ en persona lo dejasteis de hacer" [...]. A la fin de ma vie je voudrai pouvoir entendre JĂ©sus qui me [...] dit "Quand j'avais faim et soif, tu m'as donnĂ© Ă manger et Ă boire". Al final de mi vida quisiera poderescuchar a JesĂșs que [...] me dice "Cuando tenĂahambre y sed,tume has dado de comer y de beber". Nous travaillons de maniĂšre intense et, Mesdames et Messieurs les DĂ©putĂ©s, si je vous avais dit, il y a quelques mois, lorsque j'ai eu la satisfaction [...]de me prĂ©senter devant vous pour la premiĂšre [...]fois, que le 1er mars 2000, je pourrais vous annoncer que le comitĂ© politique s'est rĂ©uni pour la premiĂšre fois en ce jour, que le ComitĂ© militaire serait lancĂ© une semaine plus tard et que les premiers Ă©lĂ©ments de l'Ătat-major militaire commenceraient Ă arriver le lendemain Ă l'Ă©difice dont nous disposons au sein de l'Union europĂ©enne, beaucoup d'entre vous auraient certainement pensĂ© que le haut reprĂ©sentant devenait fou. Estamos trabajando de [...] manera intensa y seguramente, SeñorĂas, Señora Presidenta, si hace unos meses, cuando tuve la satisfacciĂłn de estar aquĂ ante ustedes por primera vez, les [...]hubiera dicho que el [...]1 de marzo del año 2000 podrĂa anunciarles que hoy se ha reunido por primera vez el ComitĂ© PolĂtico, que dentro de una semana estarĂĄ el ComitĂ© Militar en marcha y que mañana empezarĂĄn a llegar los primeros elementos del Estado Mayor Militar al edificio que tenemos en la UniĂłn Europea, seguramente muchos de ustedes habrĂan pensado que el Alto Representante estaba empezando a convertirse en una persona loca. Si votre voisin a faim, vous n'avez pas l'obligation de lui donner Ă manger;s'il est expulsĂ© de sa maison et meurt de froid,vous [...]n'avez pas l'obligation de le venger. Si el vecino pasa hambre, uno no estĂĄ obligado a darle de comer; si lo expulsan de su casa y se muere de frĂo, uno no tiene el [...]deber de vengarlo. Je me souviens que j'ai redoublĂ© trois fois la troisiĂšme annĂ©e d'Ă©cole primaire car je n'avais quasiment jamais de fournitures [...] scolaires, par [...] ailleurs, comme j'avais tout le temps faim, je n'arrivais pas Ă me concentrer, et je ne rĂ©ussissais [...]jamais Ă l'Ă©cole. Recuerdo que repetĂ tres veces el tercer grado de la escuela primaria [...] porque casi nunca tenĂa Ăștiles [...] escolares; ademĂĄs, como siempre tenĂa hambre, no lograba concentrarme y nunca aprobaba en la escuela. Si j'avais faim, je ne te le dirais pas, car le monde est Ă moi et tout ce qu'il [...]renferme. Conozco a [...] todas las aves de los montes, y todo lo que se mueve en los campos me pertenece. Madame Maij-Weggen, vous avez rappelĂ© - mais je l'avais fait moi-mĂȘme - qu'en effet, la Commission avait pris sa dĂ©cision avec quelques jours de dĂ©lai supplĂ©mentaire, dont nous [...] avons eu trĂšs [...] objectivement besoin et, comme vous l'imaginez, j'ai participĂ© Ă tous ces dĂ©bats au sein du collĂšge pour Ă©valuer les consĂ©quences de ce nouveau systĂšme, de ce nouveau dispositif, dans l'organisation interne de la Commission, mais je vous ai donnĂ© l'assurance, [...]trĂšs franchement, que [...]ces quelques jours de dĂ©lai dont nous avons eu besoin n'ont en rien empĂȘchĂ© le systĂšme d'ĂȘtre opĂ©rationnel Ă partir du 3 dĂ©cembre. Señora Maij-Weggen, ha recordado usted - pero tambiĂ©n lo habĂa hecho yo mismo - que, efectivamente, la ComisiĂłn adoptĂł su decisiĂłn con algunos dĂas de plazo [...] suplementario, que nosotros [...] necesitamos objetivamente y, como imagina, participĂ© en todos esos debates en el seno del Colegio para evaluar las consecuencias de este nuevo sistema, de este nuevo dispositivo, en la organizaciĂłn interna de la ComisiĂłn, pero yo le he asegurado muy sinceramente [...]que esos pocos dĂas [...]de plazo que hemos necesitado no han impedido en absoluto que el sistema estĂ© operativo a partir del 3 de diciembre. Pour moi qui avais faim d'une parole vivante et besoin de rencontrer des [...]gens Ă©prouvant la mĂȘme soif d'Ă©ternel, ce petit [...]journal a Ă©tĂ© un trĂšs grand don. Para mĂ, que estaba hambriento de una palabra viva y el deseo de encontrar [...]a gente que sintiese mi misma sed de eternidad, [...]esta pequeña publicaciĂłn fue un grandĂsimo don. Vous m'avez soutenu Ă [...] plusieurs occasions - comme nous en avons parlĂ© Ă l'Ă©poque - et vous avez reconnu que j'avais raison dans de nombreux cas, comme dans celui de la campagne concernant la rĂ©forme parlementaire Ă laquelle vous avez Ă©tĂ© associĂ© et que vous avez souvent mis en avant. Me dio usted su apoyo en numerosas cuestiones -tal como discutimos entonces- y reconocimos que yo tenĂa razĂłn en muchos casos, como en lo referente a la campaña sobre la reforma parlamentaria en la que usted participaba y que a menudo puso usted sobre el tapete. Non, ils ne parlaient pas d'eux-mĂȘmes, mais ils ne faisaient que rĂ©pĂ©ter la Connaissance dont Moi-mĂȘme Je les [...] avais instruits. Ils [...] sont venus Ă vous, dans leur pauvretĂ© et piedsnus, pour vous parler des choses qui sont Ă venir, n'ajoutant ni ne retranchant quoi que ce soit de ce que Je leur avais donnĂ©. No, ellos no os han hablado por sĂ mismos, sino que Ășnicamente han repetido el [...] Conocimiento que Yo Mismo [...] les he transmitido cuando han ido a vosotros en su pobreza y descalzos para hablaros de las cosas que estĂĄn por venir, no añadiendo ni quitando nada de lo que Yo les he dado. J'avais tellement faim sur la route. On n'avait pas d'argent pour acheter Ă manger. Por el camino pasĂ© mucha hambre, no tenĂamos dinero para comprar alimentos. Pour rĂ©sumer, Monsieur le PrĂ©sident en [...] exercice du Conseil, vous l'avez dit, j'avais eu cette sensation de satisfaction retenue, faite de sentiments mĂȘlĂ©s le rĂ©confort de constater les efforts dĂ©ployĂ©s dans l'application des accords de Bonn sous l'Ă©gide des organisations internationales, qui avaient autorisĂ© des progrĂšs importants ; la conscience que la partie Ă©tait cependant encore loin d'ĂȘtre gagnĂ©e ; la conviction, enfin, que tout devait ĂȘtre mis en œuvre pour asseoir l'autoritĂ© fragile du gouvernement provisoire, en lui donnant les moyens de dĂ©montrer sa capacitĂ© Ă amĂ©liorer la sĂ©curitĂ© et la situation Ă©conomique et sociale des citoyens [...]afghans, sur l'ensemble du territoire. En resumen, señor Presidente en [...] ejercicio del Consejo, como usted mismo ha dicho, vine con una sensaciĂłn de alegrĂa comedida, pero confuso, porque, por un lado, me sentĂa alentado por los esfuerzos realizados para aplicar el Acuerdo de Bonn, bajo los auspicios de las organizaciones internacionales, pero era consciente de que aĂșn quedaba mucho para ganar la partida y, finalmente, totalmente convencido de que todavĂa quedaba todo por hacer para establecer la autoridad frĂĄgil del Gobierno provisional concediĂ©ndole los medios para demostrar su capacidad para mejorar la seguridad y la situaciĂłn econĂłmica y social de los ciudadanos [...]afganos en cualquier parte del paĂs. Il t'a humiliĂ©, il t'a [...] fait sentir la faim, il t'a donnĂ© Ă manger la manne que [...]ni toi ni tes pĂšres n'aviez connue, pour [...]te montrer que l'homme ne vit pas seulement de pain, mais que l'homme vit de tout ce qui sort de la bouche de YahvĂ© Te humillĂł y te hizo pasar hambre, y despuĂ©s te alimentĂł con [...]el manĂĄ que ni tĂș conocĂas ni habĂan conocido tus padres, para [...]hacerte saber que no sĂłlo de pan vive el hombre sino de todo lo que sale de la boca de YahvĂ© Dt 8,1-3. 17Et il dit Ă Adam Puisque tu as [...] obĂ©i Ă la voix de ta femme, et que tu as mangĂ© de l'arbre au sujet duquel je t'avais donnĂ© cet ordre Tu n'en mangeras point! le sol sera maudit Ă [...]cause de toi; tu en mangeras [...]les fruits avec peine tous les jours de ta vie. 17Y al hombre dijo Por cuanto obedeciste ĂĄ la voz [...] de tu mujer, y comiste del ĂĄrbol de que te mandĂ© diciendo, No comerĂĄs de Ă©l; maldita serĂĄ la tierra por amor de ti; con dolor comerĂĄs de ella todos [...]los dĂas de tu vida Celui qui allait rassasier les foules en multipliant les pains, celui qui nous [...] demandera lors du jugement [...] dernier si nous avons donnĂ© Ă manger aux affamĂ©s, affirme aussi que Dieu est plus grand que notre faim et que sa Parole [...]est notre premiĂšre nourriture. Sin embargo Ă©l, que darĂĄ de comer a una multitud con el milagro de la multiplicaciĂłn de los panes, y que [...] basarĂĄ el juicio final [...] incluso sobre el dar de comer al hambriento, nos dice que Dios es mĂĄs grande que nuestra hambre y que su Palabra es el [...]primer alimento esencial para nosotros. Vous avez bien sĂ»r raison. Si j'avais Ă ma disposition les outils et la flexibilitĂ© [...]que les systĂšmes bureaucratiques ne m'offrent pas, la mission serait partie il y a longtemps dĂ©jĂ . Evidentemente, tienen razĂłn, si tuviese los instrumentos y la flexibilidad que los [...]sistemas burocrĂĄticos no me conceden, esta misiĂłn habrĂa partido ya hace mucho tiempo. Ceci est pour le fils, j'ai peu de temps, j'ai beaucoup de temps, une goutte de pluie est tombĂ©e, je viens de la forĂȘt, en avant, en arriĂšre, il fait trĂšs chaud dans ces maisons, je vais vers ces maisons, ces hommes [...] sont bons, ces hommes [...] font du bois, vous avez bu beaucoup de vin, je crois que demain il pleuvra, je crois que nous devons acheter une voiture neuve, je crois que le curĂ© a cĂ©lĂ©brĂ© la messe trĂšs tĂŽt, quand je serai adulte je vivrai sans souci, quand je vais en forĂȘt je passe le temps trĂšs agrĂ©ablement, je vais voir mon frĂšre Ă l'hĂŽpital, je dirai la vĂ©ritĂ© au curĂ©, je ferai cela trĂšs bien, je boirai le vin Ă la bouteille, nous pouvons faire ceci, tu peux manger beaucoup parce qu'il y a beaucoup de nourriture, laisse le faire ce qu'il veut, ne le laisse pas faire cela, je l'ai laissĂ© manger ce qu'il voulait, donne Ă boire Ă la vache, ils m'ont donnĂ© Ă manger tout ce que je [...]voulais. Esto es para el hijo, tengo poco tiempo, tengo mucho tiempo, ha caĂdo alguna gota de agua, vengo del monte, adelante, atrĂĄs, en [...] estas casas hace mucho calor, [...] me voy a estas casas, estos hombres son buenos, estos hombres han hecho la leña, vosotros habĂ©is bebido mucho vino, creo que va a llover mañana, creo que vamos a comprar un coche nuevo, creo que el cura ha dado la misa muy pronto, cuando sea mayor vivirĂ© sin preocupaciones, cuando voy al monte me lo pasĂł muy bien, voy a ver a mi hermano al hospital, le dirĂ© la verdad al cura, harĂ© esto muy bien, beberĂ© el vino de la botella, nosotros ya podemos hacer esto, puedes comer mucho porque hay mucha comida, dĂ©jale hacer lo que quiera, no le dejes hacer eso, le he dejado que coma lo que quiera, dale de beber a la vaca, me han dado de comer todo lo que quiero. Je suis d'ici, le curĂ© vit loin, nous sommes venus, les parents sont partis, tu es Ă©tranger [...] vouvoiement et tutoiement, vous ĂȘtes venus, la [...] mĂšre m'a prĂ©parĂ© le dĂźner, ils m'ont donnĂ© de l'argent, vous m'avez dit la vĂ©ritĂ©, tu m'as dit la vĂ©ritĂ© vouvoiement et tutoiement, j'ai donnĂ© du pain au pĂšre, elle ne lui a rien dit, nous avons dit la vĂ©ritĂ© au curĂ©, ils ont dit la vĂ©ritĂ© au curĂ©, vous avez donnĂ© de l'herbe au boeuf, tu as donnĂ© de l'herbe au boeuf, la fille nous a apportĂ© du fromage, ils nous ont apportĂ© du fromage, j'aime le pain, il aime le vin, notre maison a brĂ»lĂ©, leur brebis est morte, votre fille vous est venue, ta fille t' est venue, il me connaĂźt, j'ai donnĂ© du lait aux enfants, nous leur avons donnĂ© du lait, j'ai achetĂ© une maison, il a tout mangĂ©, nous avons vendu le boeuf, ils [...]ont coupĂ© de la viande, qu'avez-vous apportĂ© ? Yo soy de aquĂ, el cura vive lejos, hemos venido, los padres se han ido, tĂș eres de [...] fuera zuketa, hiketa, vosotros habĂ©is venido, la madre me ha hecho la [...] cena, esos me han dado dinero, vosotros me habĂ©is dicho la verdad, tĂș me has dicho la verdad zuketa, hiketa, al padre le he dado pan, esta no le ha dicho nada, nosotros al cura le hemos dicho la verdad, estos al cura le han dicho la verdad, vosotros al buey le habĂ©is dado hierba, tĂș al buey le has dado hierba, la hija nos ha traĂdo queso, esos nos han traĂdo queso, me gusta el pan, a ese le gusta el vino, se nos ha quemado la casa, a esos se les ha muerto la oveja, a vosotros os ha venido la hija, a ti te ha venido la hija, ese me conoce, a los niños les he dado leche, nosotros les hemos dado leche, he comprado una casa, ese ha comido todo, hemos vendido [...]el buey, esos han cortado carne, ÂżquĂ© habĂ©is traĂdo? tutoiement, la mĂšre m'a prĂ©parĂ© le dĂźner, ceux-lĂ m'ont donnĂ© de l'argent, vous m'avez dit la [...] vĂ©ritĂ©, j'ai donnĂ© du pain au pĂšre, au curĂ© nous [...] avons dit la vĂ©ritĂ©, ceux-ci ont donnĂ© Ă manger au frĂšre, vous lui avez donnĂ© Ă manger, vous ne lui avez pas dit la vĂ©ritĂ©, [...]la fille m'a apportĂ© du fromage, j'aime le pain, [...]celui-lĂ aime le vin, notre maison a brĂ»lĂ©, leur maison a brĂ»lĂ©, votre fille vous est venue, j'ai vendu du lait Ă ces enfants, la fille m'a donnĂ© les clĂ©s, ceux-lĂ m'ont donnĂ© certaines choses, qu'avez-vous apportĂ© ? en hiketa, la madre me ha hecho la cena, esos me han dado dinero, vosotros me habĂ©is dicho la verdad, al [...] padre le he dado pan, al cura le hemos dicho la [...] verdad, estos le han dado la comida al hermano, vosotros le habĂ©is dado la comida, vosotros a ese no le habĂ©is dicho la verdad, [...]la hija me ha traĂdo queso, nos ha traĂdo queso, [...]me gusta el pan, a ese le gusta el vino, se nos ha quemado la casa, a esos se les ha quemado la casa, a vosotros os ha venido la hija, a esos niños les he vendido leche, la hija me ha dado las llaves, esos me han dado unas cosas, ÂżQuĂ© habĂ©is traĂdo?
Etcela est grave. Du fait de cette priorisation de lâutilisation dâĂ©nergie, la sensation de faim et les envies de manger peuvent disparaĂźtre. La peur et le stress peuvent aussi diminuer ces sensations. Ne pas avoir faim est donc ici un signe de mauvaise santĂ©, un signe quâil faut manger plus et non pas le signe pour vous quâil faut
Le deal Ă ne pas rater Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français oĂč le ... Voir le deal COMMENCEMENT. Corbeille Aller Ă la page 1, 2 AuteurMessageInvitĂ©InvitĂ©Sujet le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 1423 Louhan allez monte. PurĂ© il fait frais, jâai froid aux jambes moi. Monte ou sinon je te fait grimper moi-mĂȘme si tu nâes pas encore en Ă©tat⊠» Louhan tourna la tĂȘte vers le conducteur, ou plutĂŽt la conductrice. Il avait la tĂȘte appuĂ©e sur lâappui-tĂȘte de son siĂšge, il fixa Charlotte, ou Stephanie il savait plus. Du moins il nâarrivait jamais Ă savoir entre elle et sa sĆur. Il la regarda, ba quoi il allait pas foutre le chauffage en Ă©tĂ©. Elle avait quâĂ pasmettre de mini jupe pour son service. Il soupira, cherchant avec sa main la poignĂ©e. Il ouvrit la portiĂšre et sortit difficilement certe. Je peux encore monter seul chez moiâŠmerci de mâavoir dĂ©posĂ© » rĂ©pondit-il. Il la regarda partir et sâalluma un joing. AprĂšs tous il nâĂ©tait plus à ça prĂšs. Il Ă©tait cinq heures du matin. Son service ayant finit Ă 3 heure il avait eut deux heures pour se prendre 1,6 gramme de coke, deux bouteilles de vodka et une de rhum. Puis Lâune des jumelles Stewton avait dĂ©cuidĂ© de rentrĂ© chopant par la mĂȘme occasion le jeune home. Pas trĂšs sympa de lâinterrompre dans sa super soirĂ©e. Super soirĂ©e, quelle ironie. Il avait terminĂ© son travail se sentant abject. Hopeless hantant ses pensĂ©es. LĂ câĂ©tait assez dur de penser Ă la jeune fille. Allumant une clope il monta les escaliers un Ă un. Assez lentement pour pouvoir encore tenir debout. Lâappartement nâĂ©tait pas fermĂ©. Heureusement car il nâaurait jamais rĂ©ussit Ă rentrer dedans. Il alluma juste une lampe prĂšs du canapĂ©, pour ensuite aller Ă la salle de bain. Il regarda son reflet dĂ©foncĂ©, ses traits tirĂ©s, ses joeus creusĂ©es. Oui il Ă©tait bien un junkie comme tous le monde le pensait. Il prit trois cahcets censĂ© faire passer le mal de tĂȘte. Lui il voulait juste faire passer lâalcool le mal de tĂȘte lui permettait de pas trop se concentrer sur un autre mal. Il but ce verre abject. Grimaçant il retourna Ă son visage. Quelques secondes plus tard il du se prĂ©cipiter vers les toilettes pour rĂ©gurgiter quelques verres voir une bouteilles au moins dâalcool. Il sâessauya la bouche reprenant des mĂ©dicaments. Puis il repartit dans le salon. Zippo en main il alluma un joing. Il fixa cette porte close. Tristan. OĂč es-tu ? Je ne tâai jamais demander de revenir car je sais que tu es avec elle. Que vous ĂȘtes ensembleâŠmais jâai tant besoin de toi. Pourquoi tu peux pas ĂȘtre lĂ . Je peux rien faireâŠje sais pas comment faire Il tourna la clef dans la serrure, la porte sâouvrant doucement. Le noir total. Il fit un pas, lâambiance Ă©trange. Un cadre lui faisant face. Deux jeunes hommes, quasiment semblabes. Assis sur du bitume, riant , amusĂ© dâune blague commune sans doute. Le mĂȘme regard, les mĂȘmes tatouages. Louhan peu reconnaissable, des tatouages en moins, une vie en plus dans ses yeux. Le jeune homme sâapprocha de ce souvenirs, cette piĂšce recouverte de photos, de souvenirs. Avec une guitare posĂ© sur une banquette abimĂ©e. Louhan sâapprocha de cette banquette, jouant quelques accords. Il posa cette guitare, sâallongeant dans cette piĂšce qui encore une fois lui rappelait le passĂ©. Ses yeux se fermĂšrent peu Ă peu, son visage crispĂ© par Tristan se mĂ©langeant avec Hopeless⊠InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 1444 J'avais faim. Depuis combien de temps je n'avais pas mangĂ© ? J'avais l'immense flemme de me faire Ă manger. Deux jours ? Oui, sans doute. Ăa faisait deux jours que je n'avais pas mangĂ© correctement ce qui pouvait se voir. Mon corps tremblait doucement, alors que mes pas rĂ©sonnĂšrent. J'Ă©tais la seule, dans la nuit totale et j'avais peur. Peur du noir. Mais pas que du noir non plus. Peur de ce qui allait se passer avec Louhan, car j'Ă©tais bien dĂ©cidĂ©e Ă aller le voir, de nouveau quitte Ă ne rien lui dire. Seulement le regarder, vivre. Je voulais seulement le voir. Son regard bleu et son sourire provocant. Je voulais seulement voir ça. Lui. Louhan. Ce doux prĂ©nom qui faisait si mal, qui me rendait malade autant qu'il me tuait. Louhan. Mes pas accĂ©lĂšrent, je stressais comme une grosse malade dans la nuit. Dn plus, j'entendais des voix d'hommes. Or, je ne pouvais courir, car je n'en avais pas la force. Et Louhan qui habitait dans un quartier qui craint. Un jour, j'allais lui crever les yeux pour avoir habitĂ© ici. Son immeuble Ă©tait lĂ . Je montais les marches, doucement. FatiguĂ©e. Il Ă©tait tard. Ou plutĂŽt tĂŽt. Je ne savais pas Ă quelle heure finissait Louhan alors j'Ă©tais venue chez lui, tard. Il Ă©tait cinq heures du matin surement. Je baillais, doucement. Il fallait que je le vois. Maintenant. Dernier Ă©tage, la porte de son appartement. Je toquai doucement. Pas de rĂ©ponse. Je toquai une nouvelle fois. Pas de rĂ©ponse. J'enclenchais la porte, dieu merci elle Ă©tait ouverte. Louhan, tu es lĂ ? » demandais-je d'une petite voix, timidement. Pas de rĂ©ponse non plus. Une porte Ă©tait ouverte, cette porte close qui m'intriguait. Allais-je me faire tuer et dĂ©couper en petit morceaux par la suite ? Tant pis. J'entrouvris la porte, dĂ©licatement. Il Ă©tait lĂ , allongĂ© sur le sol, les yeux fermĂ©s. Il Ă©tait beau, terriblement beau. Je souris, peu de temps, avant de grimacer. Il aurait dĂ» m'entendre, lĂ . Pourquoi ne bougeait-il pas ? EffrayĂ©e, je m'approchais de Louhan en vitesse, le secouant. Louhan, tu me fais quoi lĂ ? » Ne le voyant pas ouvrir les yeux, je le secouais, encore. Il commençait sĂ©rieusement Ă me faire peur. Je pris peur, sans savoir pourquoi. Il Ă©tait lĂ , ne rĂ©pondant pas. Je levai la tĂȘte, regardant autour de moi et vu une photo, de deux garçons. Je ne les voyais pas bien, tant pis. Je m'en foutais Ă vrai dire. Parce que Louhan ne rĂ©pondait toujours pas et que mon cĆur se serrait de plus en plus. RĂ©pond moi, Louhan bordel ! RĂ©pond moi ! InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 1750 A travailler, Ă se droguer et Ă boire il allait un jour finir par crever. Il le savait mais arĂšs tous, tous le monde finissait un jour par mourir. Et Louhan Ă©tait persuadĂ© quâen mourrant il rejoindrait Tristan. Pourquoi ne pas le rejoindre dirctement ? Ce serrait facile Ă vrai dire, une voiture qui va trop vite, un saut dans le vide, une corde, trop de coke, trop dâalcool. Il avait le choix, trop de choix. Mais Ă chaque fois quâil y avait pensĂ©, Ă chaque fois quâil avait vouluit le faire. Il y avait ce souvenir. Cette derniĂšre nuits, ensemble, rien que tous les deux. Et Tristan lui faisant jurĂ© de vivre pour deux, cette promesse sceller par leur lĂšvres se collant lâun Ă lâautre pour Ă©changer le mĂȘme air, un air plein de tabac. Alors il ne pouvait le faire, car aussi bizarre que cela pouvait paraĂźtre câĂ©tait Tristan qui depuis des annĂ©es le forçait Ă pas aller jusquâĂ lâoverdose. MĂȘme mort il le forçait Ă ne rien faire de trop absurde. Alors pourquoi ne lâavait-il pas forcer Ă ne pas tomber amoureux de cette fille ?Louhan sâĂ©tait endormit sur ce canapĂ©, la guitare de Tristan posĂ©e Ă terre, dans cette univers qui pouvait sans doute le ramener au temps oĂč il nây avait pas encore tous ces souvenirs. OĂč il y avait juste le prĂ©sent et lâinterrogation de savoir se quâils ferraient le lendemain tous les deux. Il Ă©tait dĂ©foncĂ©, bien soule aussi. Il aurait vraiment du mal le lendemain matin. Ca prĂ©sageait un mal de tĂȘte fĂ©roce. Mais pour le moment il avait sombrĂ© dans les bras de MorphĂ©. Il nâentendit pas sa porte sâouvrir. Ca pouvait ĂȘtre dangereux, nâimporte qui pouvait pĂ©nĂ©trer son appartement mais il y avait peu de chose Ă voler vu que cette piĂšce Ă©tait toujours fermĂ©e. Il ne la sentit pas approcher. Comment lâaurait-il pu ? Il se sentit alors secouer. Pourtant il nâarrivait pas Ă rĂ©agir. Trop dans son sommeil. Quâon le laisse tranquil. Il voulait juste dormir mince. Il ne bougeait pas. Pourtant il fut tellement secouĂ©, reconnaissant cette voix affolĂ©. Il sortit peu Ă peu de son sommeil. PurĂ© impossible de dormir tranquil. Il repoussa un peu Hopeless essayant de retrouver ses souvenirs, se qui se passait. Il refit vite surface nĂ©anmoins. La voyant la face Ă lui. Que faisait-elle ici ? Pourquoi Ă©tait-elle lĂ ? Pourquoi venait âelle le voir comme si il avait une rĂ©el importance ? Câest alors quâil repĂ©ra oĂč ils Ă©taient. Le lieu. La chambre. Que faisait-elle ici ? Louhan pourtant apaisĂ© resota sur ses jambe oĂč du moins dâabord en mode assis il se leva rapidement. DĂ©gagesâŠquâest-ce que tu fous ici ? Sort !!! » Sa voix furieuse brisant le silence. Il la prit par le bras, la forçant Ă se tirer de cette piĂšce. Il la tira violament vers la sortit. Un remake de la scĂšne oĂč un jour il Ă©tait en manque mais peut-ĂȘtre en plus furieux. Il claqua la porte de la piĂšce derriĂšre lui. Cachant son visage dans ses mains. Câest alors quâil rĂ©alisa se quâil avait fait, il rĂ©ouvrit la porte sortant dans le salon. Sur une Hopeless qui nâavait pas bougĂ©. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 1845 Et s'il venait Ă mourir. Nan mais c'est vrai quoi, il avait un mode de vie plutĂŽt Ă©trange. S'il venait Ă mourir comment je ferai moi ? C'Ă©tait Ă©goĂŻste, je le savais, mais lĂ , Ă ce moment mĂȘme, je ne voulais pas m'imaginer vivre sans lui, sans ce putain de regard bleu qui avait envahit mon esprit sans oser en repartir. Il Ă©tait lĂ , graver et je ne pouvais m'en passer. Non. Jamais. C'est pour ça que j'Ă©tais prĂ©sente, chez lui dans cette piĂšce Ă©trange Ă le secouer de toutes mes forces alors que mon cĆur lui, ne battait plus. Il ouvrait les yeux lentement et je soupirais. Quel con ! Il emmargea peu Ă peu sautant sur ses jambes se levant rapidement. DĂ©gages.. Qu'est-ce que tu fous ici ? Sors ! » Me prenant par le bras, il me faisait mal. Il m'avait jetĂ© comme une vulgaire chose Ă la porte. Je ne compris pas. Il Ă©tait dans la piĂšce et moi aussi. Ce qui me laisserai le temps de trouver une excuse bidon pour ma prĂ©sence ici. Fouillant dans mon sac, je trouvai son dĂ©bardeur. Bingo, j'allais m'en sortir. Il ouvra la porte, doucement. Il Ă©tait vraiment horrible. Enfin, pas physiquement horrible mais, ses yeux Ă©taient tellement rouges, sans vie. Pire que quand nous nous Ă©tions vus au bar. Il avait du se droguer, aprĂšs. Encore. Je soupirais lentement. Pourquoi m'Ă©tait-il sa vie en danger, ainsi ? Et pourquoi la drogue ? Je sais pas, il y a de nombreuses autres choses dans le monde. Pourquoi ça ? Ne tenait-il vraiment pas Ă vivre ? Un de ces jours il allait en crever, chose que je ne voulais pas. Absolument pas. Je m'approchais de lui, dangereusement, sortant son dĂ©bardeur de mon sac. Je voulais te rendre ça.. » dis-je d'une petite voix, lui tendant. Nous Ă©tions Ă quelques centimĂštres, il ne bougeait pas. Je soupirai, le posant sur la petite table alors que je n'avais pas bougĂ©. Non. Toujours cette mĂȘme proximitĂ© entre nous deux. Enivrante, mais surtout vertigineuse. J'avais la tĂȘte qui tournait, les jambes qui tremblaient. Instinctivement, je m'accrochai Ă Louhan - ce ne fut pas la meilleure idĂ©e de ma vie - trop faible pour attraper quelques choses d'autres. Mais qu'est-ce qui m'arrivait ? Pourquoi Ă©tais-je devenue si faible, si tremblante d'un seul coup ? Ma tĂȘte se posa lourdement sur l'Ă©paule de Louhan, j'essayais de la relever. Aucune rĂ©ponse de ma tĂȘte devenue trop lourde. J'aurais dĂ» Ă©dition par Hopeless J. Shinedown le Dim 27 Juin - 2235, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 2118 Je voulais te rendre ça.. » Louhan la regardait, la face Ă lui. Elle avait quelque chose dans ses mains. Louhan regarda un instant le bout de tissu. Puis il remonta le regard vers Hopeless sans rien dire. Comprennant alors que c'Ă©tait un de ses dĂ©bardeurs, il n'en eut pourtant pas grand chose Ă faire. Elle le posa sur la table basse, sans bouger d'un pas. Elle Ă©tait lĂ . Si prĂšs de lui. L'observant comme un animal de foire. Il ne comprennait pas. Il allait bien, qu'elle le laisse tranquil. Il allait bien, qu'elle s'en aille. Il allait bien, pourquoi revenait-elle pour troubler cette paix instorĂ©e par la drogue. Nan pourtant elle Ă©tait lĂ . AprĂšs tous se qui s'Ă©tait passĂ© comment pouvait-elle ĂȘtre lĂ ? Il la regardait essayant de savoir comment rĂ©agir. Mais son cerveau encombrĂ© par du coton semblait plus savoir. Etait-ce la drogue? OĂč alors simplement qu'il ne savait plus comment se comporter. Un sience s'installa entre eux. Pesant, Louhan ne disait rien. Dos Ă la porte qu'il avait refermĂ©. Face Ă elle, si proche de lui et pourtant si loin en mĂȘme temps. Que devait-il faire? Comment pouvait-il effacer ces images de sa tĂȘte? Comment pouvait-il faire confiance Ă une fille qui disait l'aimer mais qui avait coucher et eut une relation de couple avec un autre? Merci... tu aurais pu le garder mais c'est...sympa » rĂ©pondit-il au bout d'un moment. Sa voix calme et posĂ©, une voix blanche de toute Ă©motions. son cerveau refusant de comuniquer autre chose. Quel heure Ă©tait-il? N'avait-ce Ă©tĂ© qu'un rĂȘve? Tout ce qu'il avait vut ces derniĂšres heures n'avait-il Ă©tĂ© qu'un cauchemard? Pourtant tous semblait si rĂ©el, si proche, si douloureux. C'Ă©tait cette douleurs qui lui broyait la poitrine qui lui montrait que c'Ă©tait rĂ©el. Et il se haissait que seulement une fille puisse le mettre dans cet Ă©tat?. Quoi c'Ă©tait pas la fin du monde? Ce n'Ă©tait qu'une fille. Non ce n'Ă©tait pas qu'une fille. C'Ă©tait cette fille , et elle remettait tout en cvause, elle faisait tous remonter. Il la regarda, que devait-il lui dire? Car il en avait aucune idĂ©e. NĂ©anmoins elle avait une sale tĂȘte, pas autant que lui certe. Mais elle avait l'air crevĂ© et affamĂ©. C'Ă©tait facile Ă deviner car la jeune fille mangeait comme dix d'habitude et que lĂ il vit rapidement . Il la regarda toute trace de colĂšre refoulĂ©. Tu veux manger quelque chose? » InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 2343 Le silence, c'Ă©tait ça le pire. Aucun bruit, seulement son souffle et le mien. Trop proche, beaucoup trop proche. L'idĂ©e de l'embrasser me vint Ă l'esprit, mais je la rembarrai aussitĂŽt, c'Ă©tait une mauvaise initiative, car je ne savais pas comment il allait rĂ©agir si jamais je venais Ă toucher ses lĂšvres. Ses lĂšvres qui m'appelaient sans le savoir. Ses lĂšvres que je regardais un bon moment, avant de plonger mon regard dans le sien, vide. D'habitude si provocant, si joueur. En trois petits mots, il avait perdu ce qu'il Ă©tait. Ce garçon si sĂ»r de lui. Trois petits mots qui avaient changĂ© ma vie. Trois petits mots qui avaient relancĂ© mon cĆur, pour mieux le briser. Pourtant, je n'avais pas de quoi avoir le cĆur brisĂ©, mais savoir Louhan souffrir Ă cause de moi, ça me tuait. Je n'Ă©tais qu'une fille parmi tant d'autre. Pourquoi moi ? Pourquoi m'avait-il dit ça Ă moi ? Pourquoi pas Ă une autre, une fille plus simple, une fille qui lui ressemble, une fille qui aurait pu trouver les bons mots pour le faire revenir. Une fille qui aurait pu l'aimer sans le faire souffrir, car je l'aimais oui, mais au final il avait mal. Ăa se voyait. Il n'avait jamais Ă©tĂ© aussi froid avec moi, jamais aussi distant. Je regrettai ces nuits simples mais douces dans ses bras, sans ces trois mots. Sans sentiments. Sans rien. Merci... Tu aurais pu le garder mais c'est.. Sympa. » il me rĂ©pondit, enfin. La voix dĂ©nuĂ© de sentiments. Si distant. Je soupirais. Sentir son odeur Ă longueur de temps ? Autant directement sauter d'un pont, ce serait plus simple. Sa peau Ă©tait si lisse, si dure, si.. Rah non, je devais m'interdire de divaguer ainsi. Mon ventre gargouillant et sans le vouloir je m'accrochais lĂ©gĂšrement Ă Louhan. Tu veux manger quelque chose ? » Je le regardai, serrant les lĂšvres et souris intĂ©rieurement. C'Ă©tait dĂ©jĂ bien, il ne me haĂŻssait pas jusqu'Ă me faire mourir de faim. Euh, oui je veux bien, s'il te plait.. » dis-je en rougissant, timidement. Pourquoi je rougissais ? Je ne savais pas. Mais je rougissais, souriant bĂȘtement, ne le regardant plus dans les yeux. Je me reculai et le suivis dans la cuisine, m'asseyant sur la premiĂšre chaise qui se trouvait dans la piĂšce, beaucoup trop faible et fatiguĂ© pour faire un pas de plus. J'avais seulement envie de manger lĂ . Manger Louhan ? Encore plus mais bon, ça, c'Ă©tait une autre histoire. Baillant, je croisais mes bras et posa ma tĂȘte dessus, regardant Louhan se dĂ©brouillait Ă me prĂ©parer un truc de mangeable. Je souris. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1108 Euh, oui je veux bien, s'il te plait.. » Il hocha la tĂȘte sans un mot. Il la regarda, elle lui sourit doucement rougissant. Il la regarda sans rien dire. Ce truc qu'il aimait tant, sa rĂ©serve que faisait qu'elle rougissait tous le temps, ce sourire timide. Il aurait voulut lui ordonner d'arreter ça, ça faisait trop mal. Mais il n'en fit rien. Il tourna les talons allant vers la cuisine. Il tourna juste avant la clef dans la cerrure. Toujours autant fuireux qu'elel y ai n'ajouta rien. La cuisine, toujours avec ce bordel continuel. Louhan se nourissait peu, il avalait des fruits, des cĂ©rĂ©als, du lait et du cafĂ©. Pas de viande, ni rien d'autre. La drogue servait Ă la combler l'estomac lorsqu'il avait trop faim. Il l'entendit s'assoir sur une chaise; il ne vĂ©rifia pas. Non moinbs il la voyait moins son coeur semblait imploser. Il ouvrit le frigo, biĂšre, vodka, fruit, biĂšre et encore biĂšre. Il trouva auissi un paquet de clope. Surprit il le posa sur le haut de son frigo avant de renfermĂ© la porte, ouvrant un placard il en sortit un paquet de cĂ©rĂ©al, il tendit aussi du pain. DĂ©barassant lĂ©gĂšrement la table des paquet de clopes, cendrier, livre et fait divers il lui posa ça devant elle. Puis lui donna un bol et des couverts. Il y avait rien dans son appartement; mais en mĂȘme temps il y avait peu souvent des invitĂ©s Ă faire manger ici. Il y a pas grand chose d'autre.. si tu veux des fruits sert toi dans le frigo» L'einforma -t-il levant Ă nouveau les yeux vers elle. Etrange sa prĂ©sence ici, lĂ sans se toucher, sans ce petit truc, sans ĂȘtre se passa une main dans ses cheveux court, sortant un verre il le remplit d'eau y plongeant de nouveau un mĂ©dicament. Si il finissait pas droguĂ© il finirait addict aux mĂ©docs. Il le laissa se diluer dans l'eau, sortant une clope. Il partit chercher son zippo. Le voyant sur le meuble, il se rappela quelques jours plutĂŽt Hopeless jouer avec, l'allumant avec joie. Il dĂ©tourna les yeux allant chercher un autre briquet dans un meuble. PuĂ©ril peut-ĂȘtre mais rien que cela faisait mal. Il revint dans la cuisine, Hopeless devait ĂȘtre fatiguĂ©e vu sa tĂȘte. Quoi? Que devait-il faire? Pouvait-il jouer encore longtemps ce rĂŽle d'ĂȘtre serviable malgrĂ© tous ça. De ne pas lui crier dessusn de ne pas la dĂ©tester. Non il ne pourrait pas rester longtemps mais il savait qu'il ne pourrait pas non plus la dĂ©tester. C'Ă©tait impossible tous simplement. Il s'accouda Ă l'Ă©vier, les yeux posĂ© sur la table. Silencieux, le bruit de son mĂ©doc efervescent rompant juste le silence. Pas de musique pour une fois. Il posa du tabac sur sa feuille et roula une cigarette. Silencieux avant de la porter Ă ses lĂšvres l'allumant. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1200 Que pouvais-je faire pour le rendre de nouveau normal ? Pour pouvoir glisser ma main dans la sienne, pour pouvoir toucher ses lĂšvres, si parfaites ? Je ne savais pas quoi lui dire, encore moins quoi faire. Pourtant, il allait falloir que je trouve, car ce silence Ă©tait pesant et je voulais tout rĂ©gler. Je voulais ĂȘtre avec lui, le voir sourire. Le voir vivre et en dĂ©couvrir un peu plus sur sa vie, petit Ă petit et non pas sur cet ĂȘtre distant et maladroit. Celui qui souffrait en silence, mais qui se trahissait par son regard. Je pourrais tout donner pour rester dans son regard, pour voir cette Ă©tincelle de provocation qui lui Ă©tait fidĂšle. Or Ă cet instant, il n'y avait plus que de la peine, de la haine et de l'amertume. Je ne voulais pas qu'il me dĂ©teste, je ne voulais pas qu'il ai une fausse imagine de moi. Et pour ça, je devais parler. Mais pas maintenant, moi, il dĂ©posa un paquet de cĂ©rĂ©ales et du pain. Puis un bol et des couverts. Il y a pas grand-chose d'autre.. Si tu veux des fruits sert toi dans le frigo. » Il regarda en ma direction, je fuyais son regard trop bleu. Merci.. » soufflais-je doucement, lui souriant en coin. Une fois qu'il eu dĂ©tourner le regard, je le regardais Ă mon tour. Il Ă©tait beau, encore plus quand il se passait la main dans les cheveux. Une fois de plus, mon cĆur rata un battement. Je versai des cĂ©rĂ©ales dans le bol, mĂąchant lentement. MĂȘme le fait de voir ce bol et ces cĂ©rĂ©ales me rendaient nausĂ©euses. Ils me rappelaient un matin, oĂč j'avais dormi chez lui et que nous avions dĂ©jeunĂ© ensemble, aussi banalement qu'un couple normal. Je me souviens que ce matin-lĂ , j'avais souri, pour rien. J'avais souri, car ce banal je voulais en faire mon quotidien, avec lui. Je le regardais bouger, Ă l'instant mĂȘme, allant chercher un briquet surement. Le bruit de son mĂ©dicament qui se diluait dans l'eau me paru bruyant. Serait-ce parce que ce silence Ă©tait trop Ă©touffant ? Je n'osais mĂȘme pas mĂącher ayant peur que cela fasse trop de bruit. Avalant une nouvelle cuillĂšre, je baissais le regard. Il Ă©tait lĂ , adosser Ă l'Ă©vier, le regard fixait vers la table. J'avalai difficilement, m'apprĂȘtant Ă parler. Ăcoute Louhan je.. Je suis dĂ©solĂ©e. Demain, j'irai parler Ă Nathaniel parce que, mĂȘme si tu risques de le nier, je sais que ça te fait mal au fond, ton regard te trahit. » Ton si beau regard bleu, pensais-je. Et que, mĂȘme si ça ne mĂšne Ă rien, mĂȘme si ça ne ressemble Ă rien, mĂȘme si ça se terminera mal, je.. Je veux essayer. Essayer d'ĂȘtre avec toi, mĂȘme si c'est dur, mĂȘme si c'est impossible. Je veux ĂȘtre avec toi. » Je terminai ma phrase, le regard sur le bol. Je n'avais pas envie d'affronter son regard et je craignais ses mots. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1440 Les seuls bruits qui brisaient le silence Ă©taient ceux de son mĂ©dicament et les cĂ©rĂ©als de Hopeless. Rien de plus. Louhan fumait en silence, fixant cette table sans rien dire. Qu'est-ce qui Ă©tait Ă dire? Il prit un cendrier plus loin et y dĂ©posa la cendre sans ce soucier du reste. Une voiture passa Ă vive allure dans la rue en bas. Il n'y pretta pas attention. Ils se faisaient face, pourtant incapable de se parler. Rien, il n'y avait rien Ă dire. autant pour Hopeless que pour lui. Il sentait cette atmosphĂšre tendue. Ăcoute Louhan je.. Je suis dĂ©solĂ©e. Demain, j'irai parler Ă Nathaniel parce que, mĂȘme si tu risques de le nier, je sais que ça te fait mal au fond, ton regard te trahit. ... Et que, mĂȘme si ça ne mĂšne Ă rien, mĂȘme si ça ne ressemble Ă rien, mĂȘme si ça se terminera mal, je.. Je veux essayer. Essayer d'ĂȘtre avec toi, mĂȘme si c'est dur, mĂȘme si c'est impossible. Je veux ĂȘtre avec toi. » Louhan releva la tĂȘte. Elle ne le regardait pas. Elle avait les yeux posĂ© sur son bol. Il ferma les yeux, la machoire serrĂ©e. Pourquoi retourner le couteau dans la plaie? Mais si il se rĂ©pĂ©tait qu'entre lui et Hopeless rien ne pourrait se passer, quel Ă©tait donc ce truc que lorsqu'elle termina sa phrase il ressentit? Il secoua lĂ©gĂšrement la tĂȘte, comme si il voulait s'Ă©clairicr les pensĂ©es. Non rien ne pourrait fonctionner, il la dĂ©truirait. Il prĂ©fĂ©rait se dĂ©truire lui plutĂŽt qu'elle car au finale ça serrait se dĂ©truire tous les deux. Il tendit la main vers son verre, le faisant tourner entre ses mains il le regarda. L'eau moitiĂ© blanche. Il le porta Ă ses lĂšvres et but le liquide d'un coup. Grimaçant il reposa le verre dans l'Ă©vier. Restant adosser au rebords de l'Ă©vier. Tu devrais rester dormir ici cette nuit...ma voiture et restĂ© sur le parking du bar et c'est dangereux que tu rentres Ă pieds Ă cette heure lĂ ... donc tu peux dormir dans ma chambre. » dit-il. Sa voix neutre, brisant le silence. Calme, serein. Ca lui couptait d'agir comme si de rien Ă©tait mais s'Ă©tait ainsi. De plus il avait vraiment besoin de dormir pour voir se que cela ferrait les idĂ©es moins embrouillĂ©es. Il souhaitait juste que cela ne soit pas pire, que la douleur ne soit pas plus intense. Il avait parlĂ© sans faire par de se qu'avait dit Hopeless. Il se remit debout, Ă©crasant sa cigarette. Et tu verras demain ce que tu ferras... ou pas » continua-t-il. Ne voulant rien dire de plus. Il prit son paquet de clope, et une bouteille de biĂšre fraĂźche. Passant dans sa chambre il prit juste un oreillĂ© pour lui; laissant le reste Ă Hop'. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1516 Il Ă©tait lĂ , adosser Ă l'Ă©vier, Ă ne pas bouger. Il me rendait nerveuse. Beaucoup trop nerveuse. Portant une nouvelle cuillĂšre Ă ma bouche, mon ventre commençait lentement Ă cesser de me bruler. C'Ă©tait bon de manger. Le bruit des cĂ©rĂ©ales croquant dans ma bouche retentissait dans la cuisine. Louhan bu son mĂ©dicament, grimaçant. Je souris doucement. Tu devrais rester dormir ici cette nuit.. Ma voiture est restĂ©e sur le parking du bar et c'est dangereux que tu rentres Ă pied Ă cette heure lĂ .. Donc tu peux dormir dans ma chambre. » il avait dit ça, d'une façon tellement neutre. Dormir dans sa chambre, sans lui. Je grimaçais, mangeant une derniĂšre bouchĂ©e de cĂ©rĂ©ales. De plus, il n'avait pas fait attention Ă ce que j'avais dit.. L'avait-il au moins entendu ? Je soupirais. Et tu verras demain ce que tu feras... Ou pas. » Il passa Ă cĂŽtĂ© de moi, ne disant rien de plus. Il m'agaçait, dans sa maniĂšre d'ĂȘtre. J'avais envie de le frapper tellement fort pour qu'il revienne, pour qu'il soit de nouveau normal ». J'Ă©tais fatiguĂ©e, c'Ă©tait vrai. Mais dormir dans sa chambre, sans lui, ça me faisait encore plus mal au ventre que lorsque j'avais faim. Je me levai, dĂ©posant mon bol dans l'Ă©vier. Je n'avais pas la force Ă faire ma maniaque ce soir. Passant dans le couloir, le regardant. Je soupirai et entra dans sa chambre, ne fermant pas la porte. Je n'avais pas envie de sentir cette solitude encore plus s'accrocher Ă moi la nuit. Je dĂ©boutonnai mon jean, le glissant le long de mes jambes et le laissa lĂ , par-terre. Sa chambre sentait Louhan et c'Ă©tait horrible. Je me mis sous les draps, mettant un bras sous l'oreiller, montant mes jambes pour les rapprocher de mon ventre. J'avais froid, je me sentais mal et son odeur me tuait. Dn plus, son oreiller sentait vraiment lui. Je fermai les yeux, doucement, une larme coula le long de ma joue. Je pleurais silencieusement. Je voulais ĂȘtre dans ses bras pour me rĂ©chauffer, je voulais le sentir inspirer, puis expirer. Je voulais qu'il me sert, tellement fort pour oublier. Oublier tout cela et cette piĂšce Ă©trange. Il me collait Ă la peau, tout le temps. Dans ma tĂȘte, c'Ă©tait des flashs qui n'arrĂȘtaient pas de barrer le chemin Ă mon sommeil. Je le voyais, dans ce lit, souriant. Je le voyais, dans ce lit, m'embrassant. Instinctivement, je passais mes doigts sur mes lĂšvres, souriant. Un sourire qui devait plutĂŽt ressembler Ă une grimace. Essuyant mes larmes, je remontais les draps par-dessus mon visage. Au moins eux, me protĂ©geraient des cauchemars. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1529 Louhan la laissa dans sa chmbare. Il fut surprit de ne pas entendre la porte se fermer. allant vers son canapĂ© il vit qu'elle l'avait laissĂ© entre-ouverte. Il soupira, venant s'assoir sur le canapĂ©. Fixant cette tĂ©lĂ©, pencher en avant, ses coude posĂ© sur ses genoux. Il ne savait plus quoi faire. Il n'entendait aucun bruit provenant de la chambre. Dormait-elle? Il n'en savait rien. Il aurait aimĂ© aller la voir, la regarder, refaire les mĂȘmes gestes comme avant. La regarder dormir, caresser son visage, ses lĂšvres, jouer avec ses cheveux. La sentir se blottir dans ses bras. Louhan se mordit la lĂšvre. Ressentant cette mĂȘme sensation que plutĂŽt dans la soirĂ©e, dans la rĂ©serve du bar. Il porta son index Ă sa joue caressan sa peau humide. Pourtant il ne les fit pas disparaitre, sa tĂȘte basculĂ© en avant, fixant ses genoux. Pourquoi ça faisait si mal? Il voulait la voir. L'avoir que pour lui. Mais quelque chose le retenait. Il resta un long moment comme ça, avant de s'allonger sur son canapĂ©, pied nue, en jeans et tee-shirt. Il du s'assoupir un bon moment, dans un demi sommeil. Continuant d'entendre les bruits de la rue, mais ne pouvant rĂ©agir. ans un Ă©tat comateux. Il du rester ainsi quelques heures. Peut-ĂȘtre rĂ©ouvrit les yeux, la nuit dsparaissait peu Ă peu Ă sa fenĂȘtre. Il regarda le plafond, se levant alors pĂ©niblement. Retournant dans cette chambre si fondamental pour lui, il regarda la guitare. La frolant avec ses doigts. Etait-ce tous ces secrets qui les avaient Ă©loignĂ©? Etait-ce que Louhan n'avait jamais voulut se confier qui l'avait poussĂ© dans les bras de son frĂšre? Il en savait rien et ça le tuait. De pas savoir se qu'il avait fait. Il regarda des papiers, des lettres sur le bureau en dĂ©sordre. La piĂšce pourtant la plus rangĂ©e de l'appartement. Il regarda la plus vieille. Serrant les dents. Il retourna dans le salon, ne s'arretant pas vraiment. PĂ©nĂ©trant dans sa chmabre. Elle dormait. Elle Ă©tait lĂ . Les draps froissĂ© sur elle, elle Ă©tait lĂ si belle dans son sommeil. Il vint s'assoir sur le lit, se prenant la tĂȘte entre ses mains. Il la regardait sa respiration douce, calme par le sommeil. Il avança doucement sa main. Que lui avait-elle fait pour le rendre ainsi? Si dĂ©munit face Ă elle. Il caressa sa joue doucement. Il se releva alors, laissa juste cette lettre prĂšs de son visage. Et tourna les arriva dans le salon, ouvrant la fenĂȘtre il l'enjambea allant sur le minuscule balcon. S'en Ă©tait pas un, mais la place avant la barriĂšre de fer forgĂ©e pouvait servit de balcol. Il s'assit dessus, passant ses jambes entre les barres de fer, ses pieds dans le vide. Regardant la ville dĂ©jĂ rĂ©veillĂ© il alluma une cigarette. Pourquoi faisait-il cela? Pourquoi donner Ă Hopeless toutes les piĂšcespour le dĂ©truire? Elle avait dĂ©jĂ rĂ©ussit une fois. Avec peu de chose elle y Ă©tait parvenu. pourquoi recommencĂ© pour que se soit pire? Mais si il devait le regretter, regretter son geste, si il devait la regretter autant que se soit jusqu'au bout. Et sinon, sinon demain, aprĂšs-demain ce serrait des jours nouveau. Il Ă©tait peut-ĂȘtre temps depuis maintenant cinq annĂ©es. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1615 J'Ă©tais bien lĂ . Dans mes pensĂ©es il Ă©tait lĂ , Ă cĂŽtĂ© de moi, m'embrassant. En vrai c'Ă©tait son odeur qui me rendait ainsi, qui me faisait sourire alors que je ne devrais pas. J'Ă©tais bien, entre la nuit et le jour, entre la mort et la survit. Entre deux ponts. Je dormais Ă moitiĂ© sans vraiment le vouloir. Je sentais les bras de Louhan autour de moi, ses lĂšvres sur les miennes. Mon imagination me jouait des tours, mais elle eut les moyens de le faire pour de bons. Un champ. Un champ de tulipes rouges qui reflĂ©taient dans les yeux de Louhan. J'Ă©tais en plein rĂȘve, un doux rĂȘve. Il Ă©tait lĂ , devant moi ses lĂšvres dessinaient un sourire. Le sourire de l'autre fois, le sourire qu'il avait eu quand sa carapace s'Ă©tait brisĂ©e. Je me voyais, courir en riant de bons coeurs. J'Ă©chappais Ă Louhan qui essayait de me retenir. Un, deux, trois. Il me sauta dessus, m'attrapant les bras. Je lui souris, il me sourit. Nos lĂšvres se touchĂšrent et des papillons vinrent autour de nous, nous portant. Nous Ă©tions seuls et avions l'air heureux. Oui, ce rĂȘve Ă©tait magique. Ce rĂȘve Ă©tait bien loin de notre triste rĂ©alitĂ©. Je sentais une pression sur ma peau et bougea lĂ©gĂšrement. Les pas de celui qui venait de me sortir de mon sommeil s'Ă©loignĂšrent. Je baillai en silence, Ă©tirant mon bras. Il tomba sur une feuille. J'ouvrai les yeux, un peu. Le jour ce levai. Quelle heure Ă©tait-il ? Aucune idĂ©e. Je pris le bout de papiers soigneusement et ouvrais les yeux, peu Ă peu, pour la lire. Je me demandais pourquoi elle Ă©tait lĂ , d'ailleurs.. Une larme coula le long de ma joue, je dĂ©posais la lettre contre le lit, dĂ©licatement. Je compris alors. Tout s'Ă©claircissait. Sa façon d'ĂȘtre distant, son penchant pour la drogue et ses tatouages, qu'il n'avait jamais voulu m'expliquer. Je comprenais aussi l'importance de sa guitare, que j'avais vu hier ou aujourd'hui dans cette piĂšce, bizarre. Je comprenais tout, peu Ă peu et avait mal pour lui. Ătait-ce vraiment son frĂšre ? Ou une grande marque d'affection ? Dans les deux cas, il avait perdu son meilleur ami et je ne pouvais imaginer sa souffrance. C'Ă©tait comme ne plus avoir Polly Ă mes cĂŽtĂ©s, une chose que je ne voulais pas me levais brusquement, cherchant Louhan. Il n'Ă©tait plus sur le canapĂ©. Je regardais partout et enfin, je le trouvai. Il Ă©tait lĂ , sur les barres de fer de l'extĂ©rieur, les jambes dans le vide. Je m'approchais de lui, doucement. Je passai mes bras autour de sa taille, posant ma tĂȘte contre son dos, fermant les yeux. Merci.. » soufflais-je doucement. Ma voix du matin Ă©tait horrible. Je serrai un peu plus mon Ă©treinte, sentant son corps collait au mien. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1811 Louhan avait beau avoir passĂ© cinq ans Ă fuir cette rĂ©alitĂ©. A ne plus y penser et Ă la cacher aux autres, il avait finalement Ă©tĂ© rattrapĂ©. Il aurait pu ne rien lui dire, faire comme avant, lui pardonner. Mais pardonner, comment pouvait-il le faire? Lui qui donnait si peu sa confiance, lui qui savait qu'il ne pouvait que compter sur lui. Hopeless avait bien montrer qu'il avait raison de ne faire confiance Ă personne. Mais faire confiance Ă personne c'Ă©tait la perdre elle. Et quelque chose lui disait qu'il ne le supporterait pas. On lui avait voler Tristan, il n'avait pas eut son mot Ă dire. C'Ă©tait injuste mais il n'avait rien pu y faire. Alors que Hop' , Hopeless on lui donnait la possibilitĂ© d'ĂȘtre avec elle. On lui donnait toute la cartes en main, alors comment pouvait-il aprĂšs dire et crier Ă l'injustice? Non il devrait assumer ses choix, et il savait qu'il ne pourrait pas assumer celui de la perdre. Nan il ne pouvait pas lui pardonner, mais ils pouvaient tous recommencer. AprĂšs tous ils Ă©taient tous les deux en regarda sa cendre tomber dans la vide, et plus bas, beaucoup plus bas sur le sol. Il Ă©tait au dernier Ă©tage, si il avait sauter il se serrait tuĂ©. Ses yeux dans les vagues il dĂ©tourna son regards de ces pensĂ©es morbides. Regardant le ciel qui devenait plus clair Ă l'horyzon. Il avait de la chance de sa salle de bain on voyait le couchĂ© de soleil de son salon le levĂ©. Il n'avait pas Ă se plaindre. Mais il n'Ă©tait jamais en Ă©tat pour les contempler ni l'un ni l'autre. Il n'en voyait pas l'utilitĂ© Ă vrai dire. Il regardait les toits, les oiseaux qui se rĂ©veillaient et dĂ©jĂ en bas les gens qui passaient. Il la sentit alors, il ne l'entendit pas arriver mais la sentit derriĂšrelui. Il sentit ses mains autour de sa taille, frissonnant lĂ©gĂšrement il la sentit dans son dos. Merci... » Il ne dit rien, s'appuyant contre la poitrine de la brune. Il posa sa tĂȘte sur l'une de ses Ă©paules, ses yeux continuant de fixer l'immensitĂ© de l'horyzon. Il porta la cigarette Ă ses lĂšvres expirant ensuite la fumer. LĂ , assis, sentant la jeune fille dans son dos. Et il savait que plus rien ne serrait facile, mais qu'au moins elle serrait lĂ . InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1841 Je n'osais pas bouger. J'Ă©tais bien, malgrĂ© avoir lĂ©gĂšrement froid. Contre lui, son odeur parcourant mes narines, souriant. Je pouvais enfin le toucher, de nouveau le prendre dans mes bras. Il me faisait penser Ă un enfant auquel on venait de lui retirer son jouet prĂ©fĂ©rĂ©. Sauf que son jouet n'en Ă©tait pas un mais son meilleur ami et que ça l'avait encore plus endurcit que de perdre un simple jouet. Les morceaux du puzzle se reconstituĂšrent. Enfin. Enfin il s'Ă©tait ouvert Ă moi. Enfin je comprenais pourquoi. Enfin. Cet homme que j'embrassais Ă ce moment mĂȘme alors qu'il avait les jambes dans le vide avait beaucoup trop souffert. Au fil des mots, je m'en Ă©tais rendue compte. Je voulais partager sa douleur pour lui retirer, un peu. Pour lui retirer cette peine qui devait le dĂ©chirer. Je posa mes lĂšvres contre sa nuque, doucement, desserrant mes bras autour de sa taille. Je reculai, titubant et m'affalai contre le canapĂ©, baillant longuement. J'Ă©tais fatiguĂ©e, encore. Je posa ma tĂȘte contre l'oreiller que Louhan avait prit hier soir et le regarda, toujours. Je n'avais plus peur de le regarder, aussi bizarrement cela soit. Je n'avais plus peur d'oser l'affronter. C'Ă©tait horrible de se dire que maintenant que je connaissais sa faiblesse, je pouvais lui tenir tĂȘte. Je m'en voulais de penser ainsi, comme une salope, mais lui aussi connaissait l'une de mes faiblesses, mon frĂšre. Je fermai les yeux, doucement. Je ne dormais pas, j'avais juste besoin de fermer les yeux, la lumiĂšre m'aveuglait. Je repensais Ă cette lettre. J'avais tellement de question Ă lui poser. Mais pas maintenant. Pas maintenant qu'il venait de s'ouvrir Ă moi. Je bailla, encore une fois, c'est court. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1956 Louhan sentit les lĂšvres de la jeune fille dans son cou. Il la laissa faire. Conscient qu'il lui faudrait du temps pour retrouver cette confiance et oubliĂ© peu Ă peu ce qui s'Ă©tait passĂ©. Il la laiss afaire puis la sentit se dĂ©coller de son dos. Il resta un moment dans la mĂȘme position face Ă la ville. Puis il tourna la tĂȘte vers l'intĂ©rieur de son appartement. Il vit qu'Hopeless avait Ă©lu domicile sur son canapĂ©, allongĂ©e. Elle avait prit son oreillĂ© et avait les yeux fermĂ© bien qu'elle ne semblait pas totalement endormie. Louhan Ă©crasa sa cigarette. Il se leva restant en Ă©quilibre sur le bords de sa fenĂȘtre. Pied nue entre le vide et son appartement. Cela aurait Ă©tĂ© si simple de sauter du cotĂ© de la ville. De s'envoler vers un autre endroit. Il avança son pied et sota. attĂ©risant sur le parquet sans bruit. Il regarda l'heure de la cuisine. neuf heure et demie. C'Ă©tait dĂ©jĂ le lendemain. Demain Ă©tait aujourd'hui. Pourtant le jeune homme se sentait aussi crevĂ© que la veille. aussi vide d'Ă©nergie. Bien qu'il se doutait que le problĂšme n'Ă©tait pas que Hopeless mais surtout la nuit qu'il venait de passer. Il observa la jeune femme sur le canapĂ©. S'approchant il l'a prit dans ses bras un demi sourire aux lĂšvres. Avec souplesse il la issa prĂšs de lui et se dirigea vers sa chambre. Oui il Ă©tait neuf heure mais ce n'Ă©tait pas pour cela ques'Ă©tait l'heure de se lever. Loin de lĂ posa la brune sur sopn lit, puis s'allongea Ă cotĂ© d'elle. Ce lit jamais fait, cette chambre jamais rangĂ©, cet appartement qu'Hopeless dĂ©testait tant. elle n'avait cessĂ© de lui rĂ©pĂ©ter. Elle dĂ©testait venir ici dans ce quartier "mal famĂ©" comme elle disait. Lui il l'aimait son appartement, il aimait son quartier et ses habitudes. Louhan bailla lĂ©gĂšrement, se sentant totalement Ă©puisĂ©. Comme si il n'avait pas dormit depuis des jours et des jours. Il regarda la jeune femme, ne sachant plus comment agir avec elle. retrouver les anciens gestes... Il ota son tee-shirt te son jeans. Le soleil se levait alors que lui comptait bien ne pas l'imiter. Se rallongeant sur son lit il attira Hopeless Ă lui. DĂ©posant un baiser dans sa nuque, sur sa nan j'aime et moi aussi c'est court / InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 2047 J'avais cours aujourd'hui, Ă dix heures mĂȘme, mais je n'allais pas y aller, autant que je n'allais pas quitter Louhan maintenant. Dans quatre vingt ans peut-ĂȘtre, mais pas maintenant. Non. Je voulais ĂȘtre avec lui, lui apprendre Ă vivre sans souffrir. Lui apprendre comment moi-mĂȘme je vivais. En souriant au bonheur de la vie, tout simplement. Je n'ai jamais dit que c'Ă©tait facile, au contraire, mais il faut savoir se satisfaire de peu pour construire son avenir. Un avenir avec des risques, des bas et surtout des hauts, parce qu'il fallait se rĂ©jouir d'ĂȘtre en vie alors que d'autres sont partis bien trop vite. Comme son meilleur le sentais s'approcher, son odeur le suivait, mais je n'avais pas la force d'ouvrir les yeux. Je sentais ses bras, autour de moi, me soulever. Je souris contre lui. Je m'accrochai Ă lui, alors que nous traversions son appartement pour aller dans sa chambre, je suppose, puisqu'il me posa sur un meuble mou, j'ouvris les yeux, un peu. Il enlevait son tee-shirt, puis son jean. Je souriais, comme une enfant heureuse. Son corps Ă©tait bien foutu, n'empĂȘche. Louhan s'allongea Ă cĂŽtĂ© de moi, m'attirant vers lui. Ses lĂšvres se posĂšrent dans ma nuque, me provocant un tas de frissons puis sur ma clavicule. Je soupirais lĂ©gĂšrement, sans m'en rendre compte et souris. Doucement, j'avançais mon visage vers le sien, hĂ©sitant. Devais-je l'embrasser ou non ? Allait-il me rejeter ou pas ? Je regardais ses yeux, puis ses lĂšvres. Puis ses yeux et encore ses lĂšvres. Nos souffles se mĂ©langeaient, doucement. Son souffle chaud et brutal avec le mien. Je me poussais lĂ©gĂšrement pour pouvoir enfin le toucher, glissant ma main contre son torse, remontant doucement vers sa nuque pour finir par caresser sa joue, tendrement. Ăa faisait horriblement bien, de se sentir en vie, seulement parce que je venais de l'embrasser. Timidement, comme une enfant. Nos lĂšves, ensembles. Pour toujours, car je n'allais pas le laisser partir, pas maintenant qu'il s'Ă©tait ouvert, qu'il m'avait ouvert son cĆur. Pas maintenant qu'il Ă©tait nu, face Ă moi, moi la fille trop pure, mon son parfait contraire qui l'aimait, beaucoup plus qu'elle ne l'aurait souhaitĂ©. C'Ă©tait fou comme je l'aimais. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 2151 Louhan avait mit sa tĂȘte sur pause, son coeur brulant sur off et tous le reste aussi. Pourquoi penser? Il ne savait pas lui mĂȘme se qu'il voulait , enfin si. Il voulait ĂȘtre avec elle. Mais il ne savait plus quoi penser. Alors pourquoi continuer Ă essayer de le faire ? Il avait donc dĂ©cidĂ© de ne plus se poser de question. Et s'est ainsi qu'il conduisit Hopeless dans sa chambre. Elle Ă©tait Ă deux doigts de sombrer dans le sommeil. Il la dĂ©posa sur le lit, rĂ©tirant alors son tee-shirt et son jeans. Seulement en boxer il s'approcha e la jeune fille l'attirant Ă lui. Il dĂ©posa un baiser dans son cou, respirant son parfum avec envie. Il la sentit bouger léÚrement et lui sourire. Un sourire qui retournerait n'importe quel mec. Sauf que s'Ă©tait lui qui Ă©tait lĂ , dans ce lit. Lui qui pourtant n'avait plus confiance en eux. Mais en voyant ce sourire, si timide ,si incertain. Il comprennait qu'il avait beau ne plus y croire, Hopeless semblait vouloir le faire pour deux si il baissait un jour les bras. Il la vit se rapprocher de visage si proche, leur souffle s'entremĂ©lant. Louhan la regardait sans bouger, appuyer sur sa main. Il ne bougeait pas, il la regardait. Ses yeux faisant l'aller-retour entre ses yeux si marron et Ă©nivrant, et ses lĂšvres si attirante. Il la regarda s'approcher, sentant sa main venir caresser son Ă©paule, sa joue. Puis enfin, enfin leur lĂšvres se touchĂšrent doucement. Louhan la laissant alors l'embrasser. Alors que doucement, il commença Ă reprendre surface. Passant alors doucement sa main dans les cheveux de la jeune fille il rĂ©pondit Ă son baiser. Comprenant qu'il ne pouvait rien faire de plus pour la repousser. Non il ne pouvait le faire c'Ă©tait impossible. Pourquoi donc continuer Ă jouer au c**? Il l'attira un peu plus Ă lui, profitant de son parfum tandis qu'il savourait finalement ce baiser. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Mer 30 Juin - 2236 Son regard bleu, parfois rouge, parfois vide, parfois Ă©tincelant ou provoquant. De toutes les maniĂšres que son regard soit, son regard Ă©tait ma prioritĂ©, ma premiĂšre pensĂ©e. DĂ©pendante de lui, autant de ses lĂšvres que de sa peau collĂ©e Ă la mienne. Autant que lui avec moi. Maintenant tout pouvait se faire, parce que je pouvais enfin imaginer me rĂ©veiller dans ses bras le matin et prendre le petit-dĂ©jeuner avec lui, comme un couple banal. Je pouvais enfin imaginer lui prendre la main, l'embrasser dans la rue, me serrer contre lui lorsque j'aurais froid et mĂȘme rester des heures avec lui s'il le fallait dans nos rues de San Fransisco. S'il baissait les bras, s'il dĂ©primait, je pourrais ĂȘtre avec lui et lui dire que tout ira bien, lui redonner espoir et goĂ»t Ă la vie, car dĂ©sormais ce sera logique. Je pouvais maintenant imaginer ĂȘtre sa petite amie et lui, mon petit copain, car mĂȘme si nous sommes diffĂ©rents, mĂȘme si nous venons de deux mondes opposĂ©s, je l'aimais plus que je ne l'aurai souhaitĂ©, je l'aimais quitte Ă ne plus jamais parler Ă mon frĂšre. Nos lĂšvres Ă©taient scellĂ©es, dĂ©licatement, comme la premiĂšre fois qu'on s'Ă©tait embrassĂ©. Doux et destructeur. La premiĂšre fois, il avait brisĂ© mon Ăąme pure et dĂ©sormais, il brisait mon monde, mes pensĂ©es. J'Ă©tais sous son emprise, totalement envoĂ»tĂ©e. Il me colla un peu plus Ă lui doucement, pendant que nos visages s'Ă©cartĂšrent, laissant nos souffles communiquaient Ă nouveau. Un sourire vint se dessiner sur mes lĂšves et je caressai dĂ©licatement sa peau, du bout des doigts, parcourant sa bouche, sa mĂąchoire, descendant. Je caressai son bras, le droit, passant sur ses tatouages, ceux dis dans sa lettre. J'embrassai timidement le nom qui apparaissait sur son bras. Baillant, je revins me caler dans ses bras, dans ses bras qui rĂ©chauffaient mon corps de glace. L'embrassant une derniĂšre fois, je fermai les yeux ensuite alors que je sombrais rapidement dans un sommeil lourd et profond, me laissant fondre contre lui. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Mer 30 Juin - 2247 Louhan avait bel et bien comprit qu'aujourd'hui plus rien ne serrait facile. Que pendant un temps tous serrait si difficile, si beau et si chiant. Il le savait, il s'y Ă©tait engagĂ©. S'engager avec Hopeless s'Ă©tait tous recommencer, revenir Ă zĂ©ro, arrĂ©ter le reste, tirer un trait sur le passĂ©. En Ă©tait-il capable? Le voulait-il vraiment? Il l'ignorait mais maintenant s'Ă©tait fait. La machine Ă©tait enclenchĂ©e et plus rien ne permettait de faire machine arriĂšre. A prĂ©sent plus rien ne serrait pareil. Seul le futur pourrait dire si oui ou non cela avait Ă©tĂ© une bonne continua d'embrasser Hopeless. Jusqu'Ă ce qu'elle sĂ©pare leur lĂšvre. Qu'ils reprennent leur souffle, qu'il voit ce sourire sur ses lĂšvres Ă elle. Il sentit sa main caresser son bras, il posa ses yeux bleu sur les doigts qui frolaient sa peau. voyant les lĂšvres approcher de son bras. Il ne se recula pas. Il garda quelque temps encore ces yeux posĂ© sur ce prĂ©nom. Tristan, oĂč es-tu? Il fut interromput dans ses pensĂ©es par un baiser d'Hopeless. Il y rĂ©pondit puis la sentti se blottir dans ses bras. Elle ferma les yeux. Louhan reposa sa tĂȘte sur l'oreillĂ©. La brune Ă ses cotĂ©s ne tardant pas Ă respirer calmement signe qu'elle dormait. Louhan reposa de nouveau son regard sur son bras. Trista. Le regardait-il? OĂč Ă©tait-il? que faisait-il? Etait-il fiĂšre de lui? Louhan leva les yeux vers le plafond. Au dela du toit un ciel sans fin, et peut-ĂȘtre quelque part dans l'infinit son meilleur ami, sa vie, celui qui lui avait tout apprit mĂȘme se qu'Ă©tait l'amour. Celui qui grĂące Ă lui, aujourd'hui, Louhan Ă©tait avec Hopeless pour le meilleur ou pour le pire... InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Jeu 1 Juil - 1436 J'ouvrai les yeux, lentement. Depuis combien de temps dormais-je ? Assez pour avoir le cerveau brumeux. Assez pour me sentir molle de la tĂȘte aux pieds. Assez pour avoir chaud bien qu'en Ă©tant en simple tee-shirt. Je le sentais, contre moi. Sa respiration contre ma nuque. Je souris dĂ©licatement. C'Ă©tait agrĂ©able de me rĂ©veiller dans ses bras, chauds et protecteurs. Je me tournai doucement, face Ă lui, sa respiration frappait contre mon nez. Je me collai Ă lui, un peu plus, glissant ma tĂȘte dans le creux de sa nuque. Je l'embrassai dĂ©licatement, remontant vers sa mĂąchoire, touchant ses lĂšvres. Cela ne le rĂ©veilla pas. Une vraie marmotte ce gars. Je l'embrassai Ă deux nombreuses reprises, attendant qu'il se rĂ©veille sous le lĂ©ger choc de mes baisers sur sa peau. Son bras droit Ă©tait passĂ© par-dessus mon corps, venant rapprocher nos deux ĂȘtres. Je l'embrassai encore une fois et il y rĂ©pondit doucement. Ses paupiĂšres s'ouvrirent, laissant place Ă son regard bleu endormi. Ma main vint caresser son dos, de maniĂšre tendre, comme pour ne pas le brusquer de son rĂ©veil. Bien dormi ? » lui soufflais-je doucement contre ses lĂšvres. Il Ă©tait adorable quand il se rĂ©veillait et avait des airs d'enfants, d'enfants perdus qu'on voudrait aider par tous les moyens. Une nouvelle fois, je collai mes lĂšvres aux siennes sans me poser de questions, sans rĂ©flĂ©chir au pourquoi du comment de nos disputes passĂ©es. Il Ă©tait lĂ , moi aussi. Quoi de plus important ? Ses lĂšvres Ă©taient enivrantes, horriblement enivrantes. Je fondais dans ses bras, c'est court. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Jeu 1 Juil - 1521 Louhan finit par se laisser gagner par le sommeil. Glissant dans les bras de MorphĂ© sans Ă©mettre la moindre rĂ©sistance. Il se laissa aller dans ce gouffre sombre et rĂ©parateur. Loin des interrogations, des problĂšmes. Loin des disputes, loin de toux. Juste peuplĂ©es de crĂ©atures bizarres, de situations Ă©tranges, de rĂȘves dĂ©rangeants mais non rĂ©el. Louhan ne sut combien de temps avait-il dormit. Dehors il faisait toujours jour, c'Ă©tait peut-ĂȘtre dĂ©jĂ l'aprĂšs-midi. S'Ă©tant couchĂ© le matin assez tard cela ne serrait pas choquant qu'en effet cela soit l'aprĂšs-midi. Il fut rĂ©veillĂ©, tirĂ© de son sommeil par de doux baisers. Au dĂ©but glissant entre rĂȘve et rĂ©alitĂ© il n'arriva pas Ă discerner qui Ă©tait quoi. Puis peu Ă peu il Ă©mergea Il sentit les lĂšvres de Hopeless appuyer lĂ©gĂšrement plus fort. Un rĂ©veille comme celui-ci on ne pouvait demander mieux. Il rĂ©pondit dopucement Ă son baiser, ouvrant peu Ă peu ses paupiĂšres. Le soleil agressant ses pupilles endormies. Il cligna des yeux quelques fois faisant enfin acte de prĂ©sence dans la rĂ©alitĂ©. Bien dormi ? » Il la regarda un demi sourire aux lĂšvres bien que Louhan Ă©tait pas le genre Ă sourire comme un con mĂȘme sous l'effet de l'amour. Il ferma de nouveau els yeux fronçant les sourcil et Ă©touffant un baillement. ouai...j'ai connus pire...et toi? » demanda-t-il au bout d'un moment. Bon Louhan et les conversations du matin s'Ă©tait pas toujours frais et gĂ©nial. Les seules conversations assez longues qu'il avait pu avoir avaient Ă©tait avec MaĂŻween mais cela finissait tuojours en engueulade et dĂ©part violent. Louhan caressa le visage de la jeune fille avant de s'Ă©loigner de ses bras. Et essayant de vraiment se rĂ©veiller alla dans la salle de bain. Envie du matin, pisser et prendre un mĂ©dicament. Il aperçut son reflet dans le miroir et soupira en se passant de l'eau dessus. Puis il sortit de la salle e bain, chopant son briquet au passage il voulut prendre une cigarette lorsque son regard se posa sur un joing, il fut surprit qu'il soit d&Ă©jĂ prĂšs. Il le prit et l'alluma; revenant dans la chambre avec Hopeless. Il avait au passage prit un bol de cĂ©rĂ©als pour Hopeless et lui apporta. Le glissa sur la couverture il s'allongea Ă ses cotĂ©s. Sur le dos faisant volĂ© la fumer vers le aussi dĂ©solĂ© xD InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Mer 7 Juil - 1631 MĂȘme comme il dormait, Louhan Ă©tait beau. Mais ce qui Ă©tait encore plus beau chez lui, c'est que sans le savoir il avait un visage d'ange. Certes, il Ă©tait carrĂ©, dur. Mais non, moi je le voyais comme doux et simple. Un visage dont je ne pouvais plus me passer. Sous la pression de mes baisers, il Ă©mergea. Enfin. Je l'accueilli dans le monde des rĂ©veillĂ©es, un grand sourire aux lĂšvres, l'embrassant une derniĂšre fois. MĂȘme quand il avait la tĂȘte dans le brouillard, Louhan Ă©tait terriblement sexy.. Comment faisait-il ? Ouais.. J'ai connus pire.. Et toi ? » Je lui souris, doucement, caressant dĂ©licatement son torse. Je ne peux que bien dormir dans tes bras. » Ces paroles Ă©taient terriblement franches et je rougis, une Ă©niĂšme fois face Ă lui. Si ĂȘtre naturel me rendait dans un tel Ă©tat, je n'Ă©tais pas sortie de l'auberge expression pourrie, certes. Ses mains caressĂšrent mon visage, avant qu'il ne quitte mon Ă©treinte d'enfant et il sortit de la chambre. Prenant une inspiration, son odeur entrait dans mes narines, une nouvelle fois bien qu'elle ne soit pas revint, un joint Ă la bouche. Ăa ne sentait pas pareil que d'habitude. Il glissa un bol de cĂ©rĂ©ales sur le lit que je pris, me relevant. Ce gars savait tout de moi, comme le fait que j'Ă©tais une grosse-bouffe surtout le matin. Lui, allongĂ© en train de fumer. Je finis mon bol avant qu'il ne finisse son joint, ce qui me surpris. J'allais finir grosse, si ça continuait. Je posai le bol par terre, attendant sagement qu'il ne fisse de fumer, le regardant en souriant bĂȘtement. Comme une enfant. Je me mis sur lui lorsqu'il finit son joint, l'embrassant Ă pleine bouche. Non, tu n'as pas le droit de me repousser, tu as seulement le droit de rester immobile et de rĂ©pondre Ă mes baisers. » J'avais toujours peur qu'il ne me rejette, l'embrassant Ă nouveau, goĂ»tant Ă ses lĂšvres, son haleine au goĂ»t bizarre. Je grimaçai. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Ven 9 Juil - 1318 Je ne peux que bien dormir dans tes bras. » Louhan avait juste sourit. Que dire de plus Ă ceci? Rien, il n'y avait rien Ă dire. Aucune rĂ©flĂ©xion piquante dont il Ă©tait maĂźtre, aucune mĂ©chancetĂ©. Non juste un plaisir amusĂ© de voir que la fille qu'il aimait, la fille qui avait tant gagner en lui, prenait tous simplement du plaisir Ă ĂȘtre avec lui. rien que sa prĂ©sence la comblait, que dire que souhaiter de plus? Il la vit rougir, et s'Ă©chappa dans la salle de bain pour ne pas non plus tomber dans le truc clichĂ© des matins en amoureux. Il avait beau avoir fait des efforts. Depuis les derniĂšres heures avoir franchit un cap Ă©norme. Il ne pouvait pas pour autant changer d'un coup et axepter tous. Nan il y avait des choses qui encore resterait. La drogue, son cotĂ© "je m'en fou", les soirĂ©es, l'alcool, sa vie. Oui il ne pouvait pas y rĂ©noncĂ©, c'Ă©tait ça qui lui avait permit de tenir durant toutes ces annĂ©es. Donc il ne pouvait pas se stoper d'un coup. Il l'aimait oui. Comme un fou, comme un soldat, comme une star de cinĂ©ma et passons... Non il savait qu'il l'aimait, pas que pour son corps, par que pour son cotĂ© revĂšche et tĂ©tue, ni son cotĂ© bornĂ© et collante. Non il l'aimait car elle Ă©tait Hopeless tous simplement car elle formait un tout et car malgrĂ© tous, malgrĂ© ce qu'il avait apprit la veille. Elle Ă©tait bien plus pure et angĂ©lique que lui et n'importe quel acte commit par elle ne changerait cette certitude. Il en Ă©tait bel et bien amoureux de cette fille s'Ă©tait installĂ© sur le lit, fumer son joing. DĂ©compressant lentement, de toute cette pression accumulĂ© depuios la veille. Il avait envie de partir aux CaraĂŻbes. Il Ă©tait entrain de se demander combien sa devait couter et si il devrait prendre juste des jeans et maillots de bain, ou alors pull en laine. Oui en effet Louhan Ă©tait vraiment pas le mec ordinaire Ă s'Ă©piloguer sur une fille, sur l'amour et la dichotomie de la haine Ă l'amour. Non il Ă©tait dĂ©jĂ loin et s'Ă©tait sa maniĂšre de ne pas se laisser sumrger par tous ces sentimentssi nouveaux, si terrifiant mais si bon au fond. Il termina son joing, l'Ă©crasa dans le cendrier posĂ© sur le matela Ă ses cotĂ©s. Il ferma une seconde les yeux puis le rĂ©ouvrit sentant un poid plume sur lui. Il sourit amusĂ© rĂ©ouvrant ses paupiĂšres. Sentant les lĂšvres de Hop' venir s'emparer des sienne. Il se laissa faire par les maisn et les lĂšvres de la jeune femme. De sa copine. Non, tu n'as pas le droit de me repousser, tu as seulement le droit de rester immobile et de rĂ©pondre Ă mes baisers. » Il rit, il s'Ă©sclafa en la regardant qui lui tenait les bras. Il sourit Ă ceci et rĂ©pondit nĂ©anmoins Ă ses baisers. Tu te figures que tu es en position de m'ordonner quelque chose? Avec cette froce de moineau? » rĂ©pondit-ilm au bout d'un moment. Il enroula ses jambes autour des fines hanches de la jeune fille. Puis d'un coup de bassin il la souleva et la fit tourner. Se retrouvant sur elle, la tenantpar les poignets. Un sourire machiavĂ©lique aux lĂšvres. C'est pas bon de jouer avec le feu...» Il sourit venant l'embrasser dans le cou, mordillant doucement sa peau tiĂšde et si enivrante. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Ven 9 Juil - 1836 Mon professeur de LittĂ©rature allait me tuer demain et surement me demander pourquoi je ne lui avais pas fait l'honneur de ma prĂ©sence. Je pourrai lui dire la vĂ©ritĂ©. Lui dire que j'Ă©tais avec mon copain » - rien que le fait de le prononcer mentalement me fit frissonner - car la veille, je me suis endormie chez lui, beaucoup trop fatiguĂ©e pour rentrer chez moi. Et pourquoi j'avais Ă©tĂ© fatiguĂ© ? Parce que j'avais passĂ© ma soirĂ©e Ă lui courir aprĂšs, pour lui expliquer ma relation Ă©trange avec mon frĂšre. Oui, j'aurais pu le dire, mais non, je n'allais pas le faire. Je lui dirai seulement que et bien, je n'avais pas entendu mon rĂ©veil sonner ce qui n'Ă©tait pas faux d'un sens, car je ne l'avais mĂȘme pas mis. Il tira sur son joint, une nouvelle fois, pendant que les cĂ©rĂ©ales craquaient sous mes dents. J'avais tout le temps faim, j'Ă©tais un estomac ambulant, bon Ă manger tout ce que je pouvais trouver. MĂȘme manger Louhan me paraissait possible. Je dĂ©posai mon bol, attendis qu'il finisse de fumer et lui grimpa dessus dĂ©licatement. Je ne comptais pas non plus l'Ă©craser. Mes lĂšvres se scotchant aux siennes une Ă©niĂšme fois. Louhan Canteberry, tu es ma drogue. L'attrapant par les mains, je lui souris. Tu te figures que tu es en position de m'ordonner quelque chose ? Avec cette force de moineau? » En un rien de temps, il se retrouva sur moi, m'attrapant les poignets en souriant. C'est bien connu que les femmes te sont soumises, n'est-ce pas ? Et merci pour la comparaison, j'aime ĂȘtre un moineau. » Boudant, je ne pus dire non lorsqu'il dĂ©posa ses lĂšvres dans mon cou. C'est pas bon de jouer avec le feu...» Je me mordis alors la lĂšvre infĂ©rieure. Et c'est toi qui dit ça ? » soupirais-je, Ă©touffant un rire. Je le laissai m'embrasser, me mordre, me lĂ©cher, me manger, dans ses bras, je me laissais complĂštement aller. Je glissai mes jambes derriĂšres les siennes, nos lĂšvres se caressĂšrent, nos langues se cherchĂšrent pour enfin se trouver. J'adorai ĂȘtre dans les bras de ce garçon aux yeux bleus. J'adorai ĂȘtre dans les bras de mon copain. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Mer 14 Juil - 1827 Louhan ne fichait jamais grand chose de ses ournĂ©es. Il lisait, il se baladait ou dĂ©cuvait tranquillement. Il n'avait rien d'autre Ă faire que se qu'il voulait donc ne risquait pas de devoir rendre des comptes Ă qui que ce soit. Bien qu'il avait peut-ĂȘtre des potes Ă aller voir. Mais la prĂ©sence de Hopeless lui faisait oublier toute vie rĂ©elle. Il ne pouvait pas lui en vouloir, il se doutait bien qu'elle n'avait pas l'intention de lui faire oublier le reprit le dessus lorsqu'il la vit se pencher sur lui pour le bloquer. Il en rit et en quelque secondes se retrouva sur elle. C'est bien connu que les femmes te sont soumises, n'est-ce pas ? Et merci pour la comparaison, j'aime ĂȘtre un moineau. » Louhan explosa de rire, ne pouvant se contrĂŽler. Puis la voyant bouder il commença Ă dĂ©poser de doux baisers dans son cou. Bloquant toujours ses maisn avec les siennes. Ce n'est quand mĂȘme pas ma faute si mon charme lĂ©gendaire vous soumet toutes, si?.. Toi tu es encore mieux tu es hyper sexy comme moineau... » souffla-t-il sachant trĂšs bien qu'il Ă©tait pas trĂšs franc ses sentiments le rendant moins objectif. Non mĂȘme sans ĂȘtre dingue de Hope' on ne pouvait que la trouver sexy. Il l'embrassa de nouveau. Sa langue venant courir sur sa peau si dĂ©licieuse. Il l'entendit rĂ©torquer. Et c'est toi qui dit ça ? » Il revint Ă ses lĂšvres plongeant ses yeux bleu sĂ©rieux dans le regard de la jeune femme. Il bloqua ses deux mains avec l'aide d'une seule des siennes. De l'autre il remit une mĂšches de cheveux brun Ă sa copine. Je prĂ©fĂšre que ce soit moi alors qui y joue alors... » dit-il. Puis il sourit de nouveau chassant ce petit air sĂ©rieux de ses yeux. Il la sentit enrouler ses jambes autour des siennes; il se mordilla la lĂšvre envieux. Ses lĂšvres plongeant Ă la recherche de celles d'Hope'; leur langues se trouvant rapidement. Tandis qu'habituĂ©, sa main libre venait caresser la peau de la jeune fille sous son dĂ©solĂ© Contenu sponsorisĂ©Sujet Re le doux souvenir amer de toi et moi le doux souvenir amer de toi et moi Page 1 sur 2Aller Ă la page 1, 2 Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum COMMENCEMENT. Corbeille
Pourcelles et ceux qui vivent en foyer, il explique que la faim se fait sentir car « il est devenu beaucoup plus difficile de trouver la nourriture quotidienne indispensable. De nombreuses structures dâaide sociale ont en effet dĂ» rĂ©duire leur activitĂ© ».
Accueil SpiritualitĂ© TĂ©moignages Jâavais faim, et vous mâavez donnĂ© Ă manger⊠» Matthieu 25 35 Texte prĂ©sentation Images alarmantes de longues files dâattente qui se forment dans les rues, devant les associations qui distribuent de lâaide alimentaire. La crise sanitaire de la Covid-19 a considĂ©rablement augmentĂ© la pauvretĂ© et plongĂ© dans la misĂšre des milliers de personnes. Image Ă la une Nom, prĂ©nom tĂ©moignage Pierre-Jean Soler, DĂ©tail sur la personne AumĂŽnier et accompagnant spirituel salutiste Blocks Redacteur Texte Dans la Bible, chacun est invitĂ© Ă accueillir lâĂ©tranger, la veuve et lâorphelin Que de situations dramatiques vĂ©cues par ces sans-abri, ces mal-logĂ©s, ces mĂšres de famille, ces Ă©tudiants, travailleurs prĂ©caires, ou encore par ces personnes ĂągĂ©es⊠Aujourdâhui, de plus en plus dâhommes, de femmes et dâenfants vivent dans une grande prĂ©caritĂ©. Les besoins sont lĂ . Il convient dâagir. Soupe, Savon, Salut» tel Ă©tait le mot dâordre de William Booth, fondateur de lâArmĂ©e du Salut en 1878. DerriĂšre ces trois mots sâexprimait la volontĂ© dâapporter un repas chaud et lâhygiĂšne nĂ©cessaire, pour que les personnes en difficultĂ© puissent rencontrer Dieu et trouver le salut. Dans la Bible, chacun est invitĂ© Ă accueillir lâĂ©tranger, la veuve et lâorphelin. Les repas et les grands festins sont nombreux et sont signes dâhospitalitĂ©. Block Texte + Image Texte LâĂvangile de Matthieu nous montre lâimportance de prendre soin des plus faibles. JĂ©sus dit En effet, jâai eu faim et vous mâavez donnĂ© Ă manger ; jâai eu soif et vous mâavez donnĂ© Ă boire ; jâĂ©tais Ă©tranger et vous mâavez accueilli ; » Matthieu 25 35 Les justes lui rĂ©pondront Seigneur, quand tâavons-nous vu affamĂ© et tâavons-nous donnĂ© Ă manger, ou assoiffĂ© et tâavons-nous donnĂ© Ă boire ? » Et JĂ©sus rĂ©pondra Je vous le dis en vĂ©ritĂ©, toutes les fois que vous avez fait cela Ă lâun de ces plus petits, câest Ă moi que vous lâavez fait. » Matthieu 25 37 Nourrir son corps est essentiel pour vivre. Mais nây a-t-il pas un autre besoin vital ? Dans lâAncien Testament, il est dit LâHomme ne vivra pas de pain seulement, mais de toutes paroles de Dieu⊠» DeutĂ©ronome 8 3. JĂ©sus reprendra cette citation lorsque Satan le tentera dans le dĂ©sert. Luc 4 4 Texte La Bible nous invite Ă prendre soin du plus faible dans toutes ses dimensions JĂ©sus a dit encore Je suis le pain de vie. Celui qui vient Ă moi nâaura jamais faim, et celui qui croit en moi nâaura jamais soif. » La Bible nous invite Ă prendre soin du plus faible dans toutes ses dimensions. Puissions-nous ĂȘtre animĂ©s par cette volontĂ© dâaccueillir et de restaurer lâAutre, dans son Ăąme et dans son corps.
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Ăvangilede JĂ©sus Christ selon St Matthieu 25; 31-46 En ce temps-lĂ , JĂ©sus disait Ă ses disciples : « Quand le Fils de lâhomme viendra dans sa gloire, Aller vers. Sections de cette Page. Aide accessibilitĂ© . Facebook. Adresse e-mail ou tĂ©lĂ©phone: Mot de passe: Informations de compte oubliĂ©es ? Sâinscrire. Voir plus de contenu de PĂšlerinage Medjugorje 2017: Festival Mondial De
Distribution alimentaire sur le parvis de lâĂ©glise St-Bernard de la Chapelle Paris 18Ăšme. Sur le parvis de lâĂ©glise Saint-Bernard de la Chapelle, Ă Paris 18Ăšme, lâĂ©vangile selon saint Matthieu est mis en pratique chaque jour Jâavais faim, et vous mâavez donnĂ© Ă manger; jâavais soif, et vous mâavez donnĂ© Ă boire ; jâĂ©tais un Ă©tranger, et vous mâavez accueilli » Mt 25, 35. Michel Antoine, de lâassociation SolidaritĂ©s St-Bernard, tĂ©moigne de cette action indispensable. Le Vicariat pour la SolidaritĂ© du diocĂšse de Paris a fait appel aux fidĂšles fin mars. Plus de 1600 personnes se sont inscrites pour prĂȘter main forte. Ainsi, 27 paroisses sont devenues centres de distribution de proximitĂ© ». Saint-Bernard de la Chapelle fait partie des quatre Ă©glises du XVIIIĂšme arrondissement de Paris mobilisĂ©es tous les jours Ă 12h. ApprovisionnĂ©e au dĂ©part par le centre gĂ©rĂ© par lâassociation Aurore, situĂ© tout prĂšs, boulevard BarbĂšs, câest dĂ©sormais la cantine du collĂšge Stanislas 6Ăšme qui rĂ©gale, sur financement du diocĂšse. La paroisse peut compter sur 30 volontaires, ĂągĂ©s de 18 Ă 69 ans. Ils se relaient chaque jour pour distribuer 400 repas froids et autant de bouteilles dâeau. Fin mars, ceux-ci contenaient une petite salade piĂ©montaise au poisson, une pomme ou une orange, du pain ou pas, un morceau de fromage, un yaourt et des gĂąteaux secs. 850 calories, cela ne suffisait pas », commente Michel Antoine. Depuis, les repas ont Ă©tĂ© agrĂ©mentĂ©s dâaliments plus caloriques. Car, pour la plupart des personnes accueillies, ce repas constitue lâunique repas de la journĂ©e. On ne croise plus que les gens de la rue » EngagĂ© dans lâassociation depuis 2016, il est fonctionnaire retraitĂ© depuis 2017. Sur son trajet matinal depuis la Place de Clichy, il ne voit plus ni vendeurs de cigarettes ni dealers, devenus discrets. Bus et rames de mĂ©tro sont pratiquement vides. Dans ce quartier populaire, oĂč les gens vivent dans la rue », on ne croise plus que les gens de la rue ». Les Ă©tablissements autorisĂ©s et leurs files dâattente qui sâĂ©tirent le long des vitrines sont les nouveaux lieux de mendicitĂ©. Lâancien administrateur, qui conseillait les dĂ©putĂ©s Ă lâAssemblĂ©e nationale, a le sens du service mais aussi le sens pratique Les sans-abri ne savent plus oĂč se laver, oĂč manger, oĂč boire ». Il bouillonne intĂ©rieurement contre une belle carte en ligne qui recense les points dâeau situĂ©s dans des parcs⊠inaccessibles et des toilettes publiques⊠condamnĂ©es car les employĂ©s du prestataire ont exercĂ© leur droit de retrait. Pour celles et ceux qui vivent en foyer, il explique que la faim se fait sentir car il est devenu beaucoup plus difficile de trouver la nourriture quotidienne indispensable. De nombreuses structures dâaide sociale ont en effet dĂ» rĂ©duire leur activitĂ© ». Les plus touchĂ©s ne sâapprochent pas nous allons vers eux, en petit groupe de deux ou trois personnes. Les femmes vont vers les femmes. Et il faut leur parler » ajoute-t-il. Des bĂ©nĂ©voles plus jeunes, la relĂšve ? Michel Antoine multiplie les constats alarmants moins de points de distribution alimentaires, des quantitĂ©s insuffisantes, une pĂ©nurie de bĂ©nĂ©voles en raison du confinement qui cloĂźtre Ă la maison les plus de 70 ans. De quoi se rĂ©jouir alors ? De nouveaux bĂ©nĂ©voles se sont manifestĂ©s et ils sont jeunes ». Il voudrait pĂ©renniser un Ă©tat dâesprit de coopĂ©ration intergĂ©nĂ©rationnelle ». Si certains ont des convictions religieuses fortes », dâautres sont des personnes de bonne volontĂ© qui vivent lâEvangile plus concrĂštement que beaucoup de paroissiens ». Pour le monde dâaprĂšs », lâhomme dâaction et de rĂ©flexion insiste sur la nĂ©cessitĂ© de trouver les moyens pour que chacun puisse vivre dans la dignitĂ© », afin de rendre notre sociĂ©tĂ© plus humaine ». Claire Rocher SNPMPI Michel Antoine, association SolidaritĂ©s St-Bernard ». Heureux les pauvres » Mt 5, 3 Ne restez pas dans votre bulle, osez regarder autour de vous et surtout ayez confiance », encourage-t-il. Autrement dit, sâouvrir au monde et aux autres, oser la rencontre », comme lây invite inlassablement le pape François, une rĂ©fĂ©rence de premiĂšre catĂ©gorie » pour lui.
Carjâai eu faim, et vous mâavez donnĂ© Ă manger; jâai eu soif, et vous mâavez donnĂ© Ă boire; jâĂ©tais Ă©tranger, et vous mâavez recueilli; jâĂ©tais nu, et vous mâavez vĂȘtu; jâĂ©tais malade, et vous mâavez visitĂ©; jâĂ©tais en prison, et vous ĂȘtes venus vers moi. Partager cet article . Repost 0. S'inscrire Ă la newsletter. Pour ĂȘtre informĂ© des derniers articles
Louis Segond LSG Version Previous Next 35 Car j'ai eu faim, et vous m'avez donnĂ© Ă manger; j'ai eu soif, et vous m'avez donnĂ© Ă boire; j'Ă©tais Ă©tranger, et vous m'avez recueilli; 36 j'Ă©tais nu, et vous m'avez vĂȘtu; j'Ă©tais malade, et vous m'avez visitĂ©; j'Ă©tais en prison, et vous ĂȘtes venus vers moi. 37 Les justes lui rĂ©pondront Seigneur, quand t'avons-nous vu avoir faim, et t'avons-nous donnĂ© Ă manger; ou avoir soif, et t'avons-nous donnĂ© Ă boire? 38 Quand t'avons-nous vu Ă©tranger, et t'avons-nous recueilli; ou nu, et t'avons-nous vĂȘtu? 39 Quand t'avons-nous vu malade, ou en prison, et sommes-nous allĂ©s vers toi? 40 Et le roi leur rĂ©pondra Je vous le dis en vĂ©ritĂ©, toutes les fois que vous avez fait ces choses Ă l'un de ces plus petits de mes frĂšres, c'est Ă moi que vous les avez faites. Read full chapter dropdown
2104/2020 14:35 | ND de la Bidassoa 143 mots " J'avais faim et vous m'avez donnĂ© Ă manger " "J'Ă©tais nu et vous m'avez habillĂ© ; j'Ă©tais en prison et vous m'avez visitĂ© " âAmen, je vous le dis, chaque fois que vous lâavez fait Ă lâun de ces petits qui sont mes frĂšres, câest Ă moi que vous lâavez fait.â VID-20200421-WA0009.mp4 ©
Heaven Weakness [[. A D M I N I S T R A T I O N. [[. AuteurMessage Admin x3Sujet x. La LĂ©gende des Gardiens. Mer 2 Sep - 1615 LA Story. Admin x3Sujet Re x. La LĂ©gende des Gardiens. Mer 2 Sep - 1619 x. courais. Mes cheveux blonds dansaient derriĂšre moi, happĂ©s par le vent. Et peut-ĂȘtre la peur aussi. Un peu plus loin, JulĂżana courrait. Je ne voyais d'elle qu'un vif Ă©clair gris qui fendait la couleur morne des arbres. Sa silhouette Ă©lancĂ©e perçait le brouillard matinal avec je serais totalement essoufflĂ©e. BientĂŽt, je m'Ă©croulerais sous le poids de la fatigue. Je savais que j'arrivais trop tard. Que je n'arriverais peut-ĂȘtre pas Ă les je devais essayer. Je n'avais pas le droit d'abandonner. Pas le droit d'Ă©chouer. Alors, lançant un coup d'oeil Ă la belle louve grise qui courrait, ne se laissant pas ralentir par le dĂ©sespoir, je repris moi aussi ma course de plus belle. Je devais y j'arriverais aux portes de Bringhall. LĂ , je saurais si j'avais encore une chance de les sauver ou pas. Car mĂȘme si JulĂżana Ă©tait lĂ , mĂȘme si de l'autre cĂŽtĂ© de la frontiĂšre, Phyl et Clark m'attendait, si Farwen guettait, si Alice allait rĂ©aliser la prophĂ©tie, il n'y avait que moi qui pouvais les sauver. Car ils faisaient partis des menacĂ©s. Pas moi. Oui, moi, Lou, fille de paysans. Moi, qui m'Ă©tait enfuie de chez moi. Moi seule qui avait eu l'honneur de recevoir de Cazylar ce don. Ce pouvoir. Du moins, la seule quâil restait. J'Ă©tais accompagnĂ©e, certes. Pourtant, face au danger, j'Ă©tais seule. Je courrais toujours, quand le chĂąteau de Bringhall m'apparut enfin au dĂ©tour d'un virage. Je ralentis, le souffle court. Je croisai le regard de JulĂżana. Ses prunelles brillaient d'un Ă©clat puissant. Intense. Alors, je pris sur moi, et franchis la frontiĂšre, prĂȘte Ă affronter mon destin. PrĂȘte Ă tout donner pour eux... Admin x3Sujet Re x. La LĂ©gende des Gardiens. Mer 2 Sep - 1625 x. CHAPITRE 1 » Qui aurait pu s'y attendre ?Tout a commencĂ© un beau jour d'hiver...- Lou ! Je t'ai dis d'aller cueillir les radis ! A la troisiĂšme fois,j'appelle ton pĂšre !Je sursautai. La voix de ma mĂšre m'avait tirĂ©, une fois de plus de mes rĂȘveries. Je rassembla rapidement mes cheveux en une queue de cheval, puis dĂ©vala les escaliers de la petite maison en hĂąte -je n'aimais pas quand mon pĂšre se mettait en colĂšre, surtout quand c'Ă©tait moi qui Ă©tait visĂ©e. Avant que ma mĂšre ait pu me rappeler Ă l'ordre une nouvelle fois, je criai - Oui j'y vais Maman !Et me voilĂ dans le jardin. Notre maison Ă©tait petite, mais du haut de mes quatorzeans, je n'avais pas vu beaucoup plus grand dans les environs. CharlĂż Ă©tait un petit village de paysans, qui gagnaient tout juste de quoi se nourrir. Le soleil tapait fort cet aprĂšs-midi, malgrĂ© que l'on soit en hiver. Il Ă©tait aveuglant, mais ne dĂ©gageait pas une chaleur si insupportable. Je contourna la grange qui n'abritait aucun animal -nous n'avions pas les moyens pour des poules, alors pour des vaches, ou des moutons, c'Ă©tait exclu. La plantation de radis se trouvait derriĂšre la maison, qui faisait de l'ombre sur leurs terres. Mais ils poussaient, et l'on Ă©tait bien heureux, il n'aurait plus manquĂ© que nous n'ayons pas de radis, Ă prĂ©sent ! Alors que j'Ă©tais accroupie, dĂ©terrant ces fichus trucs qui piquaient, et qui ne remplissaient pas trop l'estomac, une silhouette se dessina derriĂšre-moi. Je sursauta et fis volte BOUH !Je serrai les poings pour ne pas l' Laisse-moi travailler JorĂ€n !FrĂšre plus petit que moi de sept ans, JorĂ€n riait Ă prĂ©sent aux Ă©clats, conscient qu'il avait rĂ©ussi une fois de plus Ă me faire peur. Je le chassai d'un mouvement impatient de la main, comme on chasse un insecte. Je repris alors ma tache. C'Ă©tait long, le parterre de plantations semblait s'allonger au fur et Ă mesure. Comme si plus j'en retirais de la terre, plus il y en avait Ă retirer. Je mâaccordai une pause, m'allongeant sur le sol, Ă l' VoilĂ Maman, j'ai tout ramassĂ©, sauf les pousses qui n'Ă©taient pas encore trĂšs avancĂ©es, annonçais-je en rentrant dans la maison. Le soleil dĂ©clinait. Je me laissai retomber sur une chaise. Mais les corvĂ©es n'Ă©taient pas finies. Pas encore, non. Ma mĂšre se tourna vers moi, me prit le panier, et enchaĂźna - Bien. Tu peux aller chez MaryĂŒ ? Il me manque des Ă©pices. Prend de la muscade et des herbes variĂ©es, s'il te plait. Je m'attendais Ă un 'merci', mais comme il ne vint pas, je ne dis Contre quoi ? Pour les familles trop pauvres, qui n'avaient qu'assez de piĂšces pour payer le loyerimposĂ©, les marchands acceptaient qu'ils paient en faisant des Tu n'as qu'Ă prendre le romarin, ton pĂšre ne se rendra pas compte qu'il n'y en aura pas dans la salade. Je suis sĂ»re que MaryĂŒ filai Ă la cuisine, hĂąteuse d'en finir avec cette journĂ©e bien trop longue Ă mon goĂ»t. Je pris le pot de romarin, et ressortit, non sans prendre avec moi un gilet delaine. Le soleil avait presque atteint la ligne de l'horizon. Il faisait plus frais Ă prĂ©sent. Jâenfourchai ma bicyclette. Je fus chez le marchand en peu de temps. Celui-ci m'accueillit avec chaleur. C'Ă©tait un vieil homme qui avait travaillĂ© toutes sa vie pour fournir aux autres les meilleures Ă©pices et autres produits aromatiques. Il accepta de suite ma proposition, et je repartis alors avec deux rĂ©cipients sous le bras. Sur le chemin du retour, nĂ©anmoins, j'eus la dĂ©sagrĂ©able impression d'ĂȘtre observĂ©e. Plusieurs fois, cette impression me chatouilla le dos, jusqu'au moment oĂč je dĂ©cidai de m'arrĂȘter pour observer les alentours, mal Ă l'aise soudainement. Le chemin Ă©tait petit, deux vĂ©los pouvaient cependant y tenir de front. Le silence Ă©tait effrayant ; seule ma respiration la brisait Ă intervalles qui se faisaient de plus en plus courts. Alors soudain, j'aperçus un mouvement Ă ma gauche. Je me tournaid'un coup. Je ne vis qu'une silhouette dans la pĂ©nombre. Sa fourrure grise rayonnait encore sous les derniers rayons de soleil. C'Ă©tait un loup. Alors, je paniquai intĂ©rieurement. Qu'est-ce qu'un loup faisait si prĂšs des habitations ? Ici, tout le monde les craignaient. Moi aussi, d'ailleurs. Ils sâattaquaient aux troupeaux, dĂ©vastaient les granges, et mĂȘme les chiens reculaient devant eux. Alors, moi, jâĂ©tais une bien faible proie⊠La gueule du loup s'ouvrit, et je reculai, m'emmĂȘlant les pieds avec ma bicyclette. Je tenais en Ă©quilibre. Mon regard Ă©tait toujours fixĂ© sur l'animal, qui me fixait lui aussi. Un coup d'oeil aux alentours me confirma que j'Ă©tais seule. Si la bĂȘte avait faim, elle pouvait trĂšs bien m'attaquer. Alors soudain, sa gueule qui s'Ă©tait refermĂ©e se rouvrit de nouveau, poussant un feulement. Je frĂ©mis, Ă deux doigts de tomber Ă terre. Ma main se mit Ă trembler. Le loup avança de plusieurs pas. Soudain, il rouvrit la bouche encore une fois, mais ce n'est pas un grognement qui en Lou...Ma bouche Ă©tait grande ouverte. De nouveau, je vĂ©rifiai que personne ne soit lĂ . Non, j'Ă©tais seule. Seule avec le loup. Le loup qui avait... parlĂ©. ParlĂ© ?! Il avait prononcĂ© mon nom. Mon nom... C'en fut trop pour ma pauvre raison, et je sol me sembla dur quand je le heurtai. J'ouvris les yeux, les roues de mon vĂ©lo tournant toujours dans le vide. Le coeur battant, je regardais l'endroit oĂč l'animal Ă©tait, soudainement complĂštement apeurĂ©e. Mais le loup n'Ă©tait plus lĂ . Il s'Ă©tait Ă©vaporĂ© dans la nuit... Admin x3Sujet Re x. La LĂ©gende des Gardiens. Mer 2 Sep - 1631 x. CHAPITRE 2 » Je n'ai rien Ă jours suivants furent pĂ©nibles. Heureusement, j'avais ramenĂ© les deux pots intact, mais en retard. Trop abasourdie, j'Ă©tais restĂ©e un long moment avant de trouver la force pour repartir. Quand j'Ă©tais rentrĂ©e chez moi, mon pĂšre avait dĂ©cidĂ© de me punir. Les prochains jours, je n'aurais pas le droit de sortir de la maison, mais serait vouĂ©e aux taches tout au long de la journĂ©e. Pourtant aujourd'hui, alors que je nettoyais la cuisine, je m'en fichais. L'image du loup hantait toujours mon esprit. Ses paroles rĂ©sonnaient toujours, incessantes. Enfin, sa parole. Le seul mot qu'il avait prononcĂ©. Un nom. Le mien. Lou. » Dans sa voix, j'avais perçu une certaine surprise, comme lorsque quelqu'un croise un ami de longue date qu'il ne s'attendait pas Ă voir ici. Mais il y avait aussi un soulagement. Puis une crainte. Tant d'Ă©motions dans un mĂȘme mot, que je ne pouvais comprendre. Pourtant, tout me poussait Ă me faire croire que j'avais rĂȘvĂ©. Le loup n'Ă©tait plus lĂ quelques secondes aprĂšs. Il avait parlĂ©, et jusqu'Ă nouvel ordre, les loups, comme tout autre animal, ne parlaient pas. Surtout moins pour dire mon nom, moi qui nâavais jamais croisĂ© de loup mis Ă part dans les livres pour enfants. Mais pourtant, je savais que je n'avais pas rĂȘvĂ©. Le loup avait bien Ă©tait lĂ , et m'avait parlĂ©. A moi. Je secouai la tĂȘte, m'apercevant que je frottais la table au mĂȘme endroit depuis plusieurs minutes. Je posa l'Ă©ponge sur la table, et remonta dans ma chambre. Je voulais qu'on m'explique ce qui s'Ă©tait passĂ©. Qui Ă©tait ce loup, et comment il avait pu communiquer. J'ignorais la rĂ©ponse Ă toutes ces questions. Je soupirai. Une fois dans ma chambre, je m'approcha de la fenĂȘtre, qui donnait sur l'arriĂšre du jardin, lĂ oĂč j'avais, quelques jours auparavant, ramassĂ© desradis, la tĂȘte fourmillant de mille questions. Le vent soufflais fort, et mes cheveux blonds or, longs et un peu ondulĂ©s, me tombaient jusqu'aux hanches. Ils Ă©taient happĂ©s au-dehors, comme s'ils voulaient s'Ă©chapper. Nouveau soupir. Que faire, Ă prĂ©sent ? Oublier, et continuer comme si de rien n'Ă©tait ? Non, je ne pourrais pas. En parler Ă quelqu'un ? Ils me prendraient pour une folle. Alors que mon regard se promenait au-dehors, il s'accrocha Ă une silhouette. C'Ă©tait un petit renard, tout droit sortit de mon imagination. Cela se voyait, qu'il n'Ă©tait pas rĂ©el, car il restait immobile, m'observant. Je souris, me rappelant de nouveau la rencontre avec le loup. Mais soudain, il bougea. Furtif, il tourna la tĂȘte vers la cour, puis me transperça de son regard d'ambre une nouvelle fois. Moi, je m'Ă©tais figĂ©e. Il aboya, un bruit un peu plus aigu et particulier qu'un chien. Je repris ma respiration, que j'avais inconsciemment coupĂ©e. Alors, soudainement, je fus prise d'une intuition Ă©trange. J'Ă©tais seule chez moi, les parents Ă©taient aux marchĂ©s avec mon frĂšre JorĂ€n. J'avais l'interdiction de sortir. Mais qui le saurait ? Personne. Je serais rentrĂ©e Ă temps, et puis, ça me ferait un peu de bien de m'aĂ©rer un peu. Je sortis en courant, gagnant avec prĂ©cipitation l'arriĂšre du jardin. Je me figeai une nouvelle fois. L'animal Ă©tait toujours lĂ , la tĂȘte inclinĂ©e. Il m' Tu es Lou, n'est-ce pas ?Sa voix me frappa. Elle Ă©tait fluette, ressemblant Ă celle d'un enfant. Mais j'Ă©tais trop Ă©tonnĂ©e qu'il prononce un seul mot pour me demander son Ăąge. Devant mon silence, il me jeta un regard Tu dois me suivre... Pourquoi ?Parvins-je Ă murmurer, bien que jâeux l'impression d'ĂȘtre une folle, parlant Ă un Je... je t'expliquerais tout en chemin. Je m'appelle PhĂżlian, mais tu peux m'appeler Phyl. Viens maintenant !Me dit-il, de sa voix toujours aussi enfantine. Et il s'enfonça sous le couvert desarbres, disparaissant de ma vue. Mais je restai lĂ , les bras ballants, hĂ©sitante. Devais-je vraiment m'engager Ă la suite d'un renard qui parlait ? OĂč allions-nous ? Je secouai la tĂȘte. Toute cette histoire dĂ©passait tout ce que j'avais pu Allez, viens !Le renard Ă©tait revenu, ne me voyant pas arriver. Son poil roux Ă©tait magnifique. Alors, je lançai un dernier regard vers la maison. En fait, peut-ĂȘtre ne serais-je pas revenue avant qu'ils ne rentrent. Mais que perdais-je rĂ©ellement ? Avec un souffle de dĂ©termination, une Ă©trange intuition, suivant un petit renard qui s'appelait PhĂżlian, Ă mon tour, je disparus dans l'obscuritĂ© de la forĂȘt...DerniĂšre Ă©dition par » NaĂ«l. le Mer 2 Sep - 1638, Ă©ditĂ© 1 fois Admin x3Sujet Re x. La LĂ©gende des Gardiens. Mer 2 Sep - 1638 CHAPITRE 3 » Une histoire dont je suis l' me regardait quand j'ouvris les yeux. JâĂ©touffai un bĂąillement et il rit doucement d'un rire cristallin. Je m'assis en souriant. - Bien dormi ? Je sais que le sol est moins confortable qu'un lit, mais bon...Je me contentai d'hocher la tĂȘte. La conversation que j'avais eu avec le renard la veille me revint tout d'un coup parfaitement en mĂ©moire. Nous venions de quitter le village, marchant toujours sous les arbres feuillus, quand je lui avais soudainement demandĂ© - Qui ĂȘtes-vous ?- Comment ça ?- Eh bien... vous parlez, vous connaissez mon nom..., Ă©numĂ©rais-je, On connaĂźt ton nom parce qu'on te cherche depuis longtemps. On en connaĂźt plus sur toi que toi-mĂȘme certainement ! Avait-il rĂ©pliquĂ© en riant. Mais moi, je ne riais pas. Je ne comprenais pas. Devant mes yeux surpris, il m'avait expliquĂ©, Quand Cazylar a créé notre monde, il a fait les humains, et les animaux. Ceux-lĂ ont Ă©tĂ© privĂ©s de paroles, pour instaurer une certaine... hiĂ©rarchie, je pense. Bon bref. Seulement, quand il a créé les humains, il a permis Ă cinq d'entre eux de pouvoir parler aux animaux. Le premier, c'Ă©tait...- Rayin... avais-je complĂ©tĂ©. Cette histoire, on la connaissait tous, depuis notre enfance, chez nous. Je m'Ă©tais mordu la Oui, avait-il reprit,puis, AzylĂ«m, DartĂżal. Ces trois-lĂ , comme tu le sais, ont trahis Cazylar, le CrĂ©ateur. Ils ont abusĂ© de leurs dons. Ils ont soumis les animaux Ă leurs volontĂ©s en les convainquant qu'ils pouvaient leur parler. Seul un s'y opposa. Farwen. Le quatriĂšme a bĂ©nĂ©ficier de ce don. Quand il se monta contre les trois autres, ils le tuĂšrent. Ils Ă©taient seuls Ă prĂ©sent, et pouvaient mettre leur plan Ă exĂ©cution. Pourtant, ils restĂšrent longtemps dans l'ombre, se faisant oublier. Mais derriĂšre ce silence, ils montaient une armĂ©e. Une armĂ©e pour quoi ? Pour dĂ©trĂŽner Cazylar. Une armĂ©e avec des animaux. MĂȘme Cazylar lui-mĂȘme ne pouvait communiquer avec eux. Il nes'y attendait pas. Lorsque l'attaque frappa, le CrĂ©ateur fut griĂšvement blessĂ©. Les humains furent plus forts que les animaux, cependant. Ils parvinrent Ă les repousser. Quand le MaĂźtre se rĂ©tablit enfin, il exila les trois traĂźtres. Loin, trĂšs loin. Ensuite, lui-mĂȘme disparut dans l'ombre. Qu'est-il devenu ? Aucune idĂ©e, personne ne le sait d' s'Ă©tait arrĂȘtĂ©. Tout cela, je le savais. Je ne voyais pas quel rapport il pouvait d'ailleurs y avoir. J'avais eu l'impression d'entendre mon pĂšre me raconter l'histoire du Monde, si ce n'est que mon pĂšre avait une vois bien plus grave. J'avais attendu qu'il poursuive, mais il ne l'avait pas fait. Je l'avait alors regardĂ© avec Ă©tonnement, et une grande curiositĂ© aussi. Sa voix si enfantine, si joyeuse, dans ce rĂ©cit, s'Ă©tait teintĂ©e de gravitĂ©. Rencontrant enfin mon regard, il avait soupirĂ©. Et reprit - Mais encore une fois, les trois TraĂźtres prĂ©paraient quelque chose. Tu sais, il y a des animaux partout, donc...Cette partie-lĂ , moi, je ne la connaissais Le pire, c'est qu'ils ne faisaient pas qu'essayer de convaincre les animaux, ils les... possĂ©daient. Ils les pliaient vraiment contre leurs dĂ©sirs. Ce que je te raconte lĂ , ce ne sont pas des lĂ©gendes, ni des histoires pour faire peur. Non, c'est ce qu'il se passe vraiment. Ca n'est pas trĂšs ancien, quelques mois seulement. Mais tellement long dĂ©jĂ ... Donc, je disais. La situation Ă©tait dĂ©sespĂ©rĂ©e. Seulement, un jour, nous avons croisĂ© un humain. Il nous a dit que nous devions faire quelque chose. Que lui n'avait plus la force pour le faire. Alors, il nous a donnĂ© un nom. Un nom griffonnĂ© sur un petit bout de papier. Il nous a dit de trouver la personne portant ce nom. Puis, il est partit, sans se Cazylar... avais-je murmurĂ©, Oui, c'Ă©tait bien lui, avait-il confirmĂ©. Et il m'avait laissĂ© lĂ -dessus, car il avait remarquĂ© que j'Ă©tais Ă©puisĂ©e. Il me regardait toujours en souriant. Depuis mon rĂ©veil, je ne lui avais pas encore reposĂ© de questions, mais il devait se douter que j'en avais encore. Pour ce qui Ă©tait du nom inscrit sur la feuille, je savais lequel c'Ă©tait. Le mien. Lou. Mais je ne pouvais rester ainsi, avec toutes mes interrogations. Ne rĂ©sistant plus, je Mais... comment m'avez-vous trouvĂ© ?! Oh, ça n'a pas Ă©tĂ© facile, rigola-t-il, disons que l'on n'a pas arrĂȘtĂ© de marcher, marcher, et encore marcher ces derniers mois, en quĂȘte de trouver la jeune fille au nom de Lou. Alors, tu imagines notre surprise et notre soulagement quand JulyĂ€na est revenue en criant qu'elle t'avait trouvĂ© !- JulyĂ€na, c'est...- La louve que tu as vu il y a quelques jours, appuya-t-il. J'Ă©tais restĂ©e un moment silencieuse. Il me narra aussi comment il avait Ă©tĂ© choisit pour venir me trouver et me ramener Ă l'Antre, un petit endroit reculĂ© oĂč ils Ă©taient. Je ne savais pas combien ils Ă©taient, ni quels animaux Ă©taient prĂ©sents, mais je prĂ©fĂ©rais le dĂ©couvrir sur place. Il y avait encore une question qui me brĂ»lait les Pourquoi... pourquoi moi ? Lui demandais-je alors. Il me sourit, d'un sourire de renard, et me rĂ©pondit de sa petite voix d' Parce que tu es la cinquiĂšme personne a avoir ce don. Parce que tu es la seule a pouvoir encore nous sauver. Tu es notre seul espoir, Lou ... Admin x3Sujet Re x. La LĂ©gende des Gardiens. Mer 2 Sep - 1701 CHAPITRE 4 » Ils sont lĂ pour me protĂ©ger, Ă©taient trois. Un chiffre petit, mais pourtant si impressionnant. Nous avions marchĂ© toute la journĂ©e entiĂšre, et jâĂ©tais Ă©reintĂ©e. Je devais paraĂźtre bien faible pour celle qui Ă©tait censĂ©e les sauver. Jâavais suivis le petit renard jusquâici, oĂč la nuit tombait, et sa compagnie dĂ©tendue et amusante avait Ă©tĂ© vĂ©ritablement agrĂ©able. Nous Ă©tions arrivĂ©s dans une grande clairiĂšre bordĂ©e dâarbres hauts et protecteurs, qui devaient formĂ©s lâAntre. Câest lĂ que je les vis pour la premiĂšre fois. Avec PhĂżlian, ils formaient un groupe de quatre animaux. Tout dâabord, jâavais reconnu JulĂżana, la belle louve grise que jâavais croisĂ©e sur ce chemin alors que je rentrais de chez MaryĂŒ quelques jours plus tĂŽt. Elle mâadressa un regard qui ne laissait paraĂźtre aucune Ă©motion, mais il me sembla voir dans son regard dâacier une lueur, quoique incertaine, amicale. Non loin dâelle, il y avait un autre animal. Plus grand, et que lâon devinait beaucoup plus redoutable. Un ours. Son regard neutre me scrutait avec ce que jâidentifiai de la curiositĂ©. Je devais avouer quâil mâimpressionnait. Chez nous, un ours Ă©tait considĂ©rĂ© comme dangereux. Alors, jâentrevis dans lâombre une autre silhouette. Plus petite, beaucoup plus petite. Je ne voyais que les contours flous de sa silhouette, vaguement Ă©clairĂ© par la lumiĂšre de la lune, et surtout, ses deux yeux jaunes, brillants comme des billes. Soudain, la silhouette se dĂ©forma, sâagrandissant en largeur. La chouette dĂ©plia ses ailes et sâenvola dans ma direction. Je me baissa juste Ă temps en Ă©touffant un cri. Un ricanement suave, moqueur, sâĂ©leva alors, rĂ©sonnant dans le silence de Et voilĂ que notre seule chance est donnĂ©e Ă une vulnĂ©rable et faible trouillarde ! Je savais qui avait parlĂ©, sans mĂȘme connaĂźtre cette voix sĂšche. La suffit Lennah ! Tonna alors une autre voix, plus forte et autoritaire, qui ne pouvait quâĂȘtre celle de lâ silence retomba. Phyl Ă©tai Ă cĂŽtĂ© de moi, le regard fixĂ© sur la louve. Jâentrevis un nouveau mouvement devant moi. CâĂ©tait lâours, et jâavais devinĂ© quâil Ă©tait en quelques sortes le chefâ du groupe. Il sâĂ©tait avancĂ© vers moi, le regard emplit de sagesse et dâ Bienvenue Lou. PremiĂšrement, je te remercie PhĂżlian de lâavoir ramenĂ©saine et sauve jusquâĂ lâAntre. Merci aussi JulĂżana, de lâavoir trouvĂ©. Dâailleurs, tu connais dĂ©jĂ JulĂżana, Lou. Je suis HĂżliam, et voici Lennah,prĂ©senta-t-il en dĂ©signant la chouette dâun signe de la tĂȘte, ne sachant pas trop comment je devais le saluer. Il reprit alors - Nous avons confiance en toi, car Cazylar ne prend pas de dĂ©cisions Ă la lĂ©gĂšre, et il a sĂ»rement de trĂšs bonnes raisons de tâavoir choisis, nous suivrons donc son choix. Tu dois savoir que nous te soutiendrons et tâapporterons notre aide, quâimporte les choix que tu prendras, et peu importe ce que devient lâaventure. Nous sommes les Gardiens, lĂ pour te protĂ©ger et tâamener jusquâau bout de ta quĂȘte, Ă toi, Lou. Câest alors quâil sourit, dâun drĂŽle de sourire dâ Merci HĂżliam⊠et merci Ă tous, murmurais-je en me tournant timidementvers les animaux qui me Nous partirons Ă lâaube du deuxiĂšme jour, continua-t-il. Profite de la journĂ©e de demain pour te reposer et poser des questions aux autres. Maintenant, va dormir. Tu as besoin de sans protester car il avait raison. JâĂ©tais Ă©puisĂ©e. Avant de mâendormir Ă mĂȘme le sol, je repensa Ă chacun des Gardiens. Phyl Ă©tait sans aucun doute le plus dĂ©tendu, le plus marrant. JulĂżana, la louve, semblait un peu incertaine quant Ă lâespoir que jâĂ©tais censĂ©e porter, mais rĂ©solue Ă ce que ce soit moi pourtant. Lennah mâapparaissait comme plus que mĂ©fiante. Presque mauvaise, et pour le moment, je lâaimais peu. HĂżliam, lui, Ă©tait noble et certainement confiant. Du moins, il semblait prĂȘt Ă me soutenir jusquâau bout. Je mâendormis de suite aprĂšs, la tĂȘte remplie de rĂȘves peuplĂ©s dâanimaux magiques...Quand je me rĂ©veillai au matin, le soleil Ă©tait dĂ©jĂ bien haut et ma tĂȘte fourmillait dĂ©jĂ de questions. Passant une main dans mes cheveux emmĂȘlĂ©s, je me redressa en observant les alentours. Je remarquai alors quâils Ă©taient drĂŽlement vides et silencieux. Trop silencieux. Je finis par me relever. Une brindille craqua sous mes Respecte le sommeil des autres, lâ reconnus la voix peu amicale de Lennah, et ne prit la peine de lui rĂ©pondre. Une petite silhouette, Ă prĂ©sent familiĂšre, trottinait vers moi. Le poil flamboyant du renard semblait lustrĂ© par les rayons du soleil. Il dĂ©posa quelque chose au Bonjour Lou ! Bien dormi ? Tu as faim ? Jâai ramenĂ© du lapin, si tu veux. Je ne sais pas comment tu le manges chez lui Oui, merci, Phyl. Eh bien, je vais le faire⊠cuire, ce, je rassemblai du bois, enjouĂ©e de pouvoir manger un peu de viande, car mes repas les jours prĂ©cĂ©dents sâĂ©taient rĂ©sumĂ©s Ă des fruits et lĂ©gumes et quelques baies trouvĂ©es sur le le feu prit enfin, je distinguai deux Ă©clats qui brillaient du reflet des Bonjour JulĂżana, saluais-je poliment la louve qui venait dâarriver prĂšs du Bonjour Lou, me rĂ©pondit-elle, partant se coucher un peu plus fis goĂ»ter du lapin cuit Ă PhĂżlian, qui dĂ©crĂ©ta le prĂ©fĂ©rer largement cru ! Un peu plus tard dans la journĂ©e, le renard partit pour une de ses expĂ©ditions furtives. HĂżliam nâĂ©tait visiblement pas lĂ , Lennah certainement cachĂ©e dans un arbre Ă lâarbre Ă lâabri de la lumiĂšre, je me retrouvai donc seule avec JulĂżana. Elle Ă©tait belle, et inspirait un certain respect, une loyautĂ© naturelle. Je surpris son regard posĂ© sur moi, avec un demi-sourire sur les babines. Je mâapprochai dâelle, mâasseyant Ă ses cĂŽtĂ©s. Mon ton Ă©tait calme lorsque ma voix sâ Comment avez-vous Ă©tĂ© choisis, pour cette⊠mission ? Enfin, pour devenir Gardien⊠?- Cazylar nous a appelĂ© un jour, nous quatre, nous confiant cette tĂąche et nous faisant jurer de protĂ©ger la derniĂšre jeune fille qui parlait aux Je ne suis pas la derniĂšre, fis-je De notre cĂŽté⊠presque, enfin pour toi, Comment ça pour moi ?!Elle ne me rĂ©pondit pas. La silhouette de lâours arrivait. Il Ă©tait accompagnĂ© de Phyl qui trottinait gaiement Ă ses cĂŽtĂ©s. Il semblait aussi fragile Ă cĂŽtĂ© dâHĂżliam quâune brindille par rapport Ă un tronc. Il me salua, me prenant alors Ă Viens Lou, je dois tâapprendre quelque je le suivis. Nous marchĂąmes un long moment en silence sous le couvert des arbres. JâĂ©tais toujours impressionnĂ©e par HĂżliam. Il finit par sâarrĂȘter, et je fis de mĂȘme. Il se tourna vers moi de son imposante Sais-tu reconnaĂźtre un animal possĂ©dĂ© par les TraĂźtres, Lou ? Mâ J-je⊠Non⊠avouais-je tĂȘte baissĂ©e, sans oser croiser son Ce sont des animaux qui se comportent bizarrement, comme sâils ne savaient plus oĂč ils Ă©taient. Ils bavent beaucoup, ont le poil rĂȘche, rebroussĂ©, sale. Il ne faut jamais tâen approcher, surtout quand tu te retrouves seule, dâaccord Lou ? Ils sont agressifs et trĂšs dangereux. Un simple Ă©cureuil, sâil Ă©tait possĂ©dĂ©, pourrait te tuer par exemple, malgrĂ© sa petite taille. Il faut se mĂ©fier de la tĂȘte, nous rentrĂąmes Ă lâAntre, il ne restait plus que Phyl. Lâours sâĂ©clipsa. Je mâassis aux cĂŽtĂ©s du renard, repensant au comportement de la chouette vis-Ă -vis de Pourquoi est-elle comme ça ?- Qui ça ? Me demanda Lennah, avec moiâŠ- Parce quâelle a peur. Comme nous tous, sauf quâelle le gĂšre peut-ĂȘtre un peu moins bien. Notre survie repose sur tes Ă©paules, Lou, et Lennah a beaucoup de mal Ă lâaccepter. Comprends-la, les humains nous ont trahis, et voilĂ quâon donne notre sort Ă une humaine. Pour ma part, ça ne me dĂ©range pas, HĂżliam est confiant, JulĂżana te fait confiance Ă toi, mais Lennah nây arrive je la comprenais. Mais je nây pouvais rien, moi. Il me sourit, sĂ»rement pour me rassurer, et je lui rendis son sourire, contaminĂ©e par sa bonne humeur quotidienne. Peu Ă peu, tout le monde revint de leurs diffĂ©rentes activitĂ©s, mĂȘme sâil y avait toujours eu quelquâun pour rester avec OĂč devons-nous aller ?Je mâĂ©tais rapprochĂ©e dâ Au chĂąteau de Bringhall, trouver les TraĂźtres et mettre un terme Ă leur vie. Ne fais pas cette tĂȘte lĂ , les animaux sains seront lĂ pour nous aider. Il nous faudra traverser les Marais Noirs, parcourir le Champ Sans Fin, passer de lâautre cĂŽtĂ© des Monts OubliĂ©s et aprĂšs lâOcĂ©an Sauvage âqui est en fait une plage, nous passerons la FrontiĂšre bĂątie pour sĂ©parer Bringhall du reste du gros, une longue et dangereuse route nous Va te reposer Ă prĂ©sent. Nous partons Ă lâaube. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re x. La LĂ©gende des Gardiens. x. La LĂ©gende des Gardiens. Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumHeaven Weakness [[. A D M I N I S T R A T I O N. [[. Corbeille.
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j avais faim et vous m avez donné à manger