23K views, 2 likes, 0 loves, 3 comments, 2 shares, Facebook Watch Videos from C'est encore mieux l'après-midi: Ne manquez pas les suggestions musicales du jeudi. Michel Côté, directeur de la
Il en va des écrivains comme des hommes politiques il arrive que leur vie privée empiète sur leur domaine d’élection, au point de créer des imbroglios allant du non-dit à l’allusif, de la périphrase au déballage. La suite après la publicité Rosalie Vetch, la future Ysé Paul Claudel a eu une fille avant son mariage, Louise, qui n’a jamais porté son nom. Cette Louise aurait pu rester dans le domaine réservé de la vie privée, la compréhension de l’œuvre de Claudel n’en aurait pas vraiment souffert. Il en va tout autrement pour ce qui est de la mère de Louise, Rosalie Vetch, le grand amour de Claudel, celle qui partage la vie de l’auteur en deux et lui dicte si l’on peut dire Le Partage de midi » – Ysé c’est elle – avant de hanter Le Soulier de satin » – Prouhèze, c’est encore elle. Cette articulation affirmée entre l’œuvre et la vie est l’un des apports principaux de la nouvelle édition du Théâtre » de Claudel dans la collection de la Pléiade et de l’album qui l’accompagne. Une première édition avait été publiée en 1947, deux autres allaient suivre, la dernière revue et augmentée » en 1967 par Jacques Madaule et Jacques Petit. A l’exception de deux courts textes, le corpus de la nouvelle édition, sous la direction de Didier Alexandre et de Michel Autrand, est identique aux éditions précédentes, à ceci près que l’ordre adopté est celui de la chronologie de l’ suite après la publicité Une édition sans non-dits La nouveauté est dans les gros appendices qui multiplient les textes autour » des œuvres, dans les notes bien plus conséquentes, dans la synthèse qui est faite du dernier Claudel, celui qui se tourne vers l’acteur, la scène et réécrit ses pièces en conséquence. Bref, dans tout l’habillage qui fait la réputation de la Pléiade. A commencer par la chronologie de la vie de l’auteur. Là, mieux qu’une amélioration, c’est une révolution. Dans la chronologie de 1967, le nom de Rosalie Vetch n’apparaît pas. Il est dit qu’à la fin 1900 ou début 1901, Claudel part pour la Chine à bord de l’Ernest-Simons. » Suit cette maigre mention Rencontre d’Ysé ». Sans autre explication. Les auteurs savent de qui ils parlent, mais le lecteur ? Pour ce dernier, Ysé c’est le nom du personnage féminin du Partage de midi », pièce que Claudel écrira beaucoup plus tard. Ce n’est pas Ysé que Claudel rencontre mais son modèle, son inspiratrice, Rosalie, sa Rose. Le lecteur est laissé dans l’imprécision, la confusion. Le Quai d’Orsay s’émeut... » Rien de tel désormais. La chronologie de la nouvelle édition, tout en précisant en préambule que les événements de la vie privée sont réduits au minimum » comprendre ce qui va être dit doit être dit évoque, sans détour et sans fard, la rencontre de Claudel avec le couple Vetch et leurs quatre enfants sur le bateau qui vogue vers la Chine. Et ce qui s’en suivit un amour fou. La suite après la publicité Claudel à l’époque où il rencontre sa Rose » DR. Il est clairement dit que Rosalie va devenir la maîtresse de Claudel », consul à Fou-tcheou, que tout cela ira beaucoup plus loin puisqu’en 1903, lit-on dans la suite de la chronologie 2011 faits passés aussi sous silence dans les éditions précédentes Le Quai d’Orsay s’émeut de la situation scandaleuse créée par l’association de Claudel et de Francis Vetch dans des projets économiques, par l’adultère de Claudel et de Rosalie Vetch, et par l’installation de cette dernière dans la maison consulaire. » Une enquête est diligentée, lit-on encore. Philippe Berthelot, alors secrétaire d’ambassade chargé d’une mission en Extrême-Orient, étouffera l’affaire. Une durable amitié naît entre Claudel et le couple Berthelot. Elle part, il commence son Journal » Enceinte de Claudel, Rosalie Vetch quitte la Chine en août 1904 et ne donnera plus de ses nouvelles pendant treize ans. Claudel vit ce silence elle lui renvoie ses lettres comme une trahison Et voici que, comme quelqu’un qui se détourne, tu m’as trahi, tu n’es plus nulle part, ô Rose ! ». La suite après la publicité C’est dans cette période que l’idée du Partage de midi » va germer et c’est au lendemain du départ de l’être aimé qu’il commence à tenir son Journal ». Premières lignes Son départ - 1er août 1904. Commencé à Fou-tcheou, septembre 1904. Naissance de Louise 22 janvier 1905 [ligne ajoutée plus tard bien sûr, ndlr]. Fendre la muraille du cœur humain. » Dans la présentation de ce Journal », paru en 1968 dans la Pléiade, le nom de Rosalie n’apparaît toujours pas, on ne parle que d’Ysé. Il est vrai Claudel use souvent du nom d’Ysé pour évoquer Rosalie-Rose tant l’être et le personnage sont inséparables. Ysé sait qu’elle est séparée de Mesa [Claudel] pour toujours », lit-on dans l’introduction censée dire des faits et qui amalgame la vie et la fiction comme un romancier. Quand Rose lui écrira après treize ans de silence lettre qui aura son pendant dans la lettre à Rodrigue du Soulier de satin » qui mettra dix ans avant d’arriver, Claudel mentionne probablement son nom dans le Journal », mais dans la transcription pour la Pléiade, le nom est étrangement remplacé par un sic ». Et une lettre que Claudel recopie dans son Journal » n’est assortie d’aucune note. Prudence ? Pruderie ? Pudibonderie ? Discrétion ? La suite après la publicité Les éditeurs des précédents Pléiade savaient » déjà Les éditeurs du Journal » en 68 comme ceux du Théâtre » en 67 savaient. Pas tout, mais ils savaient ». Jean Amrouche savait déjà, lorsqu’il s’entretenait avec Claudel en 1951 pour des Mémoires improvisées ». Il y vient avec mille précautions Vers 1900, ou entre 1900 et 1905, voici qu’il ne s’agit pas de la Femme, mais d’une femme, voici qu’il ne s’agit seulement de l’Amour, mais d’un amour, est-ce exact ? » questionne-t-il. Oui » répond le catholique Claudel avant de digresser pour ne pas en dire plus. Amrouche revient à la charge Je ne voudrais pas être indiscret... », mais de pas de côté en circonvolutions, il ne fait que tourner autour du pot. Sans rien dire. Et Claudel ne dit rien. Autre temps, autres mœurs. Dès 1905 cependant, dans une lettre au poète Francis Jammes, alors qu’il écrivait Le Partage de midi », Claudel ne cachait rien Vous savez que je fais un drame qui n’est autre que l’histoire un peu arrangée de mon aventure. Il faut que je l’écrive. J’en suis possédé depuis des années, et cela me sort par tous les pores. » Entre écrivains... La suite après la publicité Antoine Vitez sur les traces de Rose Claudel face à lui-même DR. Au fil des décennies, on allait passer du non-dit au murmuré puis au dit. Je me souviens des répétitions du Soulier de satin » à Chaillot en 1987. Le premier jour, Antoine Vitez avait invité Renée Nantet-Claudel, fille légitime. Les jours suivants et tout au long des répétitions, il parla de Rose qui le fascinait. Le jour de l’anniversaire de Ludmila Mikael qui jouait Prouhèze et qui avait joué Ysé, il lui offrit un bouquet de roses... roses. Un jour, il relit le début du Journal » et note C’est là notre sujet il s’agit de montrer comment cela peut se fendre, la muraille du cœur humain. » Après la création à Avignon, pendant les représentations à Chaillot, il retrouve la trace de Louise, la fille illégitime. Il écrit une note de service Elle a près de 83 ans. Elle vit à Vézelay. Je lui ai téléphoné. Elle viendra voir “Le Soulier de Satin ” en décembre » publié dans Le Journal de Bord » qu’a tenu Eloi Recoing, Le Monde Editions.La suite après la publicité Les photos de l’album Claudel Ces dernières années, plusieurs ouvrages ont été consacrés à Rose, née Rosalia Scibor-Rylska à Cracovie, d’un père polonais et d’une mère écossaise. Et la récente édition Folio du Partage de midi » ne l’ignore pas. Cette édition prestigieuse et savante de la Pléiade est comme l’apothéose de cette histoire désormais publique. La notice sur le Partage de midi » montre, scène par scène, l’entrelacement de la vie et de la pièce. Et il en va de même pour la notice du Soulier de satin » où intervient également un flirt tardif, une amitié amoureuse qui relit Claudel à Audrey Parr qu’il surnomme Margotine ». L’album Claudel, dont l’iconographie a été choisie et commentée par Guy Goffette, est encore plus explicite. Jusqu’à montrer une photographie de Rose sur le bateau où tout allait commencer et deux photos d’Audrey Parr. Jusqu’à mentionner ce que l’on lit au dos de la croix de fer qui orne la pierre tombale de Rosalie-Rose au cimetière de Vézelay Seule la rose/est assez fragile pour exprimer l’éternité », une phrase extraite des Cent phrases pour éventails » de Claudel. Lequel avait choisi que soient gravés sur sa tombe ces seuls mots Ici reposent les restes et la semence de Paul Claudel. »La suite après la publicité Paul Claudel en 1927 Wikimedia Commons. ? Théâtre » de Paul Claudel - deux volumes 1 776 pages et 1 904 pages de la collection la Pléiade chez Gallimard - prix de lancement jusqu’au 31 août 65 euros chaque volume ou 130 euros les deux réunis en coffret. Album Claudel » offert pour l’achat de trois volumes de la Pléiade
Cest encore mieux l'après-midi. . - Ray Cooney adapt. Jean Poiret. Richard, député qui défend la vertu, espère rencontrer la secrétaire du Premier ministre. Sa femme Christine qui devait aller au théâtre préfère passer l’après-midi avec Georges, le secrétaire gaffeur. Florentine Duray, membre de l’opposition est dans le même 3 mars 2017 5 03 /03 /mars /2017 2236 Richard, député, est à Paris pour présider une commission à l'Assemblée Nationale. Il prévoit d'expédier rapidement sa femme, qui l'a accompagnée, au théâtre afin de pouvoir recevoir sa maîtresse dans leur chambre d'hôtel. Son assistant parlementaire est prié de l' encore mieux l'après-midi de l'auteur anglais Ray Cooney fut adaptée pour la première fois en France, en 1987, par Jean Poiret. N'ayant pu voir cette version, c'est avec un regard neuf que l'on découvre ce vaudeville. Le théâtre Hébertot a confié la pièce à José Paul qui propose une mise en scène rythmée où les comédiens se croisent dans un ballet endiablé. Il s'agit bien de théâtre de boulevard et on y retrouve les codes du genre dont ses excès mais l'histoire et ses rebondissements s'enchainent avec fluidité dans une scénographie aussi simple qu'efficace. L'ensemble est bon enfant et c'est ainsi qu'il faut se laisser prendre à ce délire qui a plutôt bien vieilli. La troupe des comédiens, aux qualités malheureusement assez inégales, est menée tambour battant par Sébastien Castro au meilleur de sa forme. Il porte la pièce et son talent comique et décalé est irrésistible. Publié par zab - dans Théâtre - Danse Titres) : C'est encore mieux l'après-midi [Spectacle] / mise en scène de Pierre Mondy ; texte de Ray Cooney ; adaptation de Jean Poiret ; décors de Jacques Marillier ; costumes de Francesco Smalto et Guy Laroche ; avec Pierre Mondy, Jacques Villeret, Jean Rougerie[et al.] Traduction de : Two into one Représentation : Paris (France) : Théâtre C’est encore mieux l’après-midi Jusqu’au 4 juin 2017 Au Théâtre Hébertot de Ray Cooney Adaptation française Jean Poiret Avec Pierre Cassignard, Lysiane Meis, Sébastien Castro, Guilhem Pellegrin, Pascale Louange, Guillaume Clérice, Rudy Milstein et Anne-Sophie Germanaz Mise en scène José Paul Décors Jean Michel Adam Offrez-vous une bonne tranche de rigolade dans un contexte morose avec ce vaudeville pour le moins plus que réussi. C’est encore mieux l’après-midi possède tous les codes du théâtre de boulevard des personnages aux caractéristiques poussées au max, des rebondissements, des quiproquos et des sous-entendus à mourir de rire. Des scènes cocasses, des retournements de situation, portes qui claquent, on ne sait jamais où ça va s’arrêter tant le ridicule va chercher toujours plus loin, tant chaque nouvel événement est toujours plus catastrophique que le précédent. Le Ca ne peut pas être pire » n’existe pas ici. Et si il n’est pas de bon ton de rire des gens, on se l’autorise sans honte dans cette pièce où il ne se passe pas un instant durant lequel on s’ennuie. Le rythme est saisissant et quant au jeu des comédiens, il ne fait qu’épaissir encore le niveau comique du texte avec élégance, éloquence dans un décor qui ne manque pas d’étonner. Détonnant d’humour ce Noirmoutier !!! L’histoire Dans un hôtel proche de l’Assemblée Nationale, un célèbre député se prépare à un après-midi coquin avec une secrétaire du premier ministre au lieu d’assister à un débat parlementaire de la plus haute importance. Mais la présence de sa femme dans le même hôtel et la maladresse chronique de son assistant vont déchainer les catastrophes et toute une série de quiproquos hilarants ! La comédie la plus folle et la plus drôle du génie anglais Ray Cooney. Crédit photo Lot Cest SITE OFFICIEL BILLETTERIE Aurélien Écrivainet acteur de théâtre britannique, Ray Cooney est génial. « C’est encore mieux l’après-midi » est peut-être sa comédie la plus drôle. Elle sera à l’affiche de l’Opéra Comédie à Montpellier, le vendredi 1er mars à 20h00. 02 May 2022Auteur Mélina Massias En pleine forme après sa troisième place dans le Grand Prix 4* de Fontainebleau sur Uno du Cerisy, Edward Levy a enfoncé le clou, ce week-end, à l’Hubside Jumping de Grimaud. Pouvant compter sur son excellente Rebeca LS, le Tricolore s’est imposé de mains de maître pour la première fois dans un Grand Prix 5*. Le jeune homme a supplanté Harry Charles, diaboliquement régulier au plus haut niveau, et Jérôme Guéry, premier à avoir trouvé les clefs du parcours de Cédric Longis dans l’acte initial. Frustré d’avoir terminé troisième du Grand Prix 4* de Fontainebleau la semaine précédente, Edward Levy a pris sa revanche sur la côte d’Azur, à l’Hubside Jumping de Grimaud, dimanche 1er avril. Avec douze barragistes pour autant de classés dans ce temps fort dominical, Cédric Longis, le chef de piste, avait parfaitement relevé son défi. “Cet après-midi encore, nous avons eu la chance d’assister à un magnifique Grand Prix. Il semble que le travail de Cédric Longis ait été parfait et je tiens à l’en féliciter. La victoire d’Edward Levy et Rebeca LS sonne aujourd’hui somme le symbole de la place de l’Hubside Jumping dans le calendrier international une étape majeure dans la préparation des couples aux grandes échéances à venir”, a souligné Sadri Fegaier, fondateur du haras des Grillons et organisateur des manifestations équestre de Grimaud. Edward Levy et Rebeca LS en sortie de piste. © Sportfot En selle sur sa formidable Rebeca LS, le plus normand des Parisiens a signé le plus rapide double clear round. Seul l’Italien Emanuele Gaudiano a enregistré un chronomètre inférieur lors de la finale, mais en laissant trois barres à terre derrière lui… Pour la première fois de sa carrière, Edward Levy a donc levé les bras dans un Grand Prix 5*. “C'est drôle, ce matin je me sentais plus stressé que d'habitude ! Je sentais Rebeca LS tellement en forme que je me suis mis un peu de pression. Cela me tenait vraiment à cœur de réaliser une belle performance. Jeudi déjà, Rebeca était deuxième de la grosse épreuve et aujourd'hui elle signe un Grand Prix formidable. Il y avait une bonne épreuve. Le parcours était assez gros mais les chevaux sautent tellement bien ici grâce à la qualité des installations que, quel que soit le parcours, il y a suffisamment de sans-faute. Je suis bien évidemment ravi. J'étais déjà deuxième d'un Grand Prix 5*, ici, derrière Steve Guerdat, et j'ai déjà remporté des Grands Prix mais aucun du niveau de celui d'aujourd'hui. C'est ma première victoire dans un vrai Grand Prix 5* donc je suis très heureux”, s’est réjoui l’heureux lauréat. “Rebeca mérite tellement ce genre de victoire ! C'est aussi un succès pour toute l'équipe du haras de Lécaude, car tout le monde a cru en cette jument depuis le début. Au quotidien, elle n'a besoin que d'un système très simple. Tout est dans la gestion du moral, la connexion et la confiance. En piste elle nous rend au centuple l'amour qu'on lui porte et c'est ce qui en fait une jument extraordinaire. J'avais vraiment à cœur de la faire briller à ce niveau. Pour préserver sa qualité, j'ai fait le choix de ne pas la monter dans des formats de type Coupe des nations mais plutôt des Grands Prix classiques. Je serai à La Baule le week-end prochain avec d'autres chevaux et mes objectifs sont bien sûr l'équipe de France et les championnats et je continue de travailler dur pour cela.” Une bataille de haute volée Parmi les douze barragistes, figuraient le numéro deux mondial et vainqueur du dernier Grand Prix 5* joué sur cette piste, Henrik von Eckermann, Kevin Staut et sa toute bonne Cheppetta, qui s’imposaient au Grand Palais en mars, Roger Yves Bost, Simon Delestre, Max Kühner ou encore le très en forme Koen Vereecke. Si Edward Levy a mis tout le monde d’accord avec son chronomètre de 39”35, la bataille a été rude. Premier à revenir en piste pour le parcours raccourci, le Belge Jérôme Guéry a donné le ton d’entrée. En selle sur son grand Grupo Prom Diego, le pilote, qui a récemment vu l’un de ses grands espoirs quitter ses écuries, a franchi la ligne d’arrivée en 39”48. Une sacrée mise en bouche ! À sa suite, le jeune Harry Charles, véritable star montante de l’équitation mondiale, présentait pour la première fois Aralyn Blue à ce niveau d’épreuve. Si le Britannique est déjà largement équipé à ce niveau d’épreuve, cette fille de Chacco-Blue vient compléter sa collection de bien belle manière. Propriété d’Ann Thompson, la jument de onze ans a doublé Jérôme Guéry pour quatre maigres centièmes. Finalement deuxièmes, tous deux ont repoussé les assauts belges au troisième rang. Harry Charles et Aralyn Blue. © Sportfot Préférant assurer leur barrage, Roger-Yves Bost et Kevin Staut ont affiché un poil de retard sur Cassius Clay VDV Z et Cheppetta, terminant tout de même avec un solide double zéro. Quatre et cinquièmes, les deux Tricolores ont fait mieux qu’Henrik von Eckermann, sanctionné d’une faute sur Hollywood V, en pleine ascension vers le très haut niveau, Simon Delestre aux rênes de Tinka’s Hero et que le Belge Wilm Vermeir, huitième et dernier appelé à la remise des prix en compagnie de Joyride S. Suivent ensuite Aurélien Leroy, Max Kühner, Koen Vereecke et Emanuele Gaudiano. Pour un malheureux point de temps dépassé avec Hoover, Aymeric de Ponnat termine aux portes du classement, juste devant Olivier Perreau, deuxième à Fontainebleau le week-end passé et pénalisé de quatre points dans l’acte initial du Grand Prix. Jérôme Guéry et Grupo Prom Diego. © Sportfot Les résultats complets ici. Avec communiqué. Photo à la Une Edward Levy et Rebeca LS. © Sportfot
Duthéâtre détente, ce dimanche à l'Opéra de Vichy pour débuter l'année avec «C'est encore mieux l'après midi» de Ray Cooney. Huit
Créée en 2012, l’AFFUT est l’Association Francophone des Futurs Usagers du Théâtre, elle regroupe les élèves qui le souhaitent des onze écoles nationales. Qu’est-ce ? Un syndicat ? Un organisme corporatiste ? Rien de tel. Une coordination ? Y a de ça, quoi que… L’AFFUT se définit comme un réel réseau d’échanges, un portail d’information et un espace de rencontres entre les futurs professionnels du théâtre ». Tout a commencé il y a quelques années à l’école du théâtre de Saint-Etienne. Les élèves ont ensuite pris contact avec ceux de l’ENSATT l'école de Lyon pour créer des liens, se rencontrer. La contamination a été présidence tournanteContactée par téléphone, Eléonore Auzou-Connes, élue présidente pour deux ans, nous en dit plus. Eléonore est élève actrice à l’école du TNS Théâtre national de Strasbourg, elle fait partie du groupe 42 entré en 2013, il sortira de l’école en 2016, regroupant 24 élèves soit 12 comédiens 6h, 6f, 2 metteurs en scène f, 1 dramaturge h, 4 scénographes-costumières f, 5 régisseurs 4f, 1h. Ce sont eux qui, avec la bienveillance des cadres de l’école et du TNS, ont accueilli pour un week-end printanier une horde de deux cents élèves venus des écoles de Paris CNSAD, ESAD, Lyon, Saint-Etienne, Montpellier, Bordeaux, Rennes, Lille, etc. Les écoles de Lausanne, Bruxelles et Liège ont rejoint le mouvement. L’école du studio d’Asnières, dernier établissement français à avoir reçu un statut d’école nationale, s’apprête à le est au rassemblement, à l’envie d’être ensemble, échanger, se connaître. Le mieux encore pour cela étant de travailler des uns avec les autres et de faire la fête ensemble. Ce fut le cas à Strasbourg le temps de ce week-end. Ce qui n’empêcha pas les participants de parler politique, intermittence. C’était au cœur des propos lors de la réunion de l’an dernier à l’ENSATT Samuel Churin, explicateur en chef de la coordination des intermittents du spectacle, y a fait un tabac, ce le fut moins cette année à Strasbourg, certains l’ont de noyautage par une grosse école, la présidence de l’association et le bureau qui va avec ont un mandat de deux ans non renouvelable, mais tôt ou tard se posera la question de la disparité entre les écoles riches et celles qui le sont moins, entre celles qui sont adossées à un théâtre et celles qui ne le sont pas. L’AFFUT va rester à l’affût de tous ces problèmes. Association naissante, elle est dans ses années pionnières, souvent les plus strasbourgeois ont dû d’abord s’occuper de l’intendance de ce week-end inter-écoles » pour ce qui est de trouver des lits, la solution la plus logique a été de décréter la nuit blanche, ce qui n’a pas empêché certains, parmi les moins résistants, de dormir dans des colocs déjà bien garnies. La bouffe a évité la case vaisselle pour le dîner du samedi soir chacun avait un kit nourriture, 120 tartes faites maison ont été étalées au sol formant un vrai un tapis couvrant une partie de la place de la République où était organisé le auraient pu demander à Stanislas Nordey, Falk Richter et d’autres artistes présents à Strasbourg d’intervenir, ils ont préféré s’en tenir à des ateliers entre eux. Pendant ces deux jours, notre force c’est d’être entre élèves, de transmettre entre nous », dit tartes et des ateliersUne dizaine d’ateliers de quatre heures ont été proposés sur des idées d’élèves, cela allait de la déclamation baroque à la perte de repères avec des traversées les yeux bandés en passant par des jeux d’ambiance autour d’un thème le banquet. L’ insémination poétique » a eu beaucoup de succès. Nos actions ne sont pas des happenings, nous n’avons rien à "vendre", écrivent les initiateurs. Nous souhaitons être totalement invisibles, ou du moins le plus discret possible, afin de laisser la place à la poésie elle-même » et cela à travers la ville. Ce week-end avait aussi pour but de tenir l’assemblée générale de l’association avec les questions habituelles à l’ordre du jour les cotisations des élèves et celles des écoles, les nouveaux adhérents et puis aussi, la préparation de la table ronde et des ateliers qui se dérouleront dans la deuxième quinzaine de juin à la Cartoucherie de Vincennes lors du festival des écoles du théâtre public en passe de devenir un rendez-vous le dîner du samedi place de la République à Strasbourg, le retour au TNS s’est fait en fanfare constituée sur le pouce par des élèves. Sur le parvis, ils ont croisé les spectateurs qui sortaient du Canard sauvage, les acteurs de La Veillée des grands gourmands de François Chattot, les acteurs pro du stage dirigé par Krystian Lupa comme Valérie Dréville... Folle ambiance. Après quoi, ils ont dansé et plus si affinité toute la nuit salle Gignoux. Au petit matin, ils ont refait le monde avant de faire le ménage. Le dimanche midi, un brunch était organisé juste avant le conseil d’administration de l’AFFUT. On y a discuté de nouvelles idées comme celle d’organiser ici et là les 24 heures de l’AFFUT, du théâtre non-stop pendant 24h, ou encore faire reconnaître l’association d’utilité publique ». Futée l’ le cadre du Festival des écoles du théâtre public qui se tient à la Cartoucherie du 18 au 28 juin, l’AFFUT propose une table ronde le samedi 20 de 14h à 17h au Théâtre de l’Aquarium pour échanger sur les compétences, besoins et réalités du métier ». Et le dimanche 28 au Théâtre de l’Epée de bois, à partir de 14h, présentation d’ateliers organisés du 22 au 27 juin de 10h à 18h entre jeunes comédiens de renseignements sur le site de l’AFFUT.
Cest encore mieux l’après-midi . Opéra Comédie 11 Boulevard Victor Hugo 34000 Montpellier : 04 67 60 19 99 Afficher l'itinéraire. Opéra Comédie. L'Opéra Orchestre annonce. La comédie la plus folle et la plus drôle du génie anglais Ray Cooney, adaptée par le génie français de la comédie, Jean Poiret, et
Accès 6 place Saint Martin, 25200 Montbéliard, France Faites votre Réservation +33381922340 Nos Horaires d'ouverture Lundi 1400 – 2200 Mardi 1200 – 1400 1900 – 2200 Mercredi 1200 – 1400 1900 – 2200 Jeudi 1200 – 1400 1900 – 2200 Vendredi 1200 – 1400 1900 – 2200 Samedi 1200 – 1400 1900 – 2200 Dimanche fermé Options de paiement disponibles Espèces Chèque Paiement sans contact MasterCard Ticket Restaurant VISA Carte ticket restaurant Chèques vacances Carte de débit Apple Pay Maestro Nos services Accessible aux personnes à mobilité réduite Terrasse À emporter Wi-Fi gratuit Informations pratiques Votre message a été envoyé. Nous vous répondrons prochainement. Échec de l'envoi du message Brasserie du Théâtre Français Menu Accès Horaires d'ouverture Moyens de paiement Services Nous contacter Réservation Français Cookies Pour proposer des services de grande qualité, nous utilisons des cookies à des fins fonctionnelles et statistiques. En cliquant sur J'accepte », vous consentez à l'utilisation desdits cookies. Les paramètres de cookies actuels peuvent être modifiés en cliquant sur Modifier les paramètres ». Vous trouverez plus d'informations à ce sujet dans notre notre avis de protection des données Fermé Options de confidentialité Nous utilisons des cookies pour rendre nos services aussi attrayants que possible et proposer des fonctionnalités spécifiques. Il s'agit de petits fichiers texte qui sont stockés sur votre ordinateur ou votre appareil. Nous utilisons différents types de cookies, qui peuvent être classés dans les catégories suivantes nécessaires pour le fonctionnement de notre site Web, pour l'analyse statistique, pour le marketing et pour les réseaux sociaux. Vous pouvez choisir ceux que vous acceptez. Nécessaires Ces cookies sont nécessaires pour proposer les fonctionnalités de base de notre site Web, comme les fonctions de sécurité et d'assistance. Certains de nos cookies sont supprimés à la fin de la session de navigation, c'est-à-dire lorsque vous fermez votre navigateur on les appelle les cookies de session. D'autres restent stockés sur votre appareil et nous permettent de reconnaître votre navigateur lors de votre visite suivante ce sont les cookies persistants. Statistiques Afin de mieux comprendre nos clients, nous stockons des données pour les analyser. Ces données nous permettent par exemple de connaître les comportements en matière de clics et d'optimiser ainsi nos services et notre contenu. Marketing Nous autorisons aussi des sociétés tierces à placer des cookies sur nos pages. Les informations recueillies de cette façon peuvent être utilisées pour diffuser des publicités personnalisées sur les réseaux sociaux, par exemple, ou à d'autres fins de marketing. Ces cookies ne sont pas nécessaires au bon fonctionnement des services. F6Gc.
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