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Courte Devinette logique A quelle question est-ce que vous ne pourrez jamais rĂ©pondre "oui"? Chuttttt Je me brise lorsque l'on me nomme. Ne pas mentir Une personne sĂ»re d'elle dit qu'elle rĂ©pond Ă  toute question par oui ou par non et dit toujours la vĂ©ritĂ©. Comment pouvez-vous la piĂ©ger ? Comportement Ă©trange Avez-vous remarquez que si vous faites tomber un verre sur le sol, il se casse toujours au dernier rebond. Pourquoi ? Calcul mental Un berger possĂšde 27 brebis. Toutes meurent sauf 8. Combien en reste-t-il ? Le monde des devinettes La population mondiale est de 8 milliards d'humains. On multiplie le nombre de doigts de la main droite de chacun des habitants de la planĂšte les uns par les autres. Combien obtient-on ? Concurrence loyale Deux enseignes vendant le mĂȘme produit se font face. Pourtant, elles ne se font pas concurrence. Comment est-ce possible ? CompliquĂ© Qu'est ce qui vous appartient bien que les gens l'utilisent plus que vous ? Calendrier Vous pouvez me trouver dans dĂ©cembre mais pas dans les autres mois. Que suis-je ? L'amour Qu'est ce qui a 13 cƓurs mais aucun autre organe ? Pas si simple Dans quelle situation le chiffre deux est Ă©gale Ă  dix ? C'est la vie Qu'est ce que vous pouvez attraper mais pas jeter ? Les pieds Qu'est ce que l'on doit casser avant de l'utiliser? Attention, ce n'est pas votre ordinateur!!! Évidement Quelle est l'expression que les vampires rĂ©pĂštent souvent ? Sur le nez qu'est ce qui a 2 branches mais pas de feuille ? Peace Quels individus sont aussi forts sur la terre, sur les mers et dans les airs ? C'est simple ! Qu'est-ce qui peut faire le tour d'une maison sans bouger ? Devinette vitale Quand je mange je grandis et quand je bois je meurs. Qui suis je ? Ça coule ! Qu'est-ce qui est nĂ© grand, et qui meurt petit ? Cetancien ingĂ©nieur est jugĂ© depuis mardi pour le double meurtre au marteau de sa femme Ă  Lannion puis de sa mĂšre Ă  BĂ©gard. Le mĂȘme

Cet article date de plus d'un an. PubliĂ© le 24/01/2021 1051 DurĂ©e de la vidĂ©o 2 min. FRANCEINFO Article rĂ©digĂ© par N. Perez, H. Puffeney, M. Dreujou, N. Sadok - France TĂ©lĂ©visions Un adolescent de 15 ans a Ă©tĂ© tabassĂ© Ă  coups de barres de fer et de marteau Ă  Paris jeudi 15 janvier. Yuriy est hospitalisĂ© ; ses jours ne sont plus en danger. Une enquĂȘte est en cours. Yuriy a fĂȘtĂ© ses 15 ans Ă  l’hĂŽpital. AprĂšs huit jours de coma, il est toujours Ă  l'hĂŽpital, dans un Ă©tat grave. Le 15 janvier dernier, Ă  18h30, dans un quartier commerçant de Paris, l'adolescent est passĂ© Ă  tabac par une bande de jeunes. Sur les images de vidĂ©osurveillance, une dizaine d'individus, masquĂ©s et Ă©quipĂ©s de barres de fer et d’un marteau, rouent de coups le collĂ©gien. Sa mĂšre, rencontrĂ©e devant l'hĂŽpital par France TĂ©lĂ©visions samedi 23 janvier, veut comprendre "Il Ă©tait avec ses amis. Quand ils ont vu cette bande, ils ont commencĂ© Ă  courir, Yuryi est tombĂ©, ils se sont jetĂ©s sur lui. C'est horrible, je ne sais pas comment vous dire, c'est douloureux de voir tout ça." Les agresseurs sont toujours recherchĂ©s. Le motif de l'agression n'est, Ă  ce jour, pas connu. Le maire du 15e arrondissement de la capitale reconnait qu’il existe un problĂšme d’insĂ©curitĂ© dans le secteur. Le ministre de l’IntĂ©rieur dĂ©nonce une “attaque d’une sauvagerie inouĂŻe”. Selon la mĂšre de l'adolescent, ses jours ne sont plus en danger.

KarlFritz a utilisĂ© son Titan Fondateur pour transformer des Titans Colossaux en trois murs qui ont protĂ©gĂ© Paradis. Le Titan Marteau a des capacitĂ©s de durcissement encore plus fortes, car ses hĂ©ritiers ont pu crĂ©er des armes qu’ils pouvaient utiliser pour se battre. 8. Utilisation du Titan Marteau Ă  distance. Le premier fils du monde est un forgeron. » chant, Mali Pour considĂ©rer autrement le travail dans notre monde, il est toujours utile d’aller voir ailleurs, loin des Ă©vidences. Une exposition du musĂ©e du quai Branly fait rĂ©sonner des bruits d’un autre monde le martĂšlement des piĂšces mĂ©talliques sur l’enclume, le grondement du fourneau, non pas dans des usines sidĂ©rurgiques, mais dans de modestes forges en Afrique. Cette mĂ©tallurgie artisanale est une activitĂ© Ă©conomique encore largement pratiquĂ©e dans les arriĂšre-cours de villages ou de quartiers urbains, indispensable mĂȘme dans une Ă©conomie recourant Ă  la rĂ©cupĂ©ration. Les artisans y fabriquent sans doute moins qu’il y a quelques siĂšcles des armes de chasse ou de guerre, mais toujours des objets Ă  vocation pratique, utilitaire mĂȘme. Pourquoi alors les inviter dans un musĂ©e, placer leurs productions dans des vitrines d’une institution culturelle parisienne ? La rĂ©ponse est saisissante dĂšs les premiers pas dans l’exposition. Technique, esthĂ©tique et symbolique sont indissociablement mĂȘlĂ©s dans chacun de ses objets, et, donc dans le travail qui leur a donnĂ© jour. Le forgeron maitrise le feu qui amollit le mĂ©tal le plus dur. Il manie avec force et habiletĂ© le marteau qui frappe, la pince qui saisit l’objet. Il ajuste son geste Ă  partir de ce qu’il ressent par les coups prĂ©cĂ©dents de la rĂ©sistance du matĂ©riau, de ce qu’il voit de sa couleur, de ce qu’il entend du son qu’il produit. Nous sommes aux antipodes du travail Ă  la chaine Bien que cela soit quasiment imperceptible au fil du forgeage, la force, l’amplitude, la vitesse et la torsion varient d’une frappe Ă  l’autre. D’un point de vue externe Ă  l’action, le forgeron peut donner l’impression de reproduire simplement et encore et toujours le mĂȘme geste. Alors que, pour lui qui est contraint de suivre le matĂ©riau et de rĂ©pondre Ă  ses singularitĂ©s, frapper avec un marteau est une question d’engagement dans une fluctuation continuelle de variables, et non dans l’extraction de constantes. »1 Ces gestes sont ritualisĂ©s. Ils sont accompagnĂ©s de paroles, de mĂ©lopĂ©es qui encouragent, tiennent la cadence, convoquent les esprits contribuant Ă  l’avĂšnement de l’objet forgĂ©. Le forgeron transforme le magma la gueuse » en objet tranchant, ergonomique, apte Ă  prolonger la main du paysan, du chasseur, du guerrier, du prĂȘtre. Art ou artisanat ? Tout Ă  la fois l’objet est d’autant plus pratique que chargĂ© de symbolisme, d’autant plus efficace qu’il est esthĂ©tique. L’anthropologue amĂ©ricain Alfred Gell parle de technologies enchantĂ©es ». Les forgerons sont trĂšs conscients de la valeur de ce travail Plus l’objet est forgĂ©, plus il est imprĂ©gnĂ© de la force vitale du forgeron. »2 Marx ne dirait pas mieux
 Et on peut mĂȘme passer au pluriel, tant l’activitĂ© du forgeron dĂ©pend de la contribution de ses assistants et apprentis. L’outil est prĂ©cieux des efforts de ceux qui l’ont fabriquĂ©, et enrichi encore de ceux qui l’utilisent une houe usĂ©e n’est pas jetĂ©e comme l’un de nos vulgaires dĂ©chets, mĂȘme pas recyclĂ©e », mais honorĂ©e comme manifestant le courage du jeune paysan, et refondue comme dot pour son mariage. Pas Ă©tonnant qu’une telle activitĂ© soit socialement prestigieuse. LĂ  encore, le dĂ©calage avec la figure de l’OS de notre monde industriel est vertigineux. Le forgeron est connu, on vient le voir Ă  l’Ɠuvre, on discute du labeur en cours, on admire sa derniĂšre production. Que faire de cette visite chez les forgerons africains ? Envier le sort de l’artisan au travail dans sa communautĂ© en regard de celui du manƓuvre dans son usine, certes, mais c’est un peu court. Je dirais plutĂŽt chercher Ă  enchanter » nos technologies, mĂȘme les plus modernes ; prendre la mesure de ce que chacune de nos activitĂ©s engage d’un rapport esthĂ©tique et symbolique au monde, aux choses, aux autres ; enrichir ces dimensions de notre travail, avec la conviction d’enrichir ainsi notre patrimoine culturel. Patrice Bride 1Allen F. Roberts, Introduction, Catalogue de l’exposition Actes Sud, 2019. 2Cartel de l’exposition.
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Les 47 proverbes, adages et dictons frapper Quand vous ĂȘtes enclume, prenez patience ; quand vous ĂȘtes marteau, frappez droit et bien. Proverbe français ; La fleur des proverbes français 1853 Frappe la pierre Ă  fusil contre de l'acier, elle donnera du feu. Proverbe danois ; Le dictionnaire des proverbes danois 1757 Il vaut mieux ĂȘtre frappĂ© des mains que d'ĂȘtre blessĂ© par de mauvaises langues. Proverbe italien ; Les proverbes, adages et expressions italiennes 1826 Ne frappez pas trop fort votre enfant, mais surtout frappez juste. Proverbe français ; Le dictionnaire des sentences et proverbes 1892 Qui frappe la pierre se blesse ; qui force la faille fend la pierre. Proverbe chinois ; Le livre des proverbes chinois 2009 La critique Ă©pargne les corbeaux, et frappe les colombes. Proverbe latin ; Les proverbes et dictons latins 1757 Celui qui menace avec grand bruit, veut conserver ses mains il n'a pas envie de frapper. Proverbe basque ; Les anciens proverbes basques et gascons 1845 Dieu ne frappe pas des deux mains. Proverbe espagnol ; Les proverbes et dictons espagnols 1876 Frappe l'ennemi avant qu'il ne te frappe. Proverbe libyen ; Le dictionnaire des proverbes et dictons libyens 1980 Qui frappe une montre avec une pierre, ou une pierre avec une montre, cela revient au mĂȘme. Proverbe afghan ; Les proverbes de l'Afghanistan 1926 Quand on prend une pierre trop grosse, c'est signe qu'on ne frappera pas. Proverbe persan ; Le dictionnaire des proverbes et dictons persans 1980 À la porte du sourd, tu peux toujours cogner. Proverbe grec ; Le dictionnaire des proverbes et dictons grec 1980 On ne frappe pas un homme Ă  terre. Proverbe russe ; Les proverbes et dictons russes 1884 Le fouet efface la faute. Proverbe français ; Le recueil de proverbes et axiomes 1876 Baise la main de l'ami qui te frappe. Proverbe allemand ; Les proverbes et dictons allemands 1828 Frapper l'homme tombĂ©, c'est de la barbarie. Proverbe latin ; Les proverbes et dictons latins 1757 Pour frapper moins souvent, frappe une fois, mais fort. Proverbe latin ; Les proverbes et dictons latins 1757 Tout bon pĂšre frappe Ă  cĂŽtĂ©. Proverbe français ; Le recueil de proverbes et axiomes 1876 Si la fortune frappe Ă  ta porte, hĂąte-toi d'ouvrir de bonne sorte. Proverbe français ; Le recueil de proverbes et axiomes 1876 Les plus hautes montagnes sont les premiĂšres frappĂ©es par la foudre. Proverbe latin ; Les proverbes et dictons latins 1757 Quand la fortune frappe au logis, ouvrez-lui la porte. Proverbe anglais ; Les proverbes et dictons anglais 1894 Qui frappe la peau, blesse la chair. Proverbe gabonais ; Le proverbe ambede du Gabon 1992 Tu peux saisir Ă  temps la main qui va te frapper, mais non pas la langue du calomniateur. Proverbe indien ; Le livre des proverbes de l'hindoustani 1988 Sois comme le bois de santal, qui embaume la hache qui le frappe. Proverbe indien ; Les proverbes en hindi 1988 La pluie frappe habituellement la corne d'une vache, et laisse l'autre. Proverbe touareg ; Les Touaregs NigĂ©riens 1993 Tout est dette, mĂȘme le fait de se lamenter en se frappant le visage. Proverbe tunisien ; Les proverbes de la Tunisie 1956 Tout homme qui frappe son Ă©pouse n'est qu'un lĂąche. Proverbe kurde ; Les proverbes et adages du Kurdistan 1936 Avec un bon cheval, le fouet est inutile. Proverbe kurde ; Les proverbes et adages du Kurdistan 1936 Si tu ne frappais pas Ă  la porte de ton voisin, il ne frapperait pas Ă  la tienne. Proverbe kurde ; Les proverbes et adages du Kurdistan 1936 Quand on craint de blesser l'Ăąne, on le frappe sur la housse. Proverbe Ă©thiopien ; Les proverbes et adages abyssins 1907 Il n'y a pas de fouet pour ceux qui se leurrent eux-mĂȘmes. Proverbe russe ; Les proverbes et dictons russes 1884 On ne frappe pas l'ennemi qui est tombĂ©. Proverbe russe ; Les proverbes et adages de la Russie 1956 Dieu frappe d'une main, et rĂ©compense de l'autre. Proverbe quĂ©bĂ©cois ; Le livre des proverbes quĂ©bĂ©cois 1974 Le pire des lĂąches est celui qui frappe un homme Ă  terre. Proverbe persan ; Les proverbes et dictons persans 1876 La mort frappe Ă  la porte aussi bien Ă  la chaumiĂšre du pauvre qu'au palais des rois. Proverbe latin ; Les proverbes et dictons latins 1757 Qui dit des injures ne choisit pas ses mots, qui frappe ne compte pas ses coups. Proverbe chinois ; Les proverbes et sentences chinoises 1873 Un coup donnĂ© par un ami vaut mieux qu'un baiser donnĂ© par un ennemi. Proverbe arabe ; Les proverbes et locutions arabes 1835 Ne me pince pas si tu ne veux pas que je t'Ă©gratigne. Proverbe basque ; Les proverbes et poĂ©sies basques 1847 Si tu es enclume, prends patience ; si tu es marteau, frappe fort. Proverbe turc ; Les proverbes et sentences turques 1872 On ne gifle pas un serpent dangereux. Proverbe congolais ; Les proverbes yaka du Congo 2002 Frappe l'innocent afin que le coupable avoue son crime. Proverbe Ă©gyptien ; Le journal des savants 1832 Le singe frappe son petit sur l'arbre, mais il ne le laisse pas choir. Proverbe malien ; Les proverbes et adages du Mali 1998 Si on gifle un vieux tĂŽt le matin, c'est qu'il a commis une erreur la nuit. Proverbe mauritanien ; Les proverbes mauritaniens 1992 La foudre ne frappe pas l'ortie. Proverbe serbe ; Les proverbes et adages serbes 1836 Si tu frappes un lion, c'est ta tĂȘte qui souffrira. Proverbe nigritien ; Les proverbes de la Nigritie 1980 Si la fortune frappe, ouvrez vite la porte. Proverbe anglais ; Les proverbes et sentences anglaises 1876 La foudre ne frappe jamais les chiottes. Proverbe albanais ; Les proverbes de l'Albanie 1956Autres proverbes Ă  dĂ©couvrir

Maisce coup de marteau dĂ©passe, selon lui, toutes les bĂȘtises que la jeunesse pardonne. Le mayeur parle de jeunes complĂštement perdus, n’ayant aucune notion du droit et de la justice. « Cette ambiance qu’impose cette famille, c’est le caillou dans ma chaussure depuis que je suis devenu bourgmestre », a-t-il confiĂ© Ă  nos confrĂšres.

Sujet RapiditĂ© du dĂ©gainĂ©-frappĂ© Lu 9962 fois 03 fĂ©vrier 2010 Ă  231151Lu 9962 fois Vince* Vince* Bonjour ModifiĂ© 19 juin 2011 Ă  083823 par Vince* » IP archivĂ©e 03 fĂ©vrier 2010 Ă  233352RĂ©ponse 1 stetin IP archivĂ©e " j ai des principes , ils sonts peut etre bizarres mais ce sonts les miens ! 03 fĂ©vrier 2010 Ă  234922RĂ©ponse 2 Moleson RĂ©sumĂ© courtLe premier qui bande encule l' IP archivĂ©e 03 fĂ©vrier 2010 Ă  235632RĂ©ponse 3 Woodrunner D'aprĂšs ce que j'avais entendu celui qui gagnait Ă©tait le plus souvent celui qui avait eu l'occasion de foutre un coups de calibre 12 dans le dos de l'autre et cela si possible sans tĂ©moin dans une rue sombre ou au dĂ©tour d'un chemin... Toujours tricher, toujours gagner,... et bien souvent le gagnant Ă©crit l'histoire Ă  son avantage,... IP archivĂ©e Every citizen should be a soldier. This was the case with the Greeks and Romans, and must be that of every free state. Thomas Jefferson3rd president of US 1743 - 1826 WOLWERINES!!!!!!!"Une pomme par jour Ă©loigne le mĂ©decin
 pourvu que l'on vise bien." Winston Churchill 04 fĂ©vrier 2010 Ă  000225RĂ©ponse 4 Rod Rod D'aprĂšs ce que j'avais entendu celui qui gagnait Ă©tait le plus souvent celui qui avait eu l'occasion de foutre un coups de calibre 12 dans le dos de l'autre et cela si possible sans tĂ©moin dans une rue sombre ou au dĂ©tour d'un chemin... Toujours tricher, toujours gagner,... et bien souvent le gagnant Ă©crit l'histoire Ă  son avantage,... IP archivĂ©e 04 fĂ©vrier 2010 Ă  070031RĂ©ponse 5 Gwangi Gwangi J'Ă©tais fan de westerns Ă©tant gosse et j'en regarde encore Ă  l'occasion et j'ai longtemps pensĂ© comme Woodrunner le "glamour" du duel face Ă  face Ă©tait surtout hollywoodien. Mais voilĂ  j'ai parlĂ© avec des amĂ©ricanistes bien mieux documentĂ©s que moi sur le truc, et ils m'ont tous dit qu'en fait, mĂȘme si pour une bonne part il y avait eu de nombreux flingages dans le dos ensuite mythifiĂ©s en duels Ă©piques, il y avait quand mĂȘme eu d'un autre cĂŽtĂ© une grande part de duels vraiment face Ă  face. En particulier lorsqu'il s'agissait de se mesurer Ă  quelqu'un dont la rĂ©putation Ă©tait supĂ©rieure Ă  la sienne. D'aprĂšs eux, on aurait assistĂ© Ă  une Ă©poque Ă  une espĂšce de nĂ©vrose pathologique du duel. Leurs sources sont le plus souvent la presse d'Ă©poque Ă  prendre, je crois quand mĂȘme, avec des pincettes, mais aussi de nombreuses correspondances oĂč l'on peut penser que les tĂ©moins ont moins tendance Ă  mythifier la chose. AprĂšs tout, nous avons bien eu nos joutes mĂ©diĂ©vales, alors pourquoi pas ?Sinon, voilĂ  un article trĂšs intĂ©ressant pour les amateurs. Merci ! IP archivĂ©e 04 fĂ©vrier 2010 Ă  100705RĂ©ponse 6 Aerazur Super interressant, mais je pense que lĂ  dedans il y a une grande part de par rapport aux armes dĂ©poque, la prĂ©cision Ă©tait moindre que celles des rĂ©pliques italiennes actuelles. Ensuite, avant l'invention de la cartouche mĂ©tallique, charger son revolver en 6 coups prennait plusieur minutes, et en aucun cas ne pouvait se faire au galop sur son bourrin Ă  moins d'avoir bossĂ© 20 ans au Cirque de Moscou. De plus, pour cette raison, mais aussi et surtout le prix de la poudre, amorce et munitions Ă©tait bien souvent un luxe qu' un simple vacher ne pouvait s'offrir qu' occasionnellement... d'oĂč un entrainement fort il y ait eu quelques "fines gachettes", c'est plus que probable. Qu' ils aient Ă©tĂ© hyper super trop forts de la mort qui tue, je n'y crois pas trop. Certes, dans la thĂ©orie, c'est rĂ©alisable. Mais on sait que la presse de l'Ă©poque galvaudait amplement ces histoires, c'Ă©tait tellement plus vendeur de crĂ©er des un exemple. Le cĂ©lebre Buffalo Bill crĂ©a un cirque Ă©norme pour l'Ă©poque, et fit mĂȘme une tournĂ©e europĂ©enne. Un des clous du spectacle Ă©tait de tirer et toucher une piece de monnais qu' il jettait en l'air. Et il rĂ©ussissait le bougre!Vous savais pourquoi?......"ses six coups" Ă©taient chargĂ©s Ă  la grenaille, le seul moyen de rĂ©aliser un tel exploit en tir au jugĂ©... Mais chuttt.... faut pas le dire, hein? IP archivĂ©e 04 fĂ©vrier 2010 Ă  112510RĂ©ponse 7 gapmo Salut, IntĂ©ressant en effet. D’une façon plus gĂ©nĂ©rale, cela me rappelle le “Action is faster than reaction” de Tony Blauer enfin je m’en souviens qu’il fait cette citation, pas s’il en est l’auteur original et de l’importance de la perception et reconnaissance des signaux avant-coureurs PIN, 
 prĂ©cĂ©dant l’attaque physique proprement dite
 La reconnaissance de ces signaux avant-coureurs, mettant le cerveau en “action” Ă©veil, code orange/rouge, on est ainsi beaucoup moins engluĂ© dans la “rĂ©action” pure, qui est plus lente
 IP archivĂ©e Si la banane avait des bras, la peau d'banane aurait des manches "La nature est bien faite !" 04 fĂ©vrier 2010 Ă  130425RĂ©ponse 8 Mad Max A voir la vidĂ©o du tireur le plus rapide du monde de la terre entiĂšre et en particulier Ă  42 sec., la piĂšce de monnaie qu'il a tirĂ© au vol. A priori, ce n'est pas avec de la grenaille. Ainsi que la carte Ă  jouer coupĂ©e par la un temps de 0,02 seconde, il est bien placĂ© pour remporter le duel, mĂȘme s'il n'a pas l'initiative du tir. IP archivĂ©e UNPACT MemberDevenez instantanĂ©ment et gratuitement plus intelligent en cliquant sur ce lien. 04 fĂ©vrier 2010 Ă  131357RĂ©ponse 9 French Kiss C'est impressionnant, une sacree coordination oeil-main, et il a du passer un paquet de milliers d'heures et de cartouches pour y arriver, chapeau! IP archivĂ©e "En cas de morsure de vipĂšre, sucez-vous le genou, ça fait marrer les Ă©cureuils." extrait de l'Almanach de Desproges 04 fĂ©vrier 2010 Ă  140901RĂ©ponse 10 Patrick Patrick Vous ĂȘtes surs qu'on est dans la bonne rubrique, lĂ  ? IP archivĂ©e 04 fĂ©vrier 2010 Ă  152159RĂ©ponse 11 Eric Lem A voir la vidĂ©o du tireur le plus rapide du monde de la terre entiĂšre et en particulier Ă  42 sec., la piĂšce de monnaie qu'il a tirĂ© au vol. A priori, ce n'est pas avec de la grenaille. Ainsi que la carte Ă  jouer coupĂ©e par la un temps de 0,02 seconde, il est bien placĂ© pour remporter le duel, mĂȘme s'il n'a pas l'initiative du Brice, Ă©tait loin d'ĂȘtre n'importe qui aussi... des mecs comme lui sont l' plus que Jelly ne se contentait pas d'ĂȘtre "simplement" un tireur ultra-rapide... pendant sa carriĂšre Ă  la Police d'Oklahoma, puis au FBI, il a plombĂ© plus d'un en savoir plus IP archivĂ©e Peace,Eric.*********************************"...everyone's got their path brother.... choose wisely." - R. Dimitri"La "baffe de gitan" j'imagine la grosse baffe de cow boy c'est un moyen de dialogue qui peut permettre la syntonisation." - Kilbith 04 fĂ©vrier 2010 Ă  155832RĂ©ponse 12 lambda - rien ne sert de courir il faut partir avant - prĂ©vention d'abord ; - si Ă©chec code orange foncĂ© et garde passive, donc mains gentiment si besoin frappe prĂ©emptive ; - si besoin, si Ă©quipĂ©, si entrainĂ© prĂ©-dĂ©ploiement d'un outil de dĂ©fense, ce peut ĂȘtre n'importe quel equalizer, par destination ou par nature, bref ce post et cet article, malgrĂ© le piĂšge, dans un contexte de SP, ne sont pas du tout centrĂ©s sur les revolvers ni les westerns. C'est si "algorithimique" que ça dans la vraie vie? si bien compartimentĂ© et sans overlapping ou "flou artistique" en situation? a+,Lambda IP archivĂ©e "I want to live in a society where people are intoxicated with the joy of making things." William S. Coperthwaite 04 fĂ©vrier 2010 Ă  160216RĂ©ponse 13 zapi si le tireur attend que l'autre dĂ©gaine pour dĂ©gainer il a deux chances de s'en sortir que l'autre le rate, que l'autre soit super lent et lui super rapide. si le bon dĂ©gaine en deuxieme lieu ça ne veut pas nĂ©cessairement dire qu'il a attendu que le mĂ©chant dĂ©gaine, il Ă©tait peut etre juste un peu moins rapide au dĂ©but ei il lui reste deux chances .. sans compter qu'ils peuvent mourir tout les deux, qu'une des armes peut s'enrayeĂ© ne pas oublier les stats de la police avec un nombre impressionnant de policiers ratant des tirs a moins de cinqs metres de distance effet du stress. Entrainement, maitrise de ses outils, rĂ©sistance au stress sans oublier que la non action est aussi de l'action savoir refuser un dĂ©fi quelqu'il soit capacitĂ© a dialoguer pour prĂ©venir et dĂ©sammorcer les conflits et malentendu qui handicapent l'efficacitĂ© des groupes humains surtout en situation de la survie quoi, pas obligĂ© d'immiter mais on peut s'en inspirer IP archivĂ©e 04 fĂ©vrier 2010 Ă  173331RĂ©ponse 14 Moleson A voir la vidĂ©o du tireur le plus rapide du monde de la terre entiĂšre et en particulier Ă  42 sec., la piĂšce de monnaie qu'il a tirĂ© au vol. A priori, ce n'est pas avec de la grenaille. Ainsi que la carte Ă  jouer coupĂ©e par la un temps de 0,02 seconde, il est bien placĂ© pour remporter le duel, mĂȘme s'il n'a pas l'initiative du c'est du jeu de cirque, faut aussi savoir que son revolver est chargĂ© avec des boulettes de cires et Ă  ainsi aucun la rĂ©alitĂ© un duel Ă  l'arme Ă  feu avec deux personnes immobiles face Ă  face, qui savent tirer Ă  un autre nomTHE SUICIDE DRILLCar les deux se plombent en fait celui qui bouge en premier. Donc toute la thĂ©matique du combat Ă  courte distance Ă  l'arme Ă  feu est une question de mouvement de direction et de capacitĂ© de tir en mouvement, plus toute un foule de petit dĂ©tails qui font la bien sur des exception incroyable comme Jelly Brice, mais qui ne sont pas des modĂšles Ă  suivre vu leur status d' IP archivĂ©e 05 fĂ©vrier 2010 Ă  122516RĂ©ponse 15 BULLYSSON Super interressant, mais je pense que lĂ  dedans il y a une grande part de par rapport aux armes dĂ©poque, la prĂ©cision Ă©tait moindre que celles des rĂ©pliques italiennes actuelles. Ensuite, avant l'invention de la cartouche mĂ©tallique, charger son revolver en 6 coups prennait plusieur minutes, et en aucun cas ne pouvait se faire au galop sur son bourrin Ă  moins d'avoir bossĂ© 20 ans au Cirque de Moscou. Dans le mĂȘme genre... Comme ça a pĂ» se faire aussi en Europe... fallait vraiment ĂȘtre entre gens de "bonnes familles" pour de tels duels... ScĂšne tirĂ©e du film Barry Lyndon pour ceux qui ont vu ce film, Ă  l'Ă©poque dĂ©jĂ  mĂȘme lĂ  il y avait moyen de y a toujours une faille ! ModifiĂ© 05 fĂ©vrier 2010 Ă  142838 par BULLYSSON » IP archivĂ©e 05 fĂ©vrier 2010 Ă  133843RĂ©ponse 16 ** Serge ** IP archivĂ©e "The quality of your life is a direct reflection of the quality of your communication with yourself and others." - Anthony Robbins without intelligence is noise; Intelligence without communications is irrelevant." ~ Gen. Alfred. M. Gray, USMC 05 fĂ©vrier 2010 Ă  141712RĂ©ponse 17 Moleson IP archivĂ©e 29 novembre 2020 Ă  013440RĂ©ponse 18 promeneur-solitaire Dans notre doulce France, on n'a pas les splendides paysages du Far-west, mais question ambiance, dans certains coins ça commence Ă  y comptais Ă©voquer le concept dans un sujet genre Yoogo ou Sel defender, mais puisqu'il existe dĂ©jĂ  celui-lĂ  Oublions les armes Ă  feu de poing dont il est trĂšs difficile d'obtenir l'autorisation de port dan nos beaux modestement .. Quelque soit l'outil de dĂ©fense, si on ne peut pas le "dĂ©gainer" en moins de deux secondes, mieux vaut s'abstenir de le choisir comme back-up, je ne dis pas.Vos avis ? IP archivĂ©e 29 novembre 2020 Ă  120346RĂ©ponse 19 JeromeSud Dans notre doulce France, on n'a pas les splendides paysages du Far-west, mais question ambiance, dans certains coins ça commence Ă  y soit l'outil de dĂ©fense, si on ne peut pas le "dĂ©gainer" en moins de deux secondes, mieux vaut s'abstenir de le choisir comme back-up, je ne dis pas.Vos avis ?Si au moins cela pouvait ĂȘtre vrai pour le far west, moi je vois surtout des masses de gens dans la grande majoritĂ© dĂ©semparĂ©s, impuissants et qui subissent, et peut ĂȘtre quelques trop rares initiatives individuelles dont ceux qui lisent ce forum, mais faut pas imaginer qu'on est autre chose que des exceptions, presque des anomalies, et d'autres qui essaient de voir comment s'arranger le moins mal avec la lĂ©galitĂ© pour ne pas trop ĂȘtre entre le marteau et l'enclume vois tu ce que je veux dire ?Sinon ben oui, mĂȘme si pour les yoogo et autre self defender tu connais dĂ©jĂ  mon avis, mĂȘme sans parler forcĂ©ment de 2 secondes comme critĂšre obligatoire, il est Ă©vident qu'un outil de dĂ©fense doit ĂȘtre organisĂ© sur soi pour que l'accĂšs soit le plus rapide et surtout automatique secondes par exemple pour sortir un spray ne me parait pas rĂ©dhibitoire, 10 oui par le critĂšre de 2 secondes maxi correspond surtout Ă  mon avis Ă  des "standards" en matiĂšre de dĂ©gainĂ© d'une arme Ă  feu pour les citoyen en port dissimulĂ© aux USA ou effectivement chaque fraction de seconde compte, et gagner ou ou secondes est toujours ce qui d'un magazine, le dĂ©gainĂ© prend 0 secondes dans la mesure oĂč il est possible de l'avoir d'emblĂ©e en pense et surtout je ressens Ă  1000% qu'entre le premier post sur ce fil 2010 et maintenant, alors que 10 ans, une dĂ©cennie, se sont Ă©coulĂ©s, ce n'est plus le mĂȘme pays. Oublions les armes Ă  feu de poing dont il est trĂšs difficile d'obtenir l'autorisation de port dan nos beaux donc les sujets dont il ne faut pas parler ici mais qui seraient la rĂ©ponse compte tenu du niveau de violence et de dĂ©sinhibition dont on est dĂ©sormais trop souvent tĂ©moin, continuons Ă  parler de Yoogo et de SAP, de monkey fist et autres...faute d'avoir accĂšs Ă  de vrais moyens de dĂ©fense, bref concevons la self defense comme au royaume non, ce n'est pas "trĂšs difficile", c'est en rĂ©alitĂ© impossible en pratique et ça le restera, surtout si personne de compĂ©tent ne prend jamais la parole. ModifiĂ© 29 novembre 2020 Ă  123015 par JeromeSud » IP archivĂ©e Un hĂ©ros, c'est juste un abruti qui a eu de la chance. 29 novembre 2020 Ă  133752RĂ©ponse 20 Rantanplan J'ai une question qui me turlupine mais dont je ne suis pas sur d'avoir la rĂ©ponseEst ce qu'il est lĂ©galement rĂ©prĂ©hensible d'Ă©laborer des moyens / stratĂ©gies de dĂ©fense illĂ©gales port d'arme Ă  feu par exemple dans un forum ? Je veux dire, est ce que le responsable lĂ©gal du forum / auteur du post peut ĂȘtre attaquĂ© pour incitation Ă  la violence, trouble Ă  l'ordre public ou dans le genre ? MĂȘme question pour un instructeur de self dĂ©fense risque t'il de voir son club dissout par les autoritĂ©s ? Pour rebondir sur l'intervention de JĂ©rĂŽme, peut ĂȘtre que le sujet est pauvre tout simplement parce-qu’il n'est pas possible d'en parler ouvertement un peu comme pour les explosifs artisanaux, sujet mort depuis les annĂ©es 2000 -> interdiction lĂ©gale de publier quoi que ce soit de technique - je parle factuellement, pas de dĂ©bat si c'est un mal ou un bien, merci -. IP archivĂ©e Rire nous rend invincibles. Pas comme ceux qui gagnent toujours mais comme ceux qui n'abandonnent pas. - Frida Kahlo 29 novembre 2020 Ă  135020RĂ©ponse 21 DavidManise J'ai une question qui me turlupine mais dont je ne suis pas sur d'avoir la rĂ©ponseEst ce qu'il est lĂ©galement rĂ©prĂ©hensible d'Ă©laborer des moyens / stratĂ©gies de dĂ©fense illĂ©gales port d'arme Ă  feu par exemple dans un forum ? Je veux dire, est ce que le responsable lĂ©gal du forum / auteur du post peut ĂȘtre attaquĂ© pour incitation Ă  la violence, trouble Ă  l'ordre public ou dans le genre ? Je crois revanche, ça fait clairement partie des sujets qui sont border line et scrutĂ©s par les shamans nettoyeurs, parce que ca dĂ©rive quasiment tout le temps sur le politique ou les calibres, et que ça fout toujours le est dans une zone de laĂŻcitĂ© politique, en quelque sorte. Et je pense que c'est trĂšs important que ça le reste. Quant Ă  l'idĂ©e de partager ses trucs en public pour dĂ©gainer plus vite ou pour ce genre de truc, ça implique de facto une prĂ©mĂ©ditation pour celui qui fera usage de ce genre de truc, et c'est vraiment pas top pour faire valoir la lĂ©gitime dĂ©fense en cas d'agression. De facto, au vu de la loi, quelqu'un qui se prĂ©pare Ă  se dĂ©fendre d'une agression avec des moyens tactiques prĂ©alablement travaillĂ©s et Ă©tablis ne va pas avoir un a priori trĂšs favorable avec lui devant le magistrat. Et quelque part c'est assez comprĂ©hensible la meilleure maniĂšre de ne pas ĂȘtre emmerdĂ©, qui fonctionnait il y a 10 ans et qui fonctionne encore maintenant, ça reste la courtoisie, l'Ă©vitement et ne pas jouer aux ne va pas refaire l'Ă©ducation de qui que ce soit en tapant dessus... ça serait trop pipou en me relisant, je me rends compte que j'ai rĂ©pĂ©tĂ© plein de fois le mot truc, souvent chez moi c'est le signe qu'un sujet me gonfle... je dis ça pour info. IP archivĂ©e 29 novembre 2020 Ă  173427RĂ©ponse 22 Olly Salut, TrĂšs intĂ©ressant, et pour en revenir au poings, et non au calibre, mon pĂšre m'a toujours dit de frapper le premier. Étant assez couillon de nature, et "pacifiste", j'ai toujours privilĂ©giĂ© le dialogue... Voir de tourner en ridicule mon "assaillants".. Ça a plutĂŽt bien marchĂ©, j'ai pris qu'une patate dans ma vie . ho oui j'aurais aimer en mettre quelques unes... Mais finalement tous ça pour quoi?.. Satisfaction personnelle?...J'ai jamais compris les mecs qui cherchaient la m*rde... Surplus de testostĂ©rone ?... ... Ou est-ce moi qui en ait moins?... ModifiĂ© 29 novembre 2020 Ă  175744 par Olly » IP archivĂ©e "Le plus Ă  l'abris des dangers est celui qui se tiens sur ses gardes mĂȘme lorsqu'il semble ĂȘtre en sĂ©curitĂ©"- Publilius Syrus - Philosophe Romain +/- un siĂšcle avant J-C 30 novembre 2020 Ă  094102RĂ©ponse 23 Norbert Salut, TrĂšs intĂ©ressant, et pour en revenir au poings, et non au calibre, mon pĂšre m'a toujours dit de frapper le premier. Étant assez couillon de nature, et "pacifiste", j'ai toujours privilĂ©giĂ© le dialogue... Voir de tourner en ridicule mon "assaillants".. Ça a plutĂŽt bien marchĂ©, j'ai pris qu'une patate dans ma vie . ho oui j'aurais aimer en mettre quelques unes... Mais finalement tous ça pour quoi?.. Satisfaction personnelle?...J'ai jamais compris les mecs qui cherchaient la m*rde... Surplus de testostĂ©rone ?... ... Ou est-ce moi qui en ait moins?...AprĂšs tous dĂ©pend du niveau de ton adversaire personnellement pour avoir subit des agressions je ne les ai jamais vu arriver. IP archivĂ©e 30 novembre 2020 Ă  100404RĂ©ponse 24 bloodyfrog personnellement pour avoir subit des agressions je ne les ai jamais vu arriverEn toute humilitĂ©, car il n'a pas d'expert ici, c'est peut ĂȘtre cet aspect de la self protection que tu dois IP archivĂ©e

Unjeune garçon de 14 ans a été agressé violemment dans une enceinte scolaire, à Vitry-sur-Seine. Le collégien a été pris à partie puis roué
Aller Ă  la page 1, 2 Ama WilliamsO Be Careful Little Eyes‱ Emploi Etudiante ‱ Âge 20 ans ‱ Vit Ă  RĂ©serve Cheyenne ‱ Messages 525 ‱ Avatar Mimi Elashiry ‱ Inscrit 02/07/2019 Le clou qui dĂ©passe appelle toujours le marteau [Cole] Lun 8 Juil - 1408 Runnnnnnnnn!!!!! De rage, Ama envoya valser Ă  l'autre bout de sa chambre le stylet qu'elle utilisait pour dessiner sur sa tablette. Si la demoiselle Ă©tait adepte des bons vieux crayons et papiers blancs, il lui arrivait, quand elle n'avait pas trop envie de se prendre la tĂȘte, de dessiner sur la tablette tactile que son Ă©cole lui avait fourni le temps de ses Ă©tudes. FrĂ©quentant un Ă©tablissement huppĂ©, le doyen tenait Ă  ce que ses Ă©lĂšves aient ce qu'il y a de mieux en matiĂšre d'Ă©ducation. Engouffrant son visage dans un coussin, la jeune femme laissa Ă©chapper malgrĂ© elle, un long soupire suivit d'un petit reniflement peu Ă©lĂ©gant mais qu'est-ce que cela pouvait bien faire qu'elle soit Ă©lĂ©gante ou pas? LĂ , enfermĂ©e dans cette chambre depuis des heures, personne ne la voyait ni mĂȘme ne s'en soucierait. Rien ne se passait comme elle se l'Ă©tait imaginĂ©. ParachutĂ©e Ă  Longford, Ama ne s'Ă©tait jamais sentie aussi seule et dĂ©soeuvrĂ©e de toute sa courte existence. AprĂšs le dĂ©part de sa mĂšre, Draven avait consenti Ă  ce qu'elle vienne habiter chez lui plutĂŽt qu'Ă  l'auberge mais elle avait l'impression qu'il s'Ă©tait senti contraint et qu'en rĂ©alitĂ©, il ne voulait pas d'elle. Cette idĂ©e l'attristait Peut-ĂȘtre qu'elle se trompait totalement et que la froideur de son frĂšre Ă©tait liĂ©e au simple fait qu'il ne savait juste pas comment s'y prendre avec elle? Qu'il devait digĂ©rer que sa mĂšre qui l'avait abandonnĂ©, avait Ă©levĂ© un autre enfant que lui ? Ama se sentait de trop ici. Mais sans doute Ă©tait-elle trop pressĂ©e? Trop pressĂ©e d'ĂȘtre acceptĂ©e. Il fallait dire qu'elle avait naĂŻvement idĂ©alisĂ© cette rencontre, sans vĂ©ritablement prendre en compte ce que pourrait ressentir l'autre adulte. Quoi qu'il en soit, Draven lui avait dit qu'il devait aller travailler mais qu'elle pouvait faire comme chez elle. Mouai...difficile de faire "comme chez soi" quand on avait la dĂ©sagrĂ©able sensation d'ĂȘtre une gĂȘne plus qu'autre chose. Ce n'Ă©tait pas ce qu'elle voulait. Comment faire comprendre Ă  Draven que lui et Cheyenne, lui avaient terriblement manquĂ© toute sa vie durant? Qu'elle n'Ă©tait pas leur ennemie? Sa conclusion Ă©tait la suivante Elle devait laisser le temps faire son oeuvre et faire taire sa frustration. Ama se redressa subitement et saisit son sac en bandouliĂšre et enfila une paire de bottines Ă  franges dont sa couleur se mariait trĂšs bien avec sa robe bohĂšme blanche et quitta la maison de son frĂšre. Elle avait besoin de prendre l'air. Rester dans cette chambre Ă  broyer du noir ne servirait Ă  rien et ce n'Ă©tait pas dans ses habitudes de se morfondre. Sans rien dire Ă  personne, Ama quitta la rĂ©serve pour se rendre dans le centre ville de Longford. C'Ă©tait vraiment un joli patelin cet endroit, il y avait ici, un charme qui manquait cruellement aux grandes villes. Bifurquant sur Downtown, Ama marchait le long du trottoir en regardant les diffĂ©rents commerces qui bordaient la route, ignorant les regards qui pouvaient glisser sur elle tantĂŽt Ă©tonnĂ©s, tantĂŽt inquisiteurs. Sans doute que voir des nouvelles tĂȘtes n'Ă©tait pas chose courante Ă  Longford? Il fallait dire que le style bohĂšme/ethnique d'Ama ne passait pas inaperçu. Tandis qu'elle avait jetĂ© son dĂ©volu sur un petit supermarchĂ©, la belle passa Ă  cĂŽtĂ© d'une voiture avec un jeune homme au volant. Elle lui jeta un rapide coup d'oeil comme on regarde les passants puis elle s'engouffra dans l'Ă©tablissement. Il n'y avait pas grand monde, c'Ă©tait mĂȘme plutĂŽt dĂ©sert. Passant de rayons en rayons, la jeune femme s'arrĂȘta devant devant tout un de petits carnets joliment exposĂ©s. Les couvertures en carton Ă©pais Ă©taient ouvragĂ©es de façon Ă  donner Ă  chaque carnet, l'aspect d'un vieux grimoire. Ama Ă©tait folle de ce genre de choses, qui donnait un aspect mystique. Comme si de rien n'Ă©tait, la jeune femme regarda la qualitĂ© du papier...exceptionnel. Elle s'imaginait dĂ©jĂ  dessiner dessus. Fortement intĂ©ressĂ©e par l'article, Ama regarda le prix...et dĂ©chanta. Quarante dollars?! La jeune femme n'avait pas les moyens de se payer quelque chose d'aussi cher. Sa mĂšre lui avait donnĂ© un peu d'argent et elle devait l'utiliser que pour des choses vĂ©ritablement utiles. Mais...il Ă©tait si beau ce carnet avec ses reliures dorĂ©es. Regardant autour d'elle, la jeune femme constata qu'il n'y avait personne. Sans attendre, elle glissa le carnet dans son sac. Elle ressenti alors le doux frisson que provoquait la dĂ©licieuse sensation de faire quelque chose d'interdit. MĂ» par un sentiment de toute puissance, la jolie hawaĂŻenne ne s'arrĂȘta pas lĂ  et vola Ă©galement un paquet de bonbon, un peu de maquillage et quelques stylos de trĂšs bonne facture. Sauf qu'elle ne remarqua pas le vigile qui se rapprochait d'elle en silence. Ce n'est qu'en l'entendant l'appeler doucement "mademoiselle" qu'Ama se rendit compte de sa prĂ©sence. Un vent de panique s'Ă©tait abattue sur elle. Elle commença alors Ă  courir Ă  travers les Ă©talages, poursuivit par le vigile en question. Tel une petite anguille, Ama se faufila, Ă©vitant les obstacles. Mais le vigile Ă©tait vif et manqua Ă  plusieurs reprises de la rattraper. Le coeur battant Ă  tout rompre, Ama se prĂ©cipita vers la sortie et commença Ă  courir. "ArrĂȘte-toi tout de suite!!" Hurlait le vigile. Ses longs cheveux virevoltaient au vent, elle filait Ă  toute allure. C'est alors qu'une voiture, la mĂȘme que celle qu'elle avait vu un peu plus tĂŽt, se mit a rouler Ă  sa hauteur. Tout se joua en une fraction de seconde. Le conducteur lui offrait tacitement mais clairement son aide. Sans attendre, elle ouvrit la porte et pris place sur le siĂšge passager. "Vite vite vite!" rĂ©pĂ©tait-elle pour inviter le conducteur Ă  Ă©craser la pĂ©dale d'accĂ©lĂ©rateur. "Tu cours pas encore assez vite mon gars!!!" Se moquait la jeune femme en passant sa tĂȘte Ă  travers la vitre qu'elle avait ouverte. Elle Ă©tait assez moqueuse la bougresse, avant de partir dans un fou-rire et rentrer sa tĂȘte dans l'habitacle. Reprenant son souffle, Ama essaya de calmer sa respiration. Son coeur battait la chamade tant Ă  cause de l'effort qu'elle venait de faire que par le "dĂ©lit" qu'elle venait de commettre. Elle n'en revenait pas de ce qu'elle venait de faire. Mais...cela avait Ă©tĂ© une expĂ©rience vraiment excitante! "Wouuuh!! Merci pour ton aide!" S'exclama Ama tandis qu'elle remettait ses cheveux en par Laxy Dunbar. InvitĂ©InvitĂ© Re Le clou qui dĂ©passe appelle toujours le marteau [Cole] Lun 8 Juil - 1846 Ama + Cole Le clou qui dĂ©passe appelle toujours le marteau. » Les bras Ă©tendus et la nuque calĂ©e contre le rebord de la piscine, je profite d'un moment dans l'eau. Ça va, la baraque de mon oncle n'est pas dĂ©gueulasse dans le genre. Ça aurait pu ĂȘtre pire. Rien qu'Ă  voir la dĂ©gaine du vieux, je t'assure, on se demande dans quelle foutu taudis il crĂšche. Sans exagĂ©rer ... ou Ă  peine ! Pour l'instant je trouve au moins quelques avantages Ă  avoir atterris ici. Puis c'est toujours fun d'avoir un nouveau terrain de chasse. Le dĂ©cor est loin d'ĂȘtre dĂ©gueulasse non plus, j'aime la montagne. Des gouttes d'eau perlent sur ma peau tandis que je me hisse hors du bassin, dĂ©cidĂ© Ă  me bouger pour aller faire un tour en ville. Je m'entoure d'une serviette au niveau des hanches et prend la direction du salon oĂč je mets de la musique, farfouillant dans les disques du vioque pour voir s'il y a un truc potable. Je porte mon choix sur un vieux tube de Bob Seger "Still the same". Ouais j'ai parfois des vieux goĂ»ts de merde mais on en a tous, pas vrai ? Allez hop, une petite douche et c'est parti !J'attrape ma veste et mes clĂ©s puis coupe la musique une fois sur le dĂ©part. En m'approchant de ma caisse, je songe qu'elle aurait besoin d'un bon nettoyage. C'est un coupĂ© Mazda jaune, seule truc que mon pĂšre m'a offert et qui valait le coup. Il l'avait certes achetĂ© d'occasion et j'ai du retaper quelques trucs dessus mais c'est justement le temps passĂ© dessus qui m'a fait m'y attacher plus encore. Ouais je sais, le vieux clichĂ© des mecs et leurs caisses. Elle a mĂȘme un surnom "la jaune". Attention te fous pas de ma gueule ! C'est trĂšs sĂ©rieux ... et aussi trĂšs original comme nom. Comment ça "non pas du tout" .. ?! ça va chier ! Bon ok j'arrĂȘte mon char bĂ©bĂ© ... ! Je grimpe Ă  bord et prend la direction de la ville au son de Chocolate watchband. "It's all over now baby blue" joue Ă  plein volume et mes doigts tapotent le volant en rythme tandis que je chante par-dessus les paroles. Me voilĂ  bientĂŽt dans le centre aprĂšs avoir rejoint Colorado avenue. Les premiĂšres boutiques se pĂąment de chaque cĂŽtĂ© de la rue avec leurs façades pleines de charme. J'observe les gens et ralentis en voyant certains curieux s'arrĂȘter pour regarder ce bolide jaune non identifiĂ© dans les rues. Le vieux m'avait prĂ©venu, ici tout le monde se connait et le plus gros de la populace semble avoir un radar pour repĂ©rer les nouveaux venus. J'adresse un doigt d'honneur, vitre baissĂ©e, Ă  une vielle gueuse qui a l'air aussi coincĂ©e que si on lui avait collĂ© une scie Ă  mĂ©taux dans le derche. Laquelle semble me zieuter d'un regard noir comme si j'Ă©tais rĂ©ellement censĂ© la laisser traverser en dehors des foutus passages cloutĂ©s. Allez soit un peu sympa Murph', laisse la passer ... me tannais-je en m'exĂ©cutant alors gentiment. AprĂšs le doigt d'honneur que j'ai adressĂ© Ă  sa face de cul, c'est sans doute la moindre des choses. Quoi qu'il en soit, pendant que madame prend tout son temps, mon regard erre sur le trottoir Ă  ma gauche et je ne tarde pas Ă  poursuivre ma route, remarquant bientĂŽt une fille qui me laisse juste bouche bĂ©e comme un gros crevard. Bordel, elle est mĂ©chamment canon ! Je manque d'ailleurs d'emboutir la voiture devant moi alors que je fais un arrĂȘt image sur elle. Puis on klaxonne derriĂšre moi alors que je roule dĂ©sormais au pas. "Putain tu dĂ©connes trop Murph ! Reprends-toi, mec !"Je la vois traverser plus loin et me gare Ă  une petite quinzaine de mĂštres Ă  peine en arriĂšre. Je vais vite fait acheter Ă  boire et des clopes. Puis retour Ă  la voiture oĂč je balance mes achats sur le siĂšge passager avant d'aller m'installer en appui contre le capot avant, tandis que je zieute plus loin Ă  la recherche de la fille. Je l'ai vu entrer dans une boutique mais elle n'a pas du en ressortir. je dĂ©fais l'emballage d'un paquet de clopes avec les dents quand soudain, une scĂšne attire mon attention et je comprends trĂšs vite ce qui se passe alors que la miss en question se barre en courant de la dite boutique. Ni une ni deux, je fonce derriĂšre le volant manquant de me cogner le genoux contre la portiĂšre en l'ouvrant dans l'empressement. Je dĂ©marre et m'insĂšre sur la voie sans vraiment faire gaffe, trop obnubilĂ© par l'occasion en or qui se vitre baissĂ©e, j'arrive bientĂŽt Ă  hauteur de la fuyarde et attire son attention en sifflant. Lorsque nos regards s'accrochent, je lui fais signe de la main de monter. Pas sĂ»re qu'elle morde Ă  l'hameçon mais vu sa situation, j'ai un minimum de Grimpe ! lançais-je alors que je me penche une nouvelle fois vers le siĂšge passager pour l'inciter Ă  se dĂ©cider, roulant au pas. Je dĂ©gage le bordel sur le siĂšge passager en balançant les clopes sur la banquette arriĂšre et posant le pack de biĂšres aux pieds du siĂšge passager. Elle saute sur l'occasion de monter Ă  bord, Ă©valuant sĂ»rement les risques entre le vigile et mon offre."Vite vite vite!" lĂąche-t-elle alors pour m'inviter Ă  vite dĂ©guerpir d'ici tandis que le type a du repĂ©rer mon YES SIR ! affirmais-je d'une voix aussi forte qu'exaltĂ©e par l'adrĂ©naline."Tu cours pas encore assez vite mon gars!!!" Nous dĂ©talons aussi vite qu'on peut au vu du semblant de circulation et je m'amuse Ă  doubler un vĂ©hicule qui roule peinard devant. Tant pis pour le code de la route. - C'est toujours mieux que sur tes quilles toutes frĂȘles, lançais-je avec une pointe d'amusement. Ton fou rire est communicatif et je l'accompagne de quelques "WOOUHOU!!" de victoire. Ton sourire est enchanteur. Nous prenons la direction de la sortie de la ville et finissons par rouler un peu plus calmement. A te voir les cheveux au vent, la tĂȘte un instant dehors, je ne sais me dĂ©partir de ce sourire plaquĂ© sur mes lĂšvres, non seulement d'avoir jouĂ© pareil coup mais de t'avoir prĂ©sentement Ă  bord alors que quelques instants plus tĂŽt, je t'avais remarquĂ© sans plus pouvoir dĂ©coller mon regard. Je me demande quelles sont tes origines comme semblent le souligner le joli hĂąle de ta peau."Wouuuh!! Merci pour ton aide!" t'exclames-tu en te replaçant Ă  nouveau plus confortablement dans ton Tu penses que c'est gratuit ? avançais-je pour tester ta rĂ©action, un sourire mutin aux regard se pose sur ton sac et je le chope soudain pour le poser sur mes cuisses tout en gardant un Ɠil sur la route et une main sur le Qu'est-ce qu'on a lĂ  ? lançais-je en entrebĂąillant largement l'ouverture pour jouer les fouineurs tandis que je roule vraiment tranquillement sur la route dĂ©serte pour le moment. De vastes Ă©tendues de terre s'Ă©talent des deux cĂŽtĂ©s de la route, au dĂ©part en friche puis les suivantes qui forment de vastes prĂ©s. Je te tapote la main pour t'empĂȘcher toute tentative de reprendre ton bien, faisant mĂȘme mine de vouloir te mordiller la main lorsque tu esquisses un Pas touche ! Alors alors c'est quoi le butin ? Ça valait le coup j'espĂšre !Je tombe sur un ou deux carnets dont l'un semble tout neuf. Mon regard jongle entre la route et le contenu de ton sac. Je tombe bientĂŽt sur des stylos que je balance par la vitre, arguant que - Ça on s'en fout ... Puis je mets la main sur du maquillage. Ça aussi ... ! Le boitier bondit en l'air et finit sa course sur tes genoux. Ah voilĂ  !! dis-je en mettant la main sur un paquet de bonbecs. ConfisquĂ© ! Une juste rĂ©compense pour t'avoir sauvĂ© les miches. Je choppe un coin du paquet entre mes dents pour dĂ©chirer et crĂ©er une ouverture. T'as intĂ©rĂȘt qu'ils soient bons ! 2981 12289 0 Ama WilliamsO Be Careful Little Eyes‱ Emploi Etudiante ‱ Âge 20 ans ‱ Vit Ă  RĂ©serve Cheyenne ‱ Messages 525 ‱ Avatar Mimi Elashiry ‱ Inscrit 02/07/2019 Re Le clou qui dĂ©passe appelle toujours le marteau [Cole] Mar 9 Juil - 746 Runnnnnnnnn!!!!! Ama ne savait pas ce qui lui avait passĂ© par la tĂȘte lorsqu'elle avait dĂ©cidĂ© de voler toutes ces choses dans le magasin. Jamais elle n'avait fais cela auparavant. Enfin si, une ou deux fois mais c'Ă©tait il y a bien longtemps! C'Ă©tait peut-ĂȘtre sa maniĂšre Ă  elle d'exprimer sa frustration vis-Ă -vis de ce qui lui arrivait en ce moment. En tout cas, la gamine mine c'Ă©tait amusĂ© comme une petite folle. Le sentiment d'impunitĂ© qu'elle venait de ressentir l'avait complĂštement grisĂ©. Sans doute que cela lui inspirera un personnage dans un futur plus ou moins proche. En attendant, la belle se calma, aidĂ© par l'air qui passait dans le vĂ©hicule grĂące Ă  la fenĂȘtre ouverte, lui fouettant le visage. Comme elle Ă©tait nouvelle, personne ne saurait qui elle Ă©tait, elle avait tout de mĂȘme fait attention aux camĂ©ras de surveillance. Quoi qu'il en soit, Ama Ă©tait Ă  prĂ©sent Ă  bord d'un bolide en prĂ©sence d'un parfait inconnu...inconnu qui visiblement avait pris son pied Ă©galement. Ama allait faire le point sur ses trouvailles lorsque le conducteur saisit son sac en bandouliĂšre pour le mettre sur ses genoux, ignorant le "He! Mais!" de sa passagĂšre visiblement pas emballĂ© par sa prise d'initiative soudaine. "Ah! Non non non non non! Mais qu'est-ce que tu fous!??" Ama affichait une mine dĂ©composĂ©e lorsqu'elle vit les stylos passer par dessus bord et se perdre dans la vĂ©gĂ©tation dense qui poussait sur le bas-cĂŽtĂ© de la route. Ses grandes prunelles azures lançaient des Ă©claires au jeune homme qui continuait de jeter nĂ©gligemment son butin sur ses genoux. "EspĂšce d'idiot! Est-ce que t'as la moindre idĂ©e idĂ©e de combien ils valent ces feutres??" Pas moins d'une vingtaine de dollars chacun. Si Ama les avaient volĂ©, c'Ă©tait parce qu'au-delĂ  du prix, c'Ă©tait du trĂšs bon matĂ©riel. La finesse des pointes et la qualitĂ© des encres permettaient de rĂ©aliser des dĂ©tails et des dessins de grande qualitĂ©. Elle aurait largement prĂ©fĂ©rĂ© qu'il balance le maquillage plutĂŽt que le matĂ©riel qu'elle allait utiliser. C'Ă©tait une artiste, elle n'Ă©tait pas comme les autres filles de son Ăąge...dĂ©calĂ©e, dans la lune, inspirĂ©e, passionnĂ©e...mais pas par les vĂȘtements ou bien par le maquillage. Pour elle ces trucs Ă©taient presque dĂ©nuĂ©s d'intĂ©rĂȘt. Le froissement d'un emballage en plastique attira son attention. Non mais c'Ă©tait hallucinant ça! VoilĂ  maintenant qu'il allait lui piquer ses bonbons! S'en Ă©tait trop, Ama tendis la main pour rĂ©cupĂ©rer le dit paquet mais l'autre fit claquer ses dents comme pour la mordre et la dĂ©fendre de tenter quoi que ce soit pour lui reprendre les bonbons. Ama Ă©tait estomaquĂ©e par son aplomb. Sa frustration se changea en une moue boudeuse adorable tandis qu'elle gonflait les joues. "J'aimerai bien pouvoir te dire si ils sont bons mais vu que t'es dĂ©jĂ  en train de tous les bouffer je peux pas vraiment te dire! T'es complĂštement tarĂ©!" RĂ©torqua t-elle d'un ton acerbe. Et puis elle ne se dĂ©monta pas et plongea rapidement sa main dans le paquet pour espĂ©rer en manger un. Elle arriva Ă  en chopper un ou deux qu'elle garda prĂ©cieusement contre elle avant de les engouffrer rapidement de peur que l'autre type ne vienne directement les prendre. "Hummm cha pique, j'adore." Puis elle haussa les Ă©paules et ajouta un "Ok parce que je suis trop sympa je vais te les laisser!" Ajouta t-elle malicieusement tirant un peu la langue, faussement fiĂšre. En fait c'Ă©tait sa maniĂšre Ă  elle de le remercier pour lui avoir sauvĂ© les miches comme il le disait si bien. "Comment tu t'appelles? Non parce que j'imagine que L'homme qui tombe Ă  pique c'est un peu long! Alors....dis-moi tout!" Lança elle avant de bloquer sur le son qui passait en fond. Ama avait vraisemblablement reconnu la musique qui passait. Se permettant de faire comme chez elle, la jeune hawaĂŻenne augmenta le son sans prendre la peine de demander au maĂźtre des lieux et reconnu les Chocolate Watchband et commença Ă  chanter sans faire gaffe Ă  la prĂ©sence du conducteur "This sky, too, is folding under youAnd it's all over now, Baby Blue!!!!! ♫" s'amusant comme une petite folle. "All your seasick sailors, they are rowing home! All your reindeer armies, are all going home hummm." Visiblement elle connaissait bien ce par Laxy Dunbar. InvitĂ©InvitĂ© Re Le clou qui dĂ©passe appelle toujours le marteau [Cole] Mer 10 Juil - 927 Ama + Cole Le clou qui dĂ©passe appelle toujours le marteau. » "Ah! Non non non non non! Mais qu'est-ce que tu fous!??" lĂąches-tu paniquĂ©e en arborant bientĂŽt une mine dĂ©composĂ©e alors que j'envoie joyeusement valser les feutres par-dessus bord. L'objet suivant consiste en du maquillage qui cette fois-ci vient rebondir sur tes genoux."EspĂšce d'idiot! Est-ce que t'as la moindre idĂ©e de combien ils valent ces feutres??" - Nope ! dis-je trĂšs fier de ma connerie, l'air de m'en foutre royalement. T'as passer l'Ăąge des coloriages, non ?M'exclamant bientĂŽt en tombant sur enfin quelque chose qui vaut le coup et arguant que je prends ça comme une juste rĂ©compense pour t'avoir sauvĂ© les miches, je froisse l'emballage en mordillant le coin pour le dĂ©chirer. Tu tends nĂ©anmoins la main pour rĂ©cupĂ©rer ton butin, l'air excĂ©dĂ©e et je fais claque ma mĂąchoire comme si j'allais te croquer la main. Ton expression se change en une petite moue boudeuse carrĂ©ment craquante et mes lĂšvres se fendent d'un large sourire plein de malice tandis que je croque dans un T'es trop mignonne quand tu regard en coin Ă  ton adresse avant de le reposer sur la route alors que je glisse histoire de, qu'ils ont intĂ©rĂȘt Ă  ĂȘtre bons. Ce qui est le cas."J'aimerai bien pouvoir te dire si ils sont bons mais vu que t'es dĂ©jĂ  en train de tous les bouffer je peux pas vraiment te dire! T'es complĂštement tarĂ©!"- Moi ?! lançais-je en me dĂ©signant d'un doigt l'air plonges dans le mĂȘme temps la main dans le paquet pour m'en subtiliser Ă  ton Chipie ... "Hummm cha pique, j'adore." Bordel, je fonds. Cette fille est juste trop craquante. Je manque de faire une embardĂ©e alors que mon regard s'attarde un instant sur ses lĂšvres tandis qu'elle se rĂ©gale. Mais je redresse bien vite en roulant droit et en accordant de nouveau mon attention sur le bitume."Ok parce que je suis trop sympa je vais te les laisser!" concĂšdes-tu sur un ton mutin en tirant la Range ton petit bout de langue oĂč je m'en empare Ă©galement, menaçais-je en agitant un doigt en guise d' Ă  nouveau un doux sourire, pour le peu que ce dernier m'ait dĂ©sertĂ© jusque lĂ , accompagnant ce dernier d'un "merci damoiselle".Je prends la direction du lac Ă  un peu plus de cinq cent mĂštres aprĂšs la sortie de la ville. Les vastes Ă©tendues de terre et de prĂ©s ont laissĂ© place Ă  des pentes couvertes de sapins qui renforcent la splendeur de cet Ă©crin de nature environnant."Comment tu t'appelles ? Non parce que j'imagine que L'homme qui tombe Ă  pique c'est un peu long! Alors....dis-moi tout!" Je laisse Ă©chapper un rire sous l'entremise d'un soupir amusĂ© Ă  cette Cole, mais tout le monde m'appelle Murph'. Je tourne un instant le visage vers toi en engouffrant un nouveau bonbon et prĂ©cise la bouche pleine. Ça vient de Murphy, mon deuxiĂšme prĂ©nom. Quant Ă  toi, je devine un prĂ©nom aussi charmant que ta petite personne, un instant, la musique de fond finit semble-t-il par t'interpeller et tu augmentes alors le volume en prenant tes aises. T'as du tempĂ©rament et tu sembles loin d'ĂȘtre timide, du moins pas en majoritĂ© j'imagine, et ça me plait. Tu te mets Ă  chanter par-dessus la musique et je t'Ă©coute un instant, un discret sourire aux lĂšvres avant de me joindre Ă  toi."♫ This sky, too, is folding under you. And it's all over now, Baby Blue ♫" Ă©levais-je la voix pour reprendre le refrain, aussi enthousiaste que toi Ă  partager ce petit instant de complicitĂ© Yes tu connais ! m' tourne le visage vers toi et t'adresses un sourire franc, tĂ©moin du plaisir que j'ai de dĂ©couvrir que tu connais et que tu aimes. Viens le moment de bifurquer Ă  droite alors que nous passons devant un panneau annonçant la direction du lac. Je repense soudain Ă  tes fameux feutres et agis sur un coup de tĂȘte, exĂ©cutant un demi-tour. Devinant ton air interrogateur quant Ă  cette manƓuvre soudaine, je lance - T'avais vraiment l'air d'y tenir Ă  ces crayons. J'me rappelle avoir remarquĂ© un arbre au moment oĂč je les ai retrouvons Ă  peu prĂšs l'endroit en question. Nous descendons du vĂ©hicule et je me cale contre l'aile de la bagnole, armĂ© de mon sachet de bonbons en attirant ton attention sur le fait que - Bah quoi, vas-y, cherche ... j'ai pas dit que je ferais tout le boulot !Je ne te quitte pas des yeux pendant que tu te penches Ă  demi pour observer Ă  travers les hautes herbes. Je me mordille la lĂšvre sans m'en rendre compte alors que je te matte sans me Regarde par lĂ , me semble avoir vu une touche de couleur, t'indiquais-je un endroit imaginaire pour t'inciter Ă  te pencher pour y regarder de plus prĂšs. Le bruissement Ă©mit alors que tu farfouilles parmi les brins d'herbe me fait sourire. Puis je ne peux retenir finalement un rire qui m'Ă©chappe alors, ouvertement moqueur. Ouvertement certes mais somme toute gentillet. Je ne dĂ©voile toutefois rien de ce qui a provoquĂ© mon hilaritĂ©. Motus et bouche cousue. Un instant, je songe que si vraiment tu tiens Ă  ces feutres et que tu ne les retrouves pas, j'irais pourquoi pas t'en chopper si tu es sage ... .Plus tard - allez savoir si on a retrouvĂ© les feutres ou non - nous remontons en voiture et je reprends alors la direction du lac. Le chemin qui est bitumĂ© au dĂ©part finit en chemin de terre et ça cahote un peu. Je fais le con en tapant sur le volant et en faisant mine d'ĂȘtre secouĂ© plus qu'on ne l'est en rĂ©alitĂ© par l'irrĂ©gularitĂ© de la route, continuant Ă  chanter sur le morceau suivant. "I'm not like everybody else". Paroles que je scande en me retrouvant dedans.♫ "And I dont want to live my life like everybody else,And I wont say that I feel fine like everybody else,cause I'm not like everybody else !! " ♫Nous dĂ©bouchons bientĂŽt sur une large bande de terre face au lac et j'arrĂȘte le vĂ©hicule non loin du bord de l'eau. Il y a un ponton plus loin. Pas un chat pour l'instant dans le coin, tant descends jusqu'Ă  la structure de bois qui avance lĂ©gĂšrement sur le lac et quitte mes pompes pour aller m'asseoir au bout et balancer les pieds dans l'eau. Le soleil brille et se reflĂšte sur les eaux Ă  demi turquoise. Les bras calĂ©s en appui derriĂšre moi, je te demande Dis-moi, t'es d'ici ? Moi je viens tout juste d'arriver. Je viens d'Arizona. lançais-je la bouche pleine, croquant dans un eniĂšme 2981 12289 0 Ama WilliamsO Be Careful Little Eyes‱ Emploi Etudiante ‱ Âge 20 ans ‱ Vit Ă  RĂ©serve Cheyenne ‱ Messages 525 ‱ Avatar Mimi Elashiry ‱ Inscrit 02/07/2019 Re Le clou qui dĂ©passe appelle toujours le marteau [Cole] Mer 10 Juil - 1532 Runnnnnnnnn!!!!! Ama Ă©tait visiblement tombĂ©e sur un sacrĂ© phĂ©nomĂšne. Est-ce qu'elle avait bien fait de monter Ă  l'aveuglette dans la premiĂšre voiture qui lui offrait la possibilitĂ© d'Ă©viter de finir au poste de police? Le commun des mortels rĂ©pondrait que non. Bien sĂ»r que non! Une bien mauvaise idĂ©e d'autant plus que la jeune femme n'avait prĂ©venu personne! Son frĂšre ignorait qu'elle Ă©tait partie. Les autres membres de la rĂ©serve l'avaient sans doute vu partir mais ils ne savaient pas oĂč elle se rendait. Mais dans l'esprit tempĂ©tueux d'Ama, ce n'Ă©tait pas le potentiel danger que reprĂ©sentait ce jeune homme au volent de sa belle Mazda jaune, mais le vigile qui lui aurait promis un allĂ© simple chez la police si elle n'avait pas sautĂ© dans le vĂ©hicule. Elle voulait Ă  tout prix que Draven ne soit pas au courant de ses frasques...Elle ne voulait pas prendre le risque de le dĂ©cevoir alors qu'ils venaient tout juste de ce rencontrer. Que penserait-il s'il voyait que sa soeurette n'Ă©tait qu'une sale gamine qui ne perdait pas une occasion de faire des conneries? "Du coloriage...." murmura la jeune femme complĂštement hallucinĂ©. Sa fiertĂ© d'artiste venait d'en prendre un coup lĂ ! Elle? Faire du coloriage? "Ouai t'es complĂštement tarĂ©! Pourquoi la seule personne Ă  vouloir me sauver soit le seul type Ă  avoir un pĂšte au casque." MaugrĂ©a-t'elle en affichant une fausse mine courroucĂ©e. "...En fait j'adore ça." riait-elle maintenant en affichant un grand sourire. Ça l'avait vraiment amusĂ©! Si la belle avait bien horreur de quelque chose, c'Ă©tait bien des gens plats, lisses, trop parfait et surtout politiquement correcte. Si elle Ă©tait loin d'ĂȘtre une terreur, Ama n'Ă©tait pas un ange pour autant et malgrĂ© l'Ă©vidente douceur qui Ă©manait d'elle, elle se rebellait facilement ce qui avait le don d'Ă©tonner son monde. Un ange qui cachait en rĂ©alitĂ© un petit dĂ©mon. Elle s'esclaffa de plus bel lorsque le jeune homme lĂącha qu'elle Ă©tait mignonne lorsqu'elle boudait ou qu'il lui piquerait sa langue si jamais elle ne voulait pas la rentrer de nouveau dans sa petite bouche "Dans le genre rentre-dedans on peut dire que tu y vas franco toi. " AffirmĂąt-elle sans prendre de gant non plus. Se calant un peu plus dans le siĂšge de la voiture, Ama Ă©couta son sauveur lorsqu'il se prĂ©senta. Cole dit Murph pour les intimes. "Ok Murph' ravi de pouvoir mettre un prĂ©nom sur le visage de mon sauveur. Contente de te connaĂźtre. Moi c'est Ama, juste Ama. Pas certaine qu'on puisse faire un surnom quant on a que trois lettres dans son prĂ©nom." C'Ă©tait un jeune homme original. Tant dans son comportement complĂštement dĂ©calĂ© que dans son prĂ©nom et ses goĂ»ts musicaux, goĂ»ts qu'ils semblaient partager visiblement. Car il accompagna vocalement Ama lorsque celle-ci se mit Ă  chanter. Si quelqu'un les voyaient, lĂ , comme ça, en train de s'amuser il aurait pu aisĂ©ment croire que ces deux-lĂ  se connaissaient depuis des annĂ©es. Leur complicitĂ© semblait ĂȘtre presque immĂ©diate. "Ouai j'adore ces sons qui rappellent les vieux groupes. J'ai Ă©tĂ© Ă©levĂ© avec ce genre de groupes dans les oreilles depuis toute gamine." Elle lui renvoya Ă©galement son sourire franc. Ça lui faisait du bien de constater qu'elle pouvait ĂȘtre sur la mĂȘme longueur d'onde avec quelqu'un. Ama, Ă©tait populaire parce qu'elle Ă©tait jolie. Elle attirait les regards et n'avait qu'Ă  claquer des doigts pour trouver un "chevalier servant" mais son comportement assez excentrique faisait que rares Ă©taient ses vrais amis qui l'acceptaient comme elle Ă©tait...aĂ©rienne...un esprit fertile et excentrique, perchĂ©. Soudain, le conducteur fit demi tour, sous le regard interrogateur de sa passagĂšre. "Heu ouai. En fait pour pouvoir me les payer j'aurais dĂ» vendre un de mes reins au marchĂ© noir! C'est pour te donner une idĂ©e. Mais c'est vraiment du trĂšs bon matos." Ils se rapprochĂšrent de l'arbre en question et Ama sauta au sol pour vĂ©rifier si les stylos Ă©taient bien lĂ . Elle jeta un coup d'oeil par dessus son Ă©paule pour voir si Murph allait lui donner un coup de main mais non...visiblement, elle allait devoir se dĂ©brouiller."Ne m'aide pas surtout!" RĂąlait la jeune femme qui se dĂ©menait Ă  chercher un peu partout oĂč Murph' lui indiquait avoir aperçu un peu de couleur. Mais Ă  chaque fois rien du tout. "Quoi? Pourquoi tu te moque de moi comme ça!?" Elle ne s'en offusqua faussement. Elle lui jeta des touffes d'herbes pour se venger. "Ouai bah t'as eu des hallucinations parce que je trouve aucun stylo. Je crois qu'ils sont bels et bien perdu..." Regretta Ama en en soupirant. "Tant pis, je vais devoir risquer une nouvelle fois ma vie pour aller en chourer d'autres. T'en fait pas, je ne t'en voudrais presque pas quand je serais derriĂšre les barreaux! Parce que je ne pense pas que quelqu'un veuille me prendre en stop pendant que je serais en train de fuir Roger le Vigile. Ca sera de ta faute mais promis, j'essaierai de pas trop t'en vouloir." Lui adressant un clin d'oeil complice, elle dĂ©cida de remonter dans la voiture. Ama faisait de l'humour mais plaisantait qu'Ă  moitiĂ©. Elle y tenait Ă  ces fichus feutres! NĂ©anmoins elle ne voulait pas accabler Cole. Il n'Ă©tait pas censĂ© savoir que le dessin Ă©tait pour elle, un troisiĂšme poumon. Elle rĂ©cupĂ©ra son sac et rangea le maquillage qui Ă©tait tombĂ© par terre et vĂ©rifia rapidement que ses prĂ©cieux carnets Ă©taient bien toujours lĂ . Ils poursuivirent leur route et tout du long, Ama ne s'inquiĂ©ta pas de sa destination. C'Ă©tait ça qui Ă©tait excitant, la spontanĂ©itĂ©! Chantant Ă  tue-tĂȘte, accompagnant le conducteur, elle pouffa ensuite de rire en voyant ce dernier exagĂ©rer lorsqu'il les emmenaient sur une route non goudronnĂ©e. "Hummmmm laisse moi deviner! T'es une sorte de tueur en sĂ©rie et lĂ , tu vas amener la pauvre fille dans ton repĂšre pour pouvoir la trucider Ă  l'abri des regards??" Sans dĂ©conner, elle plaisantait mais cela aurait trĂšs bien pu ĂȘtre le cas? Elle n'eut pas Ă  attendre longtemps la rĂ©ponse Ă  sa question. Un lac gigantesque pointait le bout de ses berges. "Non!!!" La voiture Ă©tait Ă  peine arrĂȘtĂ© qu'Ama Ă©tait dĂ©jĂ  dehors pour rejoindre le ponton. "C'est magique ici!" Ses yeux brillaient d'Ă©motions. Posant son sac par terre, Ama Ă©carta les bras et ferma les yeux. Elle respira Ă  pleins poumons l'air frais et pur, savourait la chaleur du soleil sur son visage puis elle se mit Ă  tournoyer sur elle-mĂȘme. Comme elle Ă©tait heureuse! Elle avait l'impression d'ĂȘtre complĂštement libre, vivante et vibrante. La belle au bout d'un moment et alla rejoindre Murph s'asseyant Ă  cĂŽtĂ© de lui aprĂšs avoir quittĂ© ses chaussures pour mettre ses pieds dans l'eau. "Nan je suis pas d'ici je viens de Montrose c'est Ă  environs 3h30 d'ici. Je viens d'arriver Ă  la rĂ©serve pour rencontrer des membres de ma famille que je connaissais pas. Et toi? Pourquoi tu es ici?" Puis elle tendis la main tout en lui lançant un regard de "ChapeautĂ©" pour qu'il lui donne un bonbon "Donne m'en un...teuplait." Elle pris enfin le temps d'observer son sauveur. Grand, les yeux bleus, un air de sale gosse vissĂ© sur un visage mal rasĂ©. Murph' avait tout du mauvais garçon et le frĂ©quenter, c'Ă©tait s'assurer d'avoir des ennuis. Mais il y avait quelque chose de magnĂ©tique chez lui et de dangereux, qu'Ama trouvait trĂšs attirant. D'ordinaire, c'Ă©tait plutĂŽt des gosses de riches qu'elle frĂ©quentait, vu l'Ă©tablissement scolaire dans lequel elle Ă©tait...une universitĂ© pour "fils et filles de", elle n'avait pas trop le choix mais elle s'emmerdait Ă  mort avec eux. "Tu viens souvent ici? Je veux dire, au lac." Rompant le contact visuel Ama avait tendance Ă  ĂȘtre inquisitrice dans ses regards, comme si elle cherchait Ă  lire l'Ăąme des personne qu'elle regardait. DĂ©formation professionnelle si on pouvait dire ça. codage par Laxy Dunbar. InvitĂ©InvitĂ© Re Le clou qui dĂ©passe appelle toujours le marteau [Cole] Mar 16 Juil - 502 Ama + Cole Le clou qui dĂ©passe appelle toujours le marteau. » "Ok Murph' ravi de pouvoir mettre un prĂ©nom sur le visage de mon sauveur. Contente de te connaĂźtre. Moi c'est Ama, juste Ama. Pas certaine qu'on puisse faire un surnom quant on a que trois lettres dans son prĂ©nom." Je t'adresse un sourire amusĂ© face Ă  ta derniĂšre La mĂȘme, "gueule d'ange" ! rĂ©pondis-je en te surnommant ainsi pour souligner que je suis doublement emballĂ© de te te mets bientĂŽt Ă  chanter par-dessus la musique et je suis bientĂŽt le mouvement avec joie tandis que nous prenons la direction du lac. Je ne tarde pas Ă  souligner mon enthousiasme quant au fait que tu connaisses ce groupe et semble l'apprĂ©cier. D'ailleurs, tu relĂšves que tu adores ce genre de sonoritĂ© qui rappellent les vieux groupes et que tu as grandie avec ce style de musique depuis toute On va bien s'entendre lĂ -dessus. Je suis certain qu'on a plein de trucs Ă  se faire sourire franc que tu me renvoies me confortes dans l'idĂ©e que nous allons en effet, assurĂ©ment nous entendre toi et moi. Je repense Ă  tes fameux feutres et agis alors sur un coup de tĂȘte en exĂ©cutant un demi-tour, arguant que tu avais vraiment l'air d'y tenir et qu'on va tenter de remettre la main dessus. "Heu ouai. En fait pour pouvoir me les payer j'aurais dĂ» vendre un de mes reins au marchĂ© noir! C'est pour te donner une idĂ©e. Mais c'est vraiment du trĂšs bon matos." - T'es jamais dans l'exagĂ©ration toi ..., soulignais-je sur le ton de l'amusement. Mais tu as l'air sĂ©rieuse en Ă©voquant qu'il s'agit de bon matĂ©riel. Et je suppose alors que tu dois faire du dessin ou un truc du genre. Le carnet usĂ© qu'il y avait dans ton sac doit receler j'imagine, quelques-unes de tes Ɠuvres. Il faudra que je vois ça. Nous retrouvons Ă  peu prĂšs l'endroit en question grĂące Ă  un arbre plantĂ© en solitaire dans la zone oĂč j'ai balancĂ© ton butin plus tĂŽt. Cependant, arrivĂ©s sur place, je joue les petits cons en te laissant chercher toute seule, avançant que j'ai dĂ©jĂ  fait une bonne partie du job en concĂ©dant Ă  revenir sur nos pas pour te laisser une chance de remettre la main dessus. Ce qui me permet moi, de te mater outrageusement durant ta me mets Ă  rire de moi-mĂȘme Ă  abuser de la sorte. Et tu m'interpelles alors."Quoi? Pourquoi tu te moques de moi comme ça!?" - Oh rien ... restais-je Ă©vasif pendant que je subis une attaque toute mignonne de ta part, recevant quelques brins d'herbes sur la tronche et les Ă©paules. Je souffle sur l'un d’eux Ă©garĂ© en travers de mon visage puis me passe une main dans les cheveux pour virer ceux Ă©garĂ©s Tu m'as pris pour un putain de nid ?!Quoi qu'il en soit, tu relĂšves que j'ai eu la berlue et qu'il n'y a pas le moindre stylo dans la zone dĂ©signĂ©e. Mon sourire s'Ă©largit, plein de malice. Ton soupir me fend presque le cƓur."Tant pis, je vais devoir risquer une nouvelle fois ma vie pour aller en chourer d'autres. T'en fait pas, je ne t'en voudrais presque pas quand je serais derriĂšre les barreaux! Parce que je ne pense pas que quelqu'un veuille me prendre en stop pendant que je serais en train de fuir Roger le Vigile. Ça sera de ta faute mais promis, j'essaierai de pas trop t'en vouloir." dĂ©clares-tu en m'adressant un clin d’Ɠil ne rĂ©plique pas tout de suite et monte Ă  mon tour dans la Allez va, c'est moi qui prendrais le risque le prochain coup, esquissais-je sans en dire reprenons le chemin du lac, chantant bientĂŽt Ă  tue-tĂȘte lorsque nous bifurquons sur un chemin Ă  travers bois."Hummmmm laisse moi deviner! T'es une sorte de tueur en sĂ©rie et lĂ , tu vas amener la pauvre fille dans ton repĂšre pour pouvoir la trucider Ă  l'abri des regards??" dĂ©clares-tu alors que jusqu'ici, tu n'avais formulĂ© encore aucune interrogation concernant notre Ne jamais chercher Ă  trop en savoir, ça gĂąche la surprise ... lĂąchais-je en roulant des yeux alors que le but final de notre destination ne tarde pas Ă  se prĂ©senter. Tu t'exclames avec enthousiasme en dĂ©couvrant le dĂ©cor."C'est magique ici!" Ton regard brille d'Ă©motions et tu bondis hors du vĂ©hicule une fois arrĂȘtĂ©s, lĂąchant ton sac pour te poster bras Ă©cartĂ©s comme pour mieux t'emplir les poumons d'air pur. Le soleil rĂ©vĂšle quelques Ă©clats d'or sur ta peau hĂąlĂ©e et je m'efforce de ne pas rester plantĂ© lĂ , complĂštement sous le charme. Je prends alors la direction du ponton, quittant mes pompes pour pouvoir tremper les pieds dans l'eau. Le dĂ©cor grandiose capte tout mon intĂ©rĂȘt. Tu me rejoins bientĂŽt et t’assois Ă  cĂŽtĂ© de moi. Je choppe un nouveau bonbon dans le paquet entre Dis-moi, t'es d'ici ? Moi je viens tout juste d'arriver. Je viens d'Arizona, lançais-je la bouche pleine."Nan je suis pas d'ici je viens de Montrose c'est Ă  environs 3h30 d'ici. Je viens d'arriver pour rencontrer des membres de ma famille que je connaissais pas. Et toi? Pourquoi tu es ici?" - Montrose, joli nom. Ah ouais ? Les rencontrer ? relevais-je, un brin Ă©tonnĂ©. Comment ça ? C'est qui pour toi ?Je rĂ©ponds dans la foulĂ©e Ă  ton interrogation et t'apprends alors que c'est compliquĂ©. Enfin pas tant que ça en Mon vieux est ... j'hĂ©site sur inventer un bobard ou ĂȘtre franc. Finalement, je tourne un regard vers toi et me dĂ©cide, lĂąchant un soupir. Il est en taule. Du coup, j'ai atterris chez mon me voir dĂ©vorer les bonbecs de la sorte, tu m'adresses bientĂŽt un regard de ChapeautĂ©, rĂ©clamant alors "Donne m'en un teuplait." - Donne m'en un steuplaĂźt ... t'imitais-je en minaudant d'une voix toute mignonne. Nos regards se croisent plus longuement et je finis alors par te tendre le paquet pour t'inviter Ă  te servir autant que tu veux. Bon sang, ce regard ! Bon Murph' arrĂȘte de loucher sur ses lĂšvres Ă  la fin ! me collais-je une gifle mentale pour m'inciter Ă  dĂ©crocher de ma contemplation."Tu viens souvent ici? Je veux dire, au lac." - Ouais depuis mon arrivĂ©e, j'aime bien venir squatter lĂ  tranquillou les aprĂšs-midi. J'explore les coins aux alentours de la ville, y'a des endroits manque de dire un peu moins le soir cependant autour du lac par rapport Ă  ce qui s'est passĂ© dans le coin derniĂšrement. Pas que je sois flippĂ© mais voilĂ , l'autre vieux m'incite Ă  Ă©viter le coin la nuit et il est d'autant plus regardant selon, mĂȘme si ça ne m'empĂȘche pas de venir trainer parfois dans le coin en douce. - Tu sais qu'il y a eu un meurtre dans le coin ? Un truc bien glauque, me dĂ©cale un instant pour m'Ă©tendre sur le dos et caler ma nuque contre tes cuisses comme si c'Ă©tait un coussin. Je lance un bonbon en l'air et le loupe, pouffant alors de rire, avant de refaire une tentative cette fois-ci Dis-moi, tu es de quelle origine ? soulignais-je mes propos en glissant le dos de la main en une brĂšve caresse contre le haut de ton bras comme pour relever le hĂąle de ta sac est Ă  portĂ©e de main et un peu plus tard, j'y glisse distraitement une main sans me faire repĂ©rer tandis que tu as le regard ailleurs un instant, pour m'emparer du carnet qui avait attirĂ© mon attention plus tĂŽt durant le Tu permets ? dis-je en agitant ma prise sous ton nez au risque que tu ne me le reprennes et me prive de cette 2981 12289 0 Ama WilliamsO Be Careful Little Eyes‱ Emploi Etudiante ‱ Âge 20 ans ‱ Vit Ă  RĂ©serve Cheyenne ‱ Messages 525 ‱ Avatar Mimi Elashiry ‱ Inscrit 02/07/2019 Re Le clou qui dĂ©passe appelle toujours le marteau [Cole] Mar 16 Juil - 2003 Runnnnnnnnn!!!!! Oui ils allaient bien s'entendre. C'Ă©tait une certitude. C'Ă©tait comme si le ciel s'Ă©tait penchĂ© sur ces deux Ăąmes au chemin de vie si diffĂ©rent pour les rassembler, leur accorder le cadeau de faire croiser leur pas de maniĂšre si saugrenue. Un Ă©vĂšnement, une dĂ©cision, un enchaĂźnement de petites choses avait permis Ă  ces deux gamins de se trouver et de marcher ensemble. Ama savait assez bien cerner les gens...suffisamment pour laisser un parfait inconnu la mener lĂ  oĂč il le souhaitait, dans cet endroit reculĂ©, ce petit bout de terre magique et magnifique mais complĂštement isolĂ© de tout. Bien que pouvant parfaitement se tromper, Ama sentait au plus profond de ses entrailles, qu'elle n'avait rien Ă  craindre de Cole. Loin d'ĂȘtre une parfaite et de ne jamais faire d'erreur, la jeune femme ne se trompait que rarement sur ceux qui l'entouraient. C'Ă©tait cette mĂȘme sensibilitĂ© exacerbĂ©e et instinctive qui lui permettait de comprendre et se faire comprendre des bĂȘtes. Ils avaient fait route vers le lac aux eaux presque turquoises rappelant les eaux de l'Ăźle de Tulum dans le Yucatan qu'Ama rĂȘvait de voir un jour. Cole ou Murph' -Ama ne s'Ă©tait pas encore tout Ă  fait dĂ©cidĂ© sur comment elle l'appellerait- avait bien fait de ne rien dĂ©voiler sur leur destination. Et s'il y avait bien quelque chose qui pouvait faire plaisir Ă  la petite "gueule d'ange" comme se plaisait Ă  la surnommer le jeune homme, c'Ă©tait ce genre de surprise. Pas besoin d'argent, pas besoin de se saigner aux quatre veines pour lui faire plaisir. Ce genre de spectacle qu'offrait la nature comme un "crie de vie" Ă©tait suffisant pour la jeune femme. OubliĂ©s les stylos qui Ă©taient en soit, bassement matĂ©riel. "C'est...hummmmm j'en ai des frissons partout! C'est super ici." RĂ©pĂ©tait la jeune femme sans de lasser par le spectacle que leur offrait cette Ă©tendu de nature vierge pour le moment, de toute prĂ©sence. Les habitants de la rĂ©gions se rendaient-ils compte de la chance qu'ils avaient de pouvoir vivre si prĂšs de ce "temple naturel"? Probablement que non Ă  en juger par le peu de frĂ©quentation. Ils Ă©taient seuls au monde. Seuls avec pour seuls tĂ©moins ces gĂ©antes montagnes, cette eau paisible et la faune locale. On ne pouvait que s'incliner devant ces merveilles. Venant tremper ses pieds dans l'eau, Ama grimaça un peu, c'Ă©tait trĂšs froid. Probablement que ce lac avait Ă©tĂ© formĂ© par les eaux provenant de la fonte des neiges sur les pics plus loin. "Montrose, joli nom. Ah ouais ? Les rencontrer ? Comment ça ? C'est qui pour toi ?" Ama inclina lĂ©gĂšrement la tĂȘte avant de regarder un peu au loin. "Ouaip c'est un joli nom pour une jolie ville." Mais Ama n'aimait pas trop cette ville rongĂ©e par le chĂŽmage et la pauvretĂ©. Cependant, elle prĂ©fĂ©ra ne pas s'Ă©pancher sur ces dĂ©tails sans intĂ©rĂȘt. "Je suis venu rencontrer mon grand frĂšre et ma grande soeur. Enfin...plutĂŽt demi frĂšre et soeur. On a pas le mĂȘme pĂšre. Ils vivent Ă  la rĂ©serve de Longford, j'habite lĂ -bas pour l'instant. Hum...c'est un peu compliquĂ©, on ne c'est jamais vu avant. Mais je suis venue remĂ©dier Ă  ça!" Oui. Elle avait dĂ©cidĂ© de son propre chef de dĂ©barquer dans la vie de ses aĂźnĂ©s sans prĂ©venir et chambouler un peu leur vie. Etait-ce un dĂ©sir Ă©goĂŻste? Probablement. Mais comme le poisson avait besoin d'eau pour respirer, elle, elle avait besoin de sa famille pour vivre...de toute sa famille Ă©tait diffĂ©rente, chaque famille avait ses parts d'ombres, ses secrets inavouables, ses difficultĂ©s. Et Cole ne semblait pas faire exception Ă  la rĂšgle. Bien peu nombreuses Ă©taient les lignĂ©es n'ayant souffert d'aucun tumulte. Le jeune homme hĂ©sita un moment avant de lui rĂ©vĂ©ler la raison de sa prĂ©sence ici. Et Ă  juste titre. Qui voulait se vanter d'avoir un parent derriĂšre les barreaux...cela faisait partie de ces secrets appartenant Ă  la case "honteux". Par respect, Ama ne chercha pas Ă  connaĂźtre la raison pour laquelle son pĂšre avait Ă©tĂ© privĂ© de libertĂ©. Et sa mĂšre? Cette question, brulaient les lĂšvres de la jolie brune nĂ©anmoins lĂ  aussi, elle ne posa pas de question. S'il avait atterri chez son oncle, c'est qu'il n'en avait peut-ĂȘtre pas ou plus? Ou bien qu'elle Ă©tait aux abonnĂ©s absent? Tout du moins c'est ce qu'elle en avait dĂ©duit dans sa petite tĂȘte. Sa transformation en ChapeautĂ© avait portĂ© ses fruits! Son acolyte lui tendait le paquet de friandises! Victoire! Elle lui donna une petite tape sur l'Ă©paule lorsque ce dernier l'imitait en miaulant comme elle venait de le faire. "Merci!" S'exclamait-elle, pouvant enfin succomber Ă  son pĂ©cher mignon sans qu'on essai de lui mordre la main. "Et tu m'imites super mal. Ton oeil n'est pas assez larmoyant." Ricanait-elle, plaisantant avant de redevenir sĂ©rieuse et ajouter " Merci pour ta franchise. Je veux dire...que t'aurais bien pu me raconter des craques et tu l'as pas fait. Tu te plais ici?" De ça, Ama lui en Ă©tait reconnaissante. Ils pouvaient partir sur la base d'une certaine confiance. MalgrĂ© la pointe d'hĂ©sitation qu'il avait pu avoir, Murph' avait prĂ©fĂ©rĂ© jouer la carte de la franchise. "Ouais depuis mon arrivĂ©e, j'aime bien venir squatter lĂ  tranquillou les aprĂšs-midi. J'explore les coins aux alentours de la ville, y'a des endroits fabuleux." Lui avoua Cole. Ama piocha dans le paquet et grignota le bout du bonbon qu'elle venait de choisir tout en Ă©coutant attentivement ce que lui disait le jeune homme. "Et...tu voudrais bien me les montrer ces endroits? Enfin si tu veux et que t'as un peu de temps." Se risqua t-elle a demander. Elle Ă©tait curieuse ça c'Ă©tait certain et sans doute qu'Ama serait revenue seule pour explorer les lieux mais elle prĂ©fĂ©rait le faire avec Cole car elle l'aimait bien et voulait le revoir, passer plus de temps avec lui, apprendre Ă  le connaĂźtre. "Tu sais qu'il y a eu un meurtre dans le coin ? Un truc bien glauque." Cette nouvelle interpela Ama. Quoi? Un meurtre ici? Dans cet endroit paradisiaque? Assez surprise par cette rĂ©vĂ©lation soudaine, elle ne rĂ©agit pas quand Cole dĂ©cida d'installer sa tĂȘte sur ses genoux. Tranquillement, comme s'ils Ă©taient de vieilles connaissance. "T'es pas sĂ©rieux! Un meurtre? Wouaw ça fait froid dans le dos. Raconte!" Demanda la jeune femme en sentant une boule dĂ©sagrĂ©able se former au fond de son ventre. Et puis c'est alors qu'elle rĂ©alisa que le jeune homme avait migrĂ© tranquillement contre ses cuisses. "Heu ça va? T'es bien installĂ©?" Railla Ama cependant elle ne le vira pas pour autant. Elle ne dĂ©gagea pas mĂȘme son bras lorsque Cole caressa briĂšvement ce dernier, tandis qu'il la questionna sur ses origines. "J'suis hawaĂŻenne par ma mĂšre et mon pĂšre est amĂ©ricain." C'est d'elle qu'elle tenait cette jolie peau hĂąlĂ©e ainsi que ses jolies yeux bleus. Son corps entier se crispa lorsque Cole saisit son carnet de dessin. D'ordinaire, elle ne laissait personne y toucher, pas mĂȘme sa mĂšre dont elle Ă©tait relativement proche. Ama n'avait que deux secrets dans sa vie, son carnet qui Ă©tait son petit jardin personnel oĂč elle laissait libre court Ă  son imagination et son second secret, sans doute le plus important...son don. Ama hĂ©sita, regardant alternativement son carnet entre les mains du jeune homme et le jeune homme en question. "...Ok vas-y tu peux l'ouvrir." Elle avait le coeur qui battait un peu plus fort que tout Ă  l'heure. "Tu m'as dis un truc vachement perso' tout Ă  l'heure alors...j'imagine que ouai, tu peux te permettre. T'es la premiĂšre personne que je laisse regarder Ă  l'intĂ©rieur." Murmura t'elle un peu intimidĂ©e. Elle le regarda faire, observer le contenu du carnet. Ses croquis au crayon SpoilerEt quelques autres de ses crĂ©ations SpoilerTandis qu'elle le laissait regarder ce qu'il voulait, elle en profita pour laisser trainer ses deux prunelles ocĂ©an vers Cole, Ă©vitant de trop bouger. Elle approcha une de ses mains prĂšs de sa chevelure dorĂ©e et plongea ses doigts dedans pour en extraire quelques bruns d'herbes avec douceur "T'avais encore des touffes vertes dans les cheveux ahah je t'ai pas ratĂ©! AĂŻe par contre tu m'Ă©crases attend." Elle plaça ses deux mains derriĂšre sa tĂȘte comme s'il s'agissait d'un mannequin dĂ©sarticulĂ© et plaça un peu mieux ses petites cuisses sous sa tĂȘte. "Bon alors! T'as pu faire des connaissances depuis que t'es ici? Y'a des endroits pour s'amuser? Faire la fĂȘte?" Ah oui, Ama Ă©tait une fĂȘtarde. Elle adorait danser, s'amuser se dĂ©hancher sur des sons endiablĂ©s. "Ah au fait, passe-moi ton tĂ©lĂ©phone steuplais!" codage par Laxy Dunbar. InvitĂ©InvitĂ© Re Le clou qui dĂ©passe appelle toujours le marteau [Cole] Jeu 18 Juil - 616 Ama + Cole Le clou qui dĂ©passe appelle toujours le marteau. » Tu m'apprends que tu es venue Ă  la rencontre de ton demi frĂšre et ta demi sƓur du cĂŽtĂ© de ta mĂšre. D'ailleurs je me demande vu la rĂ©fĂ©rence Ă  la RĂ©serve si tu es amĂ©rindienne mais c'est une question que je rĂ©serve pour plus tard. Je souligne que ta manƓuvre est tout Ă  ton honneur. Toutefois, en parlant famille, c'est un sujet sur lequel tu me retournes la question et je me montre alors honnĂȘte lorsque tu cherches Ă  en savoir plus sur les raisons de ma prĂ©sence ici. Mon regard se porte un instant sur le ciel puis tu attires bientĂŽt mon attention avec ton regard de ChapeautĂ©, lequel je tente d'imiter avant de concĂ©der Ă  te laisser te servir dans le paquet."Et tu m'imites super mal. Ton Ɠil n'est pas assez larmoyant." J'esquisse alors une petite moue en arrondissant mes poings que je place aux commissures de ma bouche. Un rire m'Ă©chappe Ă  ton sourire puis tu dĂ©clares quelque chose qui me touche et m'indique que j'ai bien fais de me montrer honnĂȘte avec toi au sujet de mon pĂšre. " Merci pour ta franchise. Je veux dire...que t'aurais bien pu me raconter des craques et tu l'as pas fait. Tu te plais ici?" - Qu'est-ce que je ne ferais pas pour tes beaux yeux, plaisantais-je pour disperser le trouble comme si c'Ă©tait lĂ  un argument valorisant de dĂ©river le truc ainsi. J'acquiesce cependant lorsque tu me demandes si je me plais ici et rĂ©vĂšle que ouais ça commence Ă  vraiment me plaire, sous-entendais-je depuis notre jolie t'Ă©voque comment j'ai dĂ©couvert le coin et comment je m'emploie Ă  explorer les alentours Ă©tant donnĂ© mon attrait pour la nature environnante."Et...tu voudrais bien me les montrer ces endroits? Enfin si tu veux et que t'as un peu de temps." - Boarf ... j'en sais rien ... fis-je mine de douter. Qui a envie de se trainer une frimousse comme toi dans les pattes ?J'argue d'ailleurs sans relever que je te taquine et que ça me botterait bien aussi, qu'il y a eu un meurtre dans le coin. Un truc aussi glauque qu'Ă©laborĂ©. Je me cale d'ailleurs dans une autre position en m'Ă©tendant sur le dos et en posant ma tĂȘte sur tes cuisses. Ta peau est chaude et rĂ©vĂšle un dĂ©licieux parfum lactĂ©. Je ferme un instant les yeux comme pour m'en enivrer en inspirant doucement. Cependant, ta surprise en Ă©voquant le meurtre me sors de cet instant de bien-ĂȘtre. Aussi, je te raconte alors ce que j'ai entendu et eu l'occasion de lire dans les journaux. On y Ă©voque lĂ  l’Ɠuvre d'un esprit dĂ©rangĂ© personnalisĂ©e par l'image de ce qui ressemble Ă  un totem plein de symbolique sur lesquelles l'enquĂȘte se concentre. - La victime Ă©tait une femme d'ici. Burton ... son prĂ©nom je ne sais plus. Emily ? Amy ? Un truc comme ça. En tout cas, ça remue toute la chant des oiseaux peuple l'endroit ainsi que le lĂ©ger clapotis de l'eau entre les poissons qui remontent Ă  la surface ou les insectes qui s'y posent et les mouvements de tes pieds."Heu ça va? T'es bien installĂ©?" ironises-tu bientĂŽt Ă  me voir ainsi prendre mes aises en me calant un peu plus haut et confortablement en prenant tes cuisses pour un coussin. - Impeccable ! relevais-je tout sourire en basculant la tĂȘte un peu plus en arriĂšre pour mieux contempler ton visage depuis ma position. Je t'observe un instant et glisse le dos de la main contre ton bras en t'en demandant plus sur tes origines."J'suis hawaĂŻenne par ma mĂšre et mon pĂšre est amĂ©ricain." - Ah bon sang ... une hawaĂŻenne, de quoi m'Ă©moustiller direct, dis-je en faisant style d'ĂȘtre parcouru d'un frisson en me la jouant faussement graveleux mĂȘme si tes origines opĂšrent de leur charme exotique sur peu plus tard, je requiĂšre ton attention en attrapant discrĂštement ton carnet Ă  croquis, te demandant la permission d'y jeter un oeil. J'aurais pu user de mon culot habituel et zieuter sans rien demander mais il m'a semblĂ© important de te montrer cette marque Ă©vidente de respect envers ce qu'il recelle comme trĂ©sors, comme si je devinais que ceci contient une part intime de toi, de tes secrets et de ce que tu es, de ce dont tu rĂȘves ...et de tout ce qui peux habiter ton regard passe de moi Ă  ton canret et ainsi de suite Ă  plusieurs reprises, tu sembles en proie Ă  une rĂ©elle hĂ©sitation qui rĂ©vĂšle l'importance qu'a son contenu pour toi. Aussi, lorsque tu accĂšdes Ă  ma requĂȘte, je me sens rĂ©ellement honorĂ© et c'est avec Ă©motion et dĂ©licatesse que j'ouvre alors parcoure avec attention chaque oeuvre, m'attardant sur chacune avec un regard Ă©merveillĂ©. - Bon sang, je ne m'attendais pas Ă  ça. Je suis soufflĂ©, dĂ©clarais-je dans un murmure emprunt de tout le respect et l'admiration que m'inspirent tes dessins. Ils sont tellement rĂ©alistes, ils interpellent tant ils semblent "vivants".Je referme le carnet avec soin et le glisse Ă  nouveau dans ton sac comme s'il s'agissait d'un bien Ă  ne surtout pas abimer. Tu as entre temps plongĂ© les doigts dans mes cheveux et en retire prĂ©sentement quelques brins d'herbe. "T'avais encore des touffes vertes dans les cheveux ahah je t'ai pas ratĂ©! AĂŻe par contre tu m'Ă©crases attend."J'esquisse un sourire et tandis que tu remues un peu pour mieux nous positionner, je ferme Ă  nouveau les yeux, m'ennivrant du parfum de ta peau qui m'emporte Ă  nouveau."Bon alors! T'as pu faire des connaissances depuis que t'es ici? Y'a des endroits pour s'amuser? Faire la fĂȘte?" - Yep ! Au dĂ©part, je suis arrivĂ© lĂ , j'avais envie de me flinguer ... et puis au bout d'Ă  peine deux jours, je suis allĂ© faire un tour. J'ai atterris dans une fĂȘte en me tapant l'incruste. ref rp avec Roberta Je me suis fait un pote Ă  peine arrivĂ©, le mec m'a alpaguĂ© comme si on Ă©taient copains comme cochons depuis perpete. Effet boule de neige du coup, ça a Ă©tĂ© facile de faire quelques connaissances qui m'ont parlĂ© d'autres fĂȘtes et invitĂ©. Ils ne font que ça chaque foutu jour de la semaine. Je crois qu'il n'y a pas un soir sans qu'une teuf soit organisĂ©e dans le coin. En trois-quatre jours j'avais dĂ©jĂ  mon petit rĂ©seau. T'as envie de venir faire la teuf avec moi baby ? lançais-je en t'adressant un regard, faisant remuer mes sourcils en jouant les charmeurs de base."Ah au fait, passe-moi ton tĂ©lĂ©phone steuplais!"- Tout de suite Sir ! lĂąchais-je en une parodie de garde Ă  vous, esquissant un salut militaire avant de m'arquer en arriĂšre pour chopper mon tĂ©lĂ©phone dans la poche arriĂšre de mon fute. Je te dicte mon numĂ©ro puis attends que tu m'envoies un message ou fasse sonner pour enregistrer le tien. J'en profite pour prendre un clichĂ© de toi en Tu sais quoi ? dis-je en me redressant en position assise, y'a une fĂȘte ce soir, dans une putain de baraque du quartier bourge si je me plante pas. Y'a mĂȘme une piscine. Je passe te chercher vers 21 h et on y va ! proposais-je. Nous nous relevons et en discutons. Bon en mĂȘme temps je ne te laisse pas le choix, t'es obligĂ©e de venir quitte Ă  ce que je doive t'enlever. Nous remontons bientĂŽt en voiture et je te ramĂšne ainsi jusqu'Ă  l'endroit oĂč tu crĂšches. Toutefois, tu m'invites Ă  ne pas me garer directement devant la maison une fois entrĂ© sur le domaine de la RĂ©serve. Et je m'arrĂȘte alors Ă  quelques centaines de mĂštres sur le chemin y menant. J'aperçois tout de mĂȘme la maison en question. L'endroit est superbe. Alors que tu descends, je t'interpelle par la vitre Tenue hot exigĂ©e, frimousse ! Enfin pas trop non plus, j'veux pas avoir le regard rivĂ© sur tes fesses H24 ! dis-je pour signifier que j'veux pas avoir Ă  surveiller chaque putain de gonze mec en chaleur qui te mattera. Sauf qu'en fait ça parait tendancieux et que ça prĂȘte plutĂŽt Ă  sous entendre que c'est mon regard Ă  moi qui risque de ne pas 2981 12289 0 Ama WilliamsO Be Careful Little Eyes‱ Emploi Etudiante ‱ Âge 20 ans ‱ Vit Ă  RĂ©serve Cheyenne ‱ Messages 525 ‱ Avatar Mimi Elashiry ‱ Inscrit 02/07/2019 Re Le clou qui dĂ©passe appelle toujours le marteau [Cole] Jeu 18 Juil - 1612 Party Time!! Si Ama avait Ă©tĂ© jusque lĂ  assez joyeuse, son sourire s'affaissa pour se transformer en une mine presque dĂ©confite lorsque le jeune homme lui parla du meurtre qui avait fait la une des journaux locaux. Ses pensĂ©es se dirigĂšrent toutes vers la famille de la victime ainsi que vers la victime elle-mĂȘme. DĂ©gainant son portable et allumant internet, elle pianota rapidement "meurtre + Amy + Longford" et elle tomba sur un petit article un peu trop dĂ©taillĂ© Ă  son goĂ»t du meurtre ignoble qui avait eu lieu. Bon sang! Mais comment pouvait-on faire une chose aussi horrible? Son corps ne parvint pas Ă  rĂ©primer un frisson d'angoisse et de dĂ©goĂ»t. "God...mais comment peut-on faire une chose pareille? Ca dit Le corps de la jeune Amy Burton a Ă©tĂ© retrouvĂ© blablabla...mise en scĂšne macabre le cadavre de la victime a Ă©tĂ© utilisĂ© pour former une structure en forme de totem...accompagnĂ© de carcasses d'animaux sauvages." La gorge de la jeune femme se serra soudainement puis elle prĂ©fĂ©ra fermer complĂštement internet pour ne pas en lire plus. Elle se fit violence pour ne pas paraĂźtre trop affectĂ©e par ce qu'elle venait de lire. Car Ama Ă©tait sensible, encore plus lorsque cela touchait les animaux qu'elle affectionnaient particuliĂšrement. "J'espĂšre qu'ils retrouveront cette pourriture et qu'il crĂšvera en prison. Ou non! Qu'il tombe sur un veggan extrĂ©miste qui lui trouera la peau avec une petite cuillĂšre une fois en taule! Moi qui croyait avoir dĂ©barquĂ© dans un patelin tranquille..." Moui, Ama Ă©tait un ange mais elle Ă©tait aussi capable de souhaiter tout le mal du monde Ă  ceux qu'elle dĂ©testait. C'Ă©tait son cĂŽtĂ© diablesse qu'elle ne montrait pas beaucoup. Heureusement, Cole changea de sujet de discussion pour basculer sur ses origines. Le voir faire le clown lui redonna le sourire et elle lui adresse une petite pichenette sur l'Ă©paule la plus proche. "Hummm alors fait gaffe Ă  toi, les hawaĂŻennes ont un sacrĂ© caractĂšre, tu risques d'y laisser quelques plumes." Plaisantait-elle Ă  moitiĂ©. Oui qu'a moitiĂ© car, toutes les hawaĂŻennes et mĂȘme les hawaĂŻens qu'elle connaissait possĂ©daient un tempĂ©rament tout feu tout flamme. Il n'y avait qu'Ă  voir sa propre mĂšre, son frĂšre et elle supposait que sa soeur aussi devait ĂȘtre pareille Ă  en juger par la façon dont Ren avait surnommĂ© Cheyenne "La louve". Souriants, accueillant mais possĂ©dant un caractĂšre sauvage, indomptable voir guerrier."Bon sang, je ne m'attendais pas Ă  ça. Je suis soufflĂ©. Ils sont tellement rĂ©alistes, ils interpellent tant ils semblent "vivants"." S'Ă©tonnait Cole en regardant ses dessins. Cela lui arracha un sourire crispĂ© cette fois. Ses petite joues prirent une petite teinte rosĂ©e tant elle Ă©tait gĂȘnĂ©e. S'ils semblaient presque vivants, c'Ă©tait parce qu'Ama possĂ©dait une sensibilitĂ© exacerbĂ©e, parfois Ă  la limite du supportable. Cette mĂȘme sensibilitĂ© qui faisait qu'elle avait le coeur qui se brisait aussi facilement qu'une fine pellicule de glace sur un lac. C'Ă©tait cette mĂȘme sensibilitĂ© exacerbĂ©e qui la faisait s'Ă©merveiller pour des broutilles et qui la poussait Ă  vivre Ă  200 Ă  l'heure comme s'il n'y avait pas de lendemain. Bredouillant un "Merci. Heu si tu aimes tant que ça mes dessins, j'ai un compte Instagram oĂč je poste rĂ©guliĂšrement des trucs. Tu le trouveras sous le nom Sweet Dreams si tu veux y jeter un coup d'oeil." Elle retrouva son calme lorsque son carnet fut de nouveau rangĂ©. Ama regarda le jeune un moment fermer les yeux. Il semblait profiter de quelque chose, peut-ĂȘtre d'un petit moment de paix? Un doux sourire Ă©tira ses lĂšvres. Il Ă©tait...adorable? NĂ©anmoins, ce petit moment de calme se brisa lorsque la jeune femme demanda oĂč est-ce qu'il Ă©tait possible de s'amuser. Cole lui rĂ©vĂ©la qu'en fait, bah il y avait des fĂȘtes chaque soir, chez des personnes diffĂ©rentes. "Wouah carrĂ©ment que j'veux venir faire la fĂȘte! J'adore danser! Merciiiiiiiiii" Sautillait-elle presque sur place. "Qui aurait cru que les jeunes d'ici aimaient autant faire la fĂȘte! Cette ville est dĂ©finitivement faite pour moi! Tss dire que ma mĂšre ne voulait pas que je vienne! Rahhh j'ai hĂąte!" Chantonnait-elle en battant des cils façon oeil de biche pour rĂ©pondre au -Baby- de Cole. Visiblement, une fĂȘte avait lieu le soir mĂȘme et dans une superbe maison. Il n'en fallait pas plus Ă  Ama. Elle accepta de suite la proposition du blond aprĂšs avoir entrĂ© son numĂ©ro dans le portable de son nouvel ami. "VoilĂ ! Comme ça tu pourras me joindre quand tu veux!" Les deux jeunes gens remontĂšrent ensuite en voiture, direction la rĂ©serve. Dans sa tĂȘte, Ama Ă©tait dĂ©jĂ  en train de songer Ă  la tenue qu'elle allait porter. Une fois arrivĂ©e Ă  la RĂ©serve, la jeune femme demanda Ă  Cole de ne pas se garer devant la maison de son frĂšre. Elle ne voulait pas qu'on lui pose de questions, ni inquiĂ©ter Draven qui Ă©tait dĂ©jĂ  suffisamment tendu. Quittant le vĂ©hicule, Ama s'accouda un peu Ă  la fenĂȘtre cĂŽtĂ© conducteur, souriant de façon machiavĂ©lique Ă  la requĂȘte de se dernier. "Hummm chui pas certaine de pouvoir te le promettre. Mais t'en fait pas, je suis pas ce genre de nana Ă  s'habiller style -youhouuuuu j'ai les ovaires au bord des yeuxxxx!-" Sous entendu, qu'elle n'en faisait jamais trop, prĂ©fĂ©rant la subtilitĂ© Ă  la vulgaritĂ©. Pas besoin d'ĂȘtre Ă  moitiĂ© Ă  poil pour ĂȘtre sexy. "A tout Ă  l'heure et soit pas en retard." PrĂ©vint t'elle aprĂšs avoir adressĂ© un clin d'oeil Ă  Cole avant de tourner les talons pour rentrer chez son frĂšre. ________ ☟ ________Ama avait passĂ© une fin d'aprĂšs-midi horrible. Une vĂ©ritable catastrophe. La gamine avait rencontrĂ© Cheyenne et...les choses c'Ă©taient trĂšs mal passĂ©es. Comment pouvait-il en ĂȘtre autrement? Mais Ama avait tenu bon, souhaitant de tout son coeur qu'elle finisse par accepter son existence. C'est le coeur lourd, trĂšs lourd mĂȘme, que la petite monta dans sa chambre pour s'y enfermer, demandant Ă  son frĂšre de la laisser tranquille, qu'elle avait besoin de se reposer. En fait, c'Ă©tait pour mieux s'Ă©clipser sans ĂȘtre dĂ©rangĂ©. Ama avait pris une douche et avait mĂ©ditĂ© sur sa tenue. Elle pour une petite robe bordeaux Ă  manches longues mais courtes, arrivant un peu au dessus des genoux, soulignant sa tailles et autres courbes de son corps. Elle avait nouĂ© nĂ©gligemment ses longs cheveux en un chignon brouillon qui laissait quelques mĂšches s'Ă©chapper. S'observant devant un grand miroir, Ama se maquilla ensuite. Liner pour un regard de biche, fars Ă  paupiĂšres, mascara et un peu de fars Ă  joues, baume Ă  lĂšvres et c'Ă©tait tout. Elle ressemblait Ă  une petite poupĂ©e. Appliquant son eau de parfum fruitĂ© par petites touches, elle choppa ensuite une paire de bottines Ă  talons aiguille noirs qu'elle n'enfila pas tout de suite. Lorsque Cole arriva et se gara Ă  l'endroit indiquĂ©, elle passa la main par la fenĂȘtre pour qu'il la voit et lui jeta son sac. Dans son lit, elle entassa quelques oreillers pour qu'il y ait l'air d'y avoir quelqu'un sous la couette. Passant par la fenĂȘtre et glissant sur les tuiles prudemment, la belle s'agrippa Ă  une gouttiĂšre et escalada avec une agilitĂ© dĂ©concertante jusqu'Ă  se retrouver sur le plancher des vaches. LĂ  seulement, Ama enfila ses talons et ses bagues, achevant complĂštement sa transformation pour la soirĂ©e. Marchant avec Ă©lĂ©gance, faisant claquer ses talons sur le sol, Ama rejoignit son cavalier du soir, rĂ©cupĂ©rant son sac. "Alors? C'est suffisamment -hot mais pas trop non plus- pour toi ?" Demanda la jeune femme, une pointe de malice dans les yeux en tournant sur elle-mĂȘme pour que le jury donne son avis. C'est alors qu'elle vit une lumiĂšre sous le porche d'une maison s'allumer! Sans attendre, elle saisit Cole par la main pour l'emmener derriĂšre un tronc d'arbre immense contre lequel elle le plaqua, ainsi qu'elle-mĂȘme pour que personne ne les voient. Elle avait le sourire jusqu'aux oreilles, observant si le voisin avait sortir oĂč pas. "J'ai l'impression d'ĂȘtre une fugitive, sans dĂ©conner les gens sont trop des commĂšres ici. Bon...a trois on court dans la voiture...1...3!" Bondissant tel un diable sortant de sa boite, la jeune femme alla dans la voiture, attendant que Cole la rejoigne. Elle avait l'intention de s'amuser ce soir et Ă©tait particuliĂšrement heureuse de pouvoir passer la soirĂ©e avec quelqu'un qu'elle apprĂ©ciait. Une fois arrivĂ©s sur les lieux, Ama resta bouche-bĂ©e devant la baraque qui s'offrait Ă  eux. Heuuuu nan ça c'Ă©tait pas une maison, c'Ă©tait un chĂąteau! La musique s'entendait de l'extĂ©rieur et il semblait y avoir du monde. Ama entra la premiĂšre, elle entendit un gars interpeler Murph' mais n'y prĂȘta pas tout de suite attention. "Salut mon pote c'est cool de t'voir ici!" Puis il se pencha Ă  son oreille et demanda "J'vois que t'es pas venu seul mon salaud...c'est qui cet avion d'chasse tu m'prĂ©sente??" Demanda t-il goguenard. Ama revint sur ses pas auprĂšs de Cole, ignorant les regards interrogateurs qui scrutaient les nouveaux par Laxy ☟ ________Sea may rise, Sky may fall, my love will never die©Laxy dunbar InvitĂ©InvitĂ© Re Le clou qui dĂ©passe appelle toujours le marteau [Cole] Sam 20 Juil - 709 Ama + Cole Le clou qui dĂ©passe appelle toujours le marteau. »The beginning of the end de Nine inch nails joue Ă  plein volume dans ma piaule. Le chien de mon oncle, un labrador noir qui se plait Ă  me coller aux basques depuis mon arrivĂ©e, est postĂ© sur le lit, la tĂȘte entre ses pattes Ă  me regarder dĂ©ambuler dans la piĂšce, comparant les tenues sur lesquelles j'hĂ©site. Il lĂąche parfois un soupir quand je me place face au miroir en tenant une chemise ou une autre devant moi. - Ok pĂ©pĂšre, un peu plus d'enthousiasme steuplait ! rĂąlais-je avec amusement aprĂšs le reçois un sms d'Ama qui est en plein essayage de tenue elle aussi. Coinçant ma clope au coin de mes lĂšvres, je me prend en photo en contre-plongĂ©, torse nu, juste vĂȘtu de mon jean actuel, un pouce passĂ© au niveau de la ceinture pour prendre la pose, puis lui Ă©changeons quelques messages entre temps et je suis bientĂŽt interrompu par mon oncle qui vient tambouriner Ă  la porte. - MURPH' !!! BAISSE CETTE MUSIQUE ! s'Ă©poumone-t-il derriĂšre la porte verrouillĂ©e en insistant aprĂšs la poignĂ©e. J'adresse un doigt d'honneur en direction de la porte et comme s'il l'avait devinĂ© Ă  croire qu'il me connait bien, j'entends la seconde suivante Pas de ça le mĂŽme ! Allez ouvre ou baisse au moins le volume, je m'entends plus penser !Je vais baisser le volume et attends d'entendre ses pas dĂ©valer Ă  nouveau l'escalier avant de remonter le volume plein pot. Je pourrais presque l'entendre criser depuis le rez-de-chaussĂ©e. Bon aller, il est temps de choisir une tenue. Mon sourire s'Ă©largit en pensant Ă  elle et ses sms et au surnom de kitten. Je suis putain de chanceux d'avoir rencontrĂ© une fille comme elle et la soirĂ©e qui s'annonce va ĂȘtre doublement rĂ©jouissante en sa compagnie. Je n’ai jamais trop aimĂ© trainer avec les autres Ă  part pour mon profit et me faire des alliĂ©s, on me croit hyper sociable mais je sais juste tromper mon monde. Avec elle c'est diffĂ©rent et bordel, ça fait du bien de ressentir une telle exaltation. Je me sens revivre !Je porte mon choix sur un jean's clair avec des motifs sur le devant comme des tatouages, puis enfile une chemise noire toute simple entrouverte. Je colle une caresse au chien en passant et rĂ©cupĂšre sur la commode, un bracelet en cuir large qui rappelle les bracelets en os amĂ©rindiens sauf que lĂ  il s'agit d'une imitation d'os en mĂ©tal. Je coupe la musique - y'en a un en bas qui doit fondre de soulagement - puis choppe ma veste cloutĂ©e sur le porte manteau prĂšs de l' - A plus ! lĂąchais-je dans le vide, pas certain que mon oncle m'entende mais peu importe. S'il ne me trouve pas il devinera comme un grand que je suis sorti. De toute façon je ne compte pas faire un compte rendu d'oĂč je vais et Ă  quelle heure je reviens Ă  chaque fois. Pas mon genre. C'est mieux de faire tourner en bourriques les vioques dans son genre puis avouons-le, j'adore lui voir sortir la fumĂ©e par les oreilles et pĂ©ter une sur les lieux, je croise quelques personnes qui trainent Ă  travers la rĂ©serve dont quelques enfants qui courent comme des fous en braillant. Je me gare plus loin, comme plus tĂŽt dans l'aprĂšs-midi et remarque Ama Ă  sa fenĂȘtre. Elle jette son sac par l'ouverture tandis que j'approche, retourne Ă  l'intĂ©rieur puis rĂ©apparait en enjambant l'appui de fenĂȘtre pour arpenter les tuiles avec prudence. Je me tiens Ă  proximitĂ© au cas oĂč. Et je fais bien ! La vue vaut le dĂ©tour Ă  la voir descendre le long de la gouttiĂšre en robe. Non promis, je joue pas trop les voyeurs et ne me colle pas pile en-dessous, faut pas exagĂ©rer, tu m'as pris pour un crevard ou quoi ?!Il n'empĂȘche que je suis soufflĂ©. Ama a cette beautĂ© unique, pareille Ă  celle qu'on trouve dans la nature et devant laquelle on s'arrĂȘte pour prendre le temps de contempler et s'Ă©merveiller, comme lorsqu'on se fige devant un renard ou un oiseau que tu me rejoins aprĂšs avoir enfilĂ© tes chaussures, je me mordille la lĂšvre rien qu'Ă  voir ton allure. Cette robe et cette coiffure. Oh my God, va falloir te tenir mec ... ."Alors? C'est suffisamment -hot mais pas trop non plus- pour toi ?" lances-tu avec une pointe de malice qui ne trouve de rĂ©ponse que dans la façon que j’ai d'imager l'impression que tu me fais sur l'instant en me mordant le cĂŽtĂ© du poing. Inutile de s’interroger sur le fait que je te trouve juste dĂ©mentiellement attirante, mon geste le traduit Ă  lui ma contemplation et ton petit numĂ©ro de tourniquet est interrompu alors que de la lumiĂšre s'allume sur un porche Ă  proximitĂ©. Tu saisis ma main et m'entraine derriĂšre un arbre oĂč tu me plaques et je ne peux m'empĂȘcher de Mmmhhh t'es entreprenante ce soir ... me targuais-je d'un sourire que cette proximitĂ© risque de vite m'Ă©chauffer. "J'ai l'impression d'ĂȘtre une fugitive, sans dĂ©conner les gens sont trop des commĂšres ici. Bon...a trois on court dans la voiture...1...3!" - Hey ?!!! m'exclamais-je alors que tu triches et me prends de cours, ne tardant pas Ă  te suivre Ă  mon tour. Nous laissons libre cours Ă  nos Ă©clats de rire une fois en voiture et prenons ainsi la direction d'un quartier de bourges sur les hauteurs de mountain village oĂč nous ne tardons pas Ă  trouver l'endroit oĂč se dĂ©roule la fĂȘte. D'aprĂšs ce qu'on m'a dit, la fille garde la maison de personnes qui sont en vacances pour un mois, comme ça, ça donne l'impression que la villa est occupĂ©e une bonne partie du temps, et avec ça l'arrosage des plantes et s'occuper du chat. Il y a mĂȘme une piscine. Pas mal de monde squatte d'ailleurs autour ou dedans et de nombreux Ă©clats de voix rĂ©sonnent dans la joyeusetĂ©. Nous demeurons tous deux un instant bouche bĂ©e devant la baraque. Impatiente de dĂ©couvrir les lieux, tu dĂ©ambules dĂ©jĂ  quelques mĂštres devant, pleine de curiositĂ© tandis qu'un mec que je connais viens me coupe la route alors que tu franchis dĂ©jĂ  le seuil de l'entrĂ©e grande ouverte."Salut mon pote c'est cool de t'voir ici!"- Yep me voilĂ  ! Je ne pouvais pas manquer ça !"J'vois que t'es pas venu seul mon salaud...c'est qui cet avion d'chasse tu m'prĂ©sente??" me murmures-t-il en se penchant Ă  mon oreille et en calant un bras autour de mes Ă©paules pour mieux nous mettre dans la Pas pour toi. me contentais-je de dire d'une voix ferme et me dĂ©gage et lui fait signe de s'Ă©clipser gentiment en mode "allez ouste,va voir ailleurs", sans me dĂ©partir de mon sourire de mec sympa. Hors de question de la lui prĂ©senter. Ni Ă  lui ni Ă  qui que ce soit. Humpf bon ok, faudra peut-ĂȘtre que je fasse quand mĂȘme un petit effort aprĂšs tout, sinon autant lui coller un sac en papier sur la tronche et Ă©tablir un pĂ©rimĂštre de sĂ©curitĂ© autour d'elle. Tandis qu'il s'Ă©loigne Ă  reculons, le dit pote souligne que je suis un foutu Ă©goĂŻste mais qu'en mĂȘme temps ça se comprend et il s'Ă©loigne alors que tu reviens vers Ă  bouger au rythme de la musique sur Never gonna stop de Rob Zombie - clic clic, je t'entraine par la main et sinue Ă  travers la foule qui semble s'Ă©carter sur notre passage, je salue quelques tĂȘtes connues d'un simple mouvement de la tĂȘte ou de la main puis nous passons par-dessus une table basse en bois, en grimpant dessus pour nous faire un chemin alors que l'autre voie est bloquĂ©e pour accĂ©der au buffet et aux Ă  descendre de l'autre cĂŽtĂ© de la table en plaçant mes mains au niveau de tes hanches putain de profiteur Murph, t'abuses ! ouais je parle Ă  mon perso ! faut bien l'engueuler de temps en temps ! , je t'attire quelques pas plus loin puis danse avec toi, levant nos bras en l'air filles qui semblent tiquer sur le fait de ne t'avoir jamais vu dans le coin, mais surtout sur ta beautĂ©, elles ont l'air de voir en toi un adversaire de poids au vu du tas de "poches Ă  testostĂ©rone" qui ont le regard braquĂ© sur fille que j'avais croisĂ© Ă  une fĂȘte Ă  peine deux jours aprĂšs mon arrivĂ©e me repĂšre et elle semble vexĂ©e de me voir en ta compagnie. A moins que ce ne soit un regard vindicatif pour l'avoir plantĂ© l'autre fois sur place alors qu'elle Ă©tait venue se coller Ă  moi pour danser sans que je n'ai rien Tu vas faire des ravages dans cette ville ... glissais-je Ă  ton oreille alors que je t'attire un instant contre moi en enroulant un bras autour de ta taille le temps de la confidence. Il va falloir une pelleteuse pour dĂ©gager tous ces crevards qui bavent sur toi malgrĂ© la prĂ©sence de leurs 2981 12289 0 Contenu sponsorisĂ© Re Le clou qui dĂ©passe appelle toujours le marteau [Cole] Le clou qui dĂ©passe appelle toujours le marteau [Cole] Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
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